L’enquête annuelle sur les prix des batteries de BloombergNEF révèle que les prix ont chuté de 6% de 2020 à 2021.Une tendance à la baisse qui pourrait être prochainement contrariée. Explications. |
L’enquête annuelle sur les prix des batteries de BloombergNEF révèle que les prix ont chuté de 6% de 2020 à 2021.Une tendance à la baisse qui pourrait être prochainement contrariée. Explications. |
Au colloque de l'UFE, intervention de Pascal CANFIN, député européen, Président de la Commission environnement du Parlement Européen : " Il faut pour prendre conscience de ce qui est en train de se jouer en Europe, il faut effectivement repartir des chiffres que vous avez évoqué rapidement et décrire le fait que cela veut dire aller deux fois et demie plus vite dans la réduction de nos émissions de co² que ce que nous avons fait dans la décennie précédente c'est-à-dire une accélération d'ici 2030 de 2,5 fois par rapport à la décennie précédente, dit comme ça ça veut dire "qu'au lieu de rouler à 50 km/h on va rouler à 125 km/h !"
On n'est plus du tout dans le même monde et du coup ça se traduit par un des changements de règles du jeu qui sont très significatives et totalement inédites et qui sont en cours de négociation entre les états membres au Conseil (*) et au sein du Parlement européen. Je donne quelques exemples, pour relancer la discussion sur les voitures et la fin de la vente de véhicules thermiques essence et diesel en 2035, je pense que cette disposition ira au bout des négociations; certains pays voudraient 2040, d'autres pays voudraient 2030, je pense que la seule date de compromis possible c'est 2035 mais ça veut dire changer l'intégralité de l'industrie automobile en 13 ans et l'industrie automobile c'est l'industrie la plus importante en termes d'emplois et donc on voit que ne serait-ce que cet enjeu là, qui est un des quatorze texte ( en cours de renégociation ) auquel vous faisiez référence c'est déjà un enjeu majeur. "
👉Un exemple de covoiturage de loisir en VE.👈 |
Toutefois il nous parait utile de relayer les informations qui peuvent répondre aux questions que vous pourriez vous poser, que vous ayez l’habitude d’utiliser le covoiturage pour vos déplacements, ou bien, que vous vous apprêtiez à tester pour la première fois ce moyen de transport simple, économique et convivial.
👉Les réponses plus en détail du ministère aux questions que vous vous posez !👈
À peine lancée, Dacia Spring se voit déjà honorée par le prix « Good Deal 2021 » aux Automobile Awards. Décerné par un jury de 18 journalistes, ce prix récompense la voiture offrant le meilleur rapport prestations/prix parmi les modèles proposés à moins de 20 000€. Après Sandero en 2020, c’est au tour de Spring de rafler la mise. Véhicule 100% électrique, elle combine économie à l’achat (disponible dès 89€/mois) et à l’usage.
Avec Spring, Dacia frappe un grand coup. C’est en effet la citadine électrique la plus accessible du marché. Voiture contemporaine répondant aux besoins essentiels, Spring est à la fois légère, compacte et proposée à un prix imbattable. Grâce à son gabarit contenu et son autonomie idéale pour les déplacements du quotidien (jusqu’à 305 kilomètres cycle WLTP City), elle offre facilité et polyvalence d’usage.
DES DÉBUTS EN FANFARE
Avec plus de 40 000 commandes en huit mois, Spring connaît un excellent démarrage commercial. En rendant la mobilité électrique accessible à tous, Spring séduit à la fois des clients déjà familiers de la marque Dacia mais également une majorité de nouveaux clients.
« Depuis son lancement, Dacia Spring est un franc succès. Nous remercions chaleureusement Automobile Awards pour ce second prix Good Deal qui confirme l’engouement que l’on observe auprès de nos clients. Spring démocratise l’électrique avec son prix imbattable tout en proposant un look sympa de petite baroudeuse. En bref, la r-EVolution électrique par Dacia ! » Denis Le Vot, Directeur général des marques Dacia & LADA
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Voir l'article de présentation : 👉 Nouvelle DACIA Spring, la révolution électrique à l’essai 👈
Début d’année prochaine, le réseau proposera une station de recharge tous les 500 mètres à Lyon et Villeurbanne, ou tous les 2 kilomètres, sur le reste de la Métropole.
Le réseau est encore en déploiement par notre équipe dédiée.
Début 2022, ce seront 750 places de recharge qui seront
accessible sur la Métropole.
