vendredi 30 avril 2021

Perspective mondiale sur le développement de la mobilité électrique ( Agence Internationale de l'Energie )

Le Global EV Outlook est une publication annuelle qui identifie et discute des développements récents de la mobilité électrique à travers le monde. Il est développé avec le soutien des membres de l'Initiative pour les véhicules électriques (EVI).

Combinant une analyse historique et des projections jusqu'en 2030, le rapport examine les principaux domaines d'intérêt tels que le déploiement des véhicules électriques (VE) et des infrastructures de recharge, la consommation d'énergie, les émissions de CO2 et la demande de batteries. Le rapport comprend des recommandations politiques qui intègrent l'apprentissage des marchés pionniers pour informer les décideurs et les parties prenantes qui envisagent des cadres politiques et des systèmes de marché pour l'adoption des véhicules électriques.

Cette édition présente également une mise à jour des modèles de véhicules lourds électriques à venir sur les marchés commerciaux et prévus pour une sortie dans les années à venir, et sur l'état du développement des mégachargeurs. Il compare l'équipement d'alimentation des véhicules électriques par VE avec les cibles AFID recommandées. Il analyse également l'impact de l'adoption des VE sur les recettes des gouvernements provenant de la taxation des carburants. Enfin, il met à disposition pour la première fois deux outils en ligne: le Global EV Data Explorer et le Global EV Policy Explorer, qui permettent aux utilisateurs d'explorer de manière interactive les statistiques et projections EV, ainsi que les mesures politiques dans le monde entier.

Forte dynamique des marchés des véhicules électriques malgré la pandémie

Il y avait 10 millions de voitures électriques sur les routes du monde à la fin de 2020, après une décennie de croissance rapide. Les immatriculations de voitures électriques ont augmenté de 41% en 2020, malgré le repli mondial des ventes de voitures lié à la pandémie, dans lequel les ventes mondiales de voitures ont chuté de 6%. Environ 3 millions de voitures électriques ont été vendues dans le monde (une part de ventes de 4,6%), et l'Europe a dépassé pour la première fois la République populaire de Chine («Chine») en tant que plus grand marché mondial des véhicules électriques (VE). Les immatriculations d'autobus et de camions électriques se sont également développées sur les principaux marchés, atteignant des stocks mondiaux de 600 000 et 31 000 respectivement.

La résilience des ventes de VE face à la pandémie repose sur trois piliers principaux:

  • Cadres réglementaires favorables : même avant la pandémie, de nombreux pays renforçaient des politiques clés telles que les normes d'émissions de CO 2 et les mandats de véhicules zéro émission (ZEV). À la fin de 2020, plus de 20 pays avaient annoncé l'interdiction de la vente de voitures conventionnelles ou imposé à toutes les nouvelles ventes d'être des ZEV.
  • Incitations supplémentaires pour protéger les ventes de VE du ralentissement économique: certains pays européens ont augmenté leurs incitations à l'achat et la Chine a retardé l'élimination de son programme de subventions.
  • Le nombre de modèles de VE s'est élargi et le coût des batteries a continué de baisser.

Les constructeurs automobiles ont annoncé des plans d'électrification de plus en plus ambitieux. Sur les 20 plus grands constructeurs automobiles mondiaux, qui représentaient environ 90% des nouvelles immatriculations de voitures en 2020, 18 ont annoncé leur intention d'élargir leur portefeuille de modèles et d'augmenter rapidement la production de véhicules électriques légers. La disponibilité des modèles de véhicules lourds électriques s'élargit également, quatre grands fabricants de camions indiquant un avenir entièrement électrique.

Les dépenses de consommation pour les achats de voitures électriques ont augmenté à 120 milliards USD en 2020. Parallèlement, les gouvernements du monde entier ont dépensé 14 milliards USD pour soutenir les ventes de voitures électriques, en hausse de 25% par rapport à 2019, principalement grâce à des incitations plus fortes en Europe. Néanmoins, la part des incitations gouvernementales dans les dépenses totales consacrées aux voitures électriques a diminué au cours des cinq dernières années, ce qui suggère que les véhicules électriques deviennent de plus en plus attrayants pour les consommateurs.

Les perspectives à court terme pour les ventes de véhicules électriques sont encourageantes. Au premier trimestre 2021, les ventes mondiales de voitures électriques ont augmenté d'environ 140% par rapport à la même période en 2020, tirées par les ventes en Chine d'environ 500 000 véhicules et en Europe d'environ 450000. Les ventes aux États-Unis ont plus que doublé par rapport à le premier trimestre de 2020, mais à partir d'une base beaucoup plus basse. 

Les véhicules électriques devraient être un spectacle plus courant sur les routes du monde dans les années 2020.

Les politiques existantes dans le monde suggèrent une croissance saine au cours de cette décennie: dans le scénario des politiques déclarées, le parc de véhicules électriques tous modes (à l'exception des deux / trois roues) atteint 145 millions en 2030, soit 7% du parc de véhicules routiers.

Les marchés des véhicules électriques pourraient être beaucoup plus importants si les gouvernements accéléraient les efforts pour atteindre les objectifs climatiques. Dans le scénario de développement durable, la flotte mondiale de véhicules électriques atteint 230 millions de véhicules en 2030 (hors deux / trois roues), soit une part de stock de 12%.

La flotte croissante de véhicules électriques continuera de réduire les émissions de GES du puits à la roue, les économies nettes par rapport aux véhicules à moteur à combustion interne (ICE) augmentant au fil du temps en fonction du rythme auquel la production d'électricité décarbonée. En 2030, dans le scénario de politiques déclarées, le parc mondial de véhicules électriques réduit les émissions de GES de plus d'un tiers par rapport à un parc de véhicules ICE équivalent; dans le scénario de développement durable, le niveau monte aux deux tiers.

Les politiques doivent tirer parti de l'élan pour accélérer encore l'électrification

Même avec le récent succès du déploiement des VE, atteindre une trajectoire conforme aux objectifs climatiques est un défi de taille. Cela nécessite une ambition et une action plus fortes de la part de tous les pays. Les progrès de la technologie des batteries et de la fabrication de masse continueront de faire baisser le coût des véhicules électriques.

Mais les années 2020 devront voir plus que l'adoption massive de véhicules légers électriques pour atteindre les objectifs climatiques. Les gouvernements devront également mettre en place des politiques pour promouvoir le déploiement de véhicules à zéro émission dans les segments des véhicules moyens et lourds et de l'infrastructure de recharge rapide correspondante.

À court terme, les pays peuvent continuer à mettre en œuvre, appliquer et resserrer des mesures telles que les normes d'économie de CO 2 et de carburant et les mandats relatifs aux véhicules électriques. et accélérer la transition vers la mobilité électrique. Une taxation différenciée des véhicules et des carburants qui reflète leur performance environnementale peut mieux aligner les marchés sur les avantages climatiques des véhicules électriques.

Pour que les véhicules électriques atteignent leur plein potentiel de réduction des émissions de carbone, des progrès critiques sont nécessaires pour décarboner la production d'électricité, intégrer les véhicules électriques dans les systèmes électriques, construire une infrastructure de recharge et faire progresser la fabrication de batteries durables et leur recyclage. 

Les véhicules électriques dans tous les modes de transport ont connu une croissance régulière au cours de la dernière décennie.



jeudi 29 avril 2021

F²AUVE reporte " RN21 La Route Zen " à 2022

 


" Les évolutions successives du contexte sanitaire et les reports au 20 puis 27 juin 2021 du 2° tour des élections régionales et départementales, ont considérablement perturbé la programmation de notre projet de rallye découverte RN21, route Zen initialement programmé les 19 