Voici les prochains emplacements qui arrivent (d’ici la fin décembre) :
Les précommandes du Sion continuent d'être principalement passées en Allemagne et dans le reste de la région DACH (Allemagne, Autriche et Suisse), mais la société enregistre également un nombre croissant de pays comme la France, les Pays-Bas, l'Italie, l'Espagne et le Portugal. .
Stellantis N.V. (NYSE / MTA / Euronext Paris: STLA) et Factorial Energy (Factorial) ont signé un accord de développement conjoint pour faire progresser la technologie des batteries de traction haute tension à électrolyte solide de Factorial. L’accord comprend également un investissement stratégique de Stellantis.
“Notre investissement auprès de Factorial et d’autres partenaires hautement reconnus renforce la rapidité et l’agilité nécessaires pour doter notre portefeuille de véhicules électriques d’une technologie de pointe”, a déclaré Carlos Tavares, CEO de Stellantis. “Des initiatives comme celles-ci permettront une mise sur le marché plus rapide et une transition plus rentable vers la technologie électrolyte solide. ”
Factorial a développé une technologie à électrolyte solide révolutionnaire qui permet de lever les principaux freins à l’adoption à grande échelle des véhicules électriques par les clients : l’autonomie et la sécurité.
“C’est un grand honneur de s’associer à Stellantis, un acteur majeur de la mobilité mondiale, qui possède certaines des marques automobiles les plus emblématiques au monde”, a déclaré Siyu Huang, cofondateur et PDG de Factorial Energy. “C’est une opportunité incroyable pour nous de faire progresser l’adoption de notre technologie de batterie à électrolyte solide, propre, efficace et sûre, par les marchés. ”
Stellantis a annoncé lors de son EV Day en juillet 2021 son objectif d’introduire la première technologie de batterie à électrolyte solide compétitive d’ici 2026.
Factorial a développé la technologie FEST™ (Factorial Electrolyte System Technology), qui utilise un matériau d’électrolyte solide exclusif permettant une performance sûre et fiable des cellules avec des électrodes à haute tension et à haute capacité, et qui a été validée dans des cellules de 40 Ah pouvant fonctionner à température ambiante. Plus sûre que la technologie lithium-ion conventionnelle, la technologie FEST™ permet d’augmenter l’autonomie et est facilement intégrable dans l’infrastructure existante de fabrication de batteries lithium-ion.
À propos de Stellantis: Figurant parmi les principaux constructeurs automobiles et fournisseurs de services de mobilité internationaux, Stellantis est guidé par une vision claire : permettre à tous de se déplacer librement grâce à des solutions de mobilité distinctives, abordables et fiables. Outre son implantation géographique et la richesse de son héritage, la plus grande force du Groupe réside dans ses performances en matière de durabilité, l’étendue de son expérience et la diversité des talents internationaux qui le composent. Stellantis s’appuie sur l’ampleur de son portefeuille de marques emblématiques, qui a été fondé par des visionnaires qui ont insufflé leur passion dans leurs entreprises, associée à un esprit de compétition qui parle autant à ses employés qu’à ses clients. L’objectif de Stellantis : devenir le numéro un, en termes de qualité et non de taille, touten créant encore plus de valeur pour l’ensemble de ses partenaires et des communautés au sein desquelles il opère.
À propos de Factorial Energy :Basée à Woburn, dans le Massachusetts, Factorial Energy a développé des batteries solides révolutionnaires qui offrent une autonomie par charge de 20 à 50 % supérieure, une sécurité accrue et un coût équivalent à celui des batteries lithium-ion classiques. La technologie exclusive FEST™ (Factorial Electrolyte System Technology) de la société s’appuie sur un matériau d’électrolyte solide, qui permet d’obtenir des performances sûres et fiables avec des matériaux cathodiques et anodiques de haute capacité. L’électrolyte de FEST™ a été mis à l’échelle avec succès dans des cellules de 40 Ah, fonctionne à température ambiante et peut utiliser la majorité des équipements de fabrication de batteries lithium-ion existants. L’entreprise déploye sa technologie avec plusieurs constructeurs automobiles. Vous trouverez de plus amples informations sur le site www.factorialenergy.com.
Par principe, il faut se garder de prendre la plupart des études au pied de la lettre. Les résultats obtenus peuvent être très différents avec des variations minimes des hypothèses retenues. Que ce soit les caractéristiques des véhicules, la façon de prendre en compte l’ensemble de leur cycle de vie, les pays où ils sont fabriqués et ceux où ils sont utilisés et rechargés. Considérer que la durée de vie et d’utilisation des véhicules sera de dix, quinze ou vingt ans change totalement les calculs. Et personne aujourd’hui ne peut dire que les voitures électriques auront, avec leur batterie d’origine, une espérance de vie comparable à celle des véhicules thermiques.
L’avantage du véhicule électrique est clair. Il tient avant tout à son usage. Recharger des batteries émet dans la quasi-totalité des cas moins de carbone que consommer des litres d’essence ou de diesel. Cela tient à l’efficacité énergétique plus grande du moteur électrique, même quand il est rechargé avec de l’électricité provenant d’une centrale au charbon. Mais pour ce qui est de l’usage, la différence en terme d’empreinte carbone entre un véhicule électrique et thermique dépend de plusieurs facteurs dont la consommation moyenne d’énergie des véhicules retenus pour la comparaison, leur kilométrage annuel envisagé et leur espérance de vie.
Les études mêlent à la fois des données objectives et subjectives. Le résultat ne sera pas du tout le même si l’étude part du principe que les véhicules seront recyclés après avoir parcouru 150.000 ou 300.000 kilomètres. Sachant en plus qu’un véhicules électrique ayant fonctionné pendant vingt ans devra sans doute avoir changé sa batterie ce qui aura un impact important sur son empreinte carbone.
Pour illustrer le fait que personne ne peut mesurer précisément aujourd’hui l’empreinte carbone d’un véhicule électrique, il suffit de se pencher sur les coûts énergétiques de fabrication d’une batterie.
Selon les analyses existantes, il faut l’équivalent de deux à six barils de pétrole pour fabriquer une batterie qui peut stocker l’équivalent d’un gallon (3,7 litres) d’essence. Ce n’est qu’un exemple parmi d’autre de la myriade d’incertitudes cachées derrière les calculs et les études. On peut néanmoins affirmer un certain nombre de choses sans trop risquer d’être contredits par les faits.
Pour ce qui est de la pollution atmosphérique, qui n’a rien à voir avec les émissions de CO2, il faut le répéter, la voiture électrique représente un progrès indéniable. Les émissions de particules fines sont réduites de moitié (il reste celles provenant de l’abrasion des pneus et du freinage) et il n’y a plus de gaz d’échappement donc plus de dioxyde d’azote. Mais les émissions de polluants lors de la fabrication de la voiture électrique et plus particulièrement des cellules de sa batterie sont plus importantes que pour un véhicule thermique car elle réclame plus d’énergie. Par ailleurs, la fabrication des cellules a lieu essentiellement en Chine qui produit la majeure partie de son électricité dans des centrales au charbon. On peut parler ainsi de délocalisation de la pollution atmosphérique…
Pour ce qui est de l’empreinte carbone proprement dite, elle provient d’un calcul intégrant les émissions de gaz à effet de serre provenant de la fabrication des véhicules (électriques et thermiques) et de leur destruction et recyclage et des conditions de leur utilisation. Selon le véhicule électrique, selon sa puissance, son poids, les performances de sa batterie, l’endroit où il est produit et de quelle source provient l’énergie utilisée pour cela, la construction de la voiture électrique émet entre 1,5 et 3 fois plus de CO2 que celle d’un véhicule thermique.
Une batterie lithium-ion d’un peu plus de 400 kilos, d’une technologie classique, contient 15 kilos de lithium, 30 kilos de cobalt, 60 kilos de nickel, 90 kilos de graphite et 40 kilos de cuivre. Plus parlant encore, pour en retirer les 15 kilos nécessaires, il faut traiter 10 tonnes de saumure de lithium. Pour obtenir les 30 kilos de cobalt, c’est 30 tonnes de minerai. Pour les 60 kilos de nickel, on en est à 5 tonnes de minerai. Il faut 6 tonnes pour les 40 kilos de cuivre et une tonne pour les 90 kilos de graphite.
Selon une méta analyse publiée à la fin de l’année dernière par la revue scientifique suisse MDPI et recensant une cinquantaine d’études universitaires, le coût carbone de la fabrication d’une voiture électrique est compris entre 8 et 20 tonnes. Dans le haut de la fourchette, cela représente une quantité très proche de ce qu’émet un véhicule thermique tout au long de sa durée de vie.
Pour ce qui est de l’utilisation des véhicules, les données à prendre en compte sont leur consommation moyenne d’essence ou de diesel, leur durée de vie et la façon dont est produite l’électricité pour les recharger (véhicule électrique). Une voiture électrique rechargée avec de l’électricité au charbon ou de l’électricité nucléaire (la moins carbonée) n’aura pas du tout la même empreinte carbone. De la même façon, les petits véhicules diesel en voie de disparition sont du côté des thermiques ceux qui émettent le moins de CO2. C’est une des raisons pour lesquelles au cours des dernières années les pouvoirs publics les ont subventionnés avant de leur interdire très prochainement de circuler dans les grandes agglomérations…
Si on fait une synthèse des études récentes sérieuses sur la question de l’empreinte carbone des véhicules électriques et thermiques, et si on évacue la propagande, le marketing et la communication, il ressort que le véhicule électrique a un avantage réel, mais relativement limité. Son coût de fabrication et de recyclage plus élevé est amorti plus ou moins rapidement en fonction de la façon dont est produite l’électricité qui sert à le recharger. Une voiture électrique «au charbon» demandera bien plus de 100.000 kilomètres pour permettre un gain carbone et une voiture électrique «nucléaire» quelques dizaines de milliers de kilomètres.
On peut accorder un certain crédit aux chiffres de l’Avere France (Association nationale pour le développement de la mobilité électrique), même si évidemment cet organisme a pour objet la promotion du véhicule électrique… Ces calculs sur la durée de vie d’un véhicule électrique indiquent que les émissions sont inférieures de 28% aux voitures à essence et de 22% aux automobiles diesel.
Léon Thau
Marco Fioravanti, Region Vice President, Product Planning, Nissan AMIEO, a déclaré : « Depuis le lancement du modèle, premier véhicule 100% électrique grand public en 2010, la Nissan LEAF a fait de la mobilité sans émission à l'échappement une réalité concrète pour un demi-million de clients dans le monde entier.»
Dave Moss, Region Senior Vice President, Research & Development, Nissan AMIEO, a ajouté : «La note maximale de cinq étoiles décernée à la Nissan LEAF e+ par Green NCAP est un puissant témoignage de la qualité de ce produit pionniert et de l'expertise absolue de Nissan en matière d'électrification. Je tiens à remercier toute l'équipe de Recherche & Développement qui a rendu cette réalisation possible.»
Aboutissement de plus de 10 années de développement pour la Nissan LEAF, la version e+ offre aux clients l'association idéale entre une motorisation 100% électrique particulièrement performante et efficiente, et des technologies de pointe en matière d'assistance à la conduite. La motorisation développant 217 ch., associée à une batterie d'une capacité de 62 kWh jusqu'à 385 km d'autonomie en cycle mixte WLTP, tandis que l'innovante technologie e-Pedal permet aux conducteurs d'accélérer, de décélérer, de freiner et de s'arrêter à l'aide d'une seule pédale, tout en régénérant de l'énergie, optimisant ainsi le confort et l'efficience de la conduite. La technologie Nissan ProPILOT, première étape vers la conduite autonome de la marque, permet sur voie rapide que la Nissan LEAF gère la direction, la vitesse et les distances de sécurité, y compris dans les bouchons et jusqu'aux l'arrêts-redémarrages.
Les clients peuvent encore améliorer l'efficience énergétique grâce aux fonctionnalités du mode B et du mode ECO proposés par la berline compacte 100% électrique de Nissan, qui se combinent pour maximiser le freinage par régénération, optimiser la puissance et le stockage de l'énergie, offrant ainsi une totale sérénité pour les longs trajets.
Première voiture 100% électrique accessible depuis 2010, la Nissan LEAF a déjà été vendue à plus de 500000 exemplaires dans le monde.
Green NCAP est un programme d'évaluation des véhicules verts hébergé et soutenu par le programme d'évaluation des voitures neuves en coopération avec les gouvernements européens.
Renault Group renforce son partenariat stratégique avec la start-up lotoise Whylot en prenant une participation minoritaire de 21% dans l'entreprise technologique spécialisée dans les moteurs électriques innovants, dont le moteur électrique à flux axial.
Cette technologie prometteuse dans laquelle le flux électromagnétique circule parallèlement à l’axe de rotation du moteur contrairement aux moteurs à flux radial, où il se déplace selon un rayon perpendiculaire à l’axe de rotation, offre des perspectives nouvelles avec :
A suivre ...
NDLR : A noter que le constructeur allemand Mercedes Daimler a fait l’acquisition, en juillet dernier, de l’entreprise britannique Yasa elle aussi en pointe sur cette technologie.
M. le maire devant les deux ZOE sur l’aire de service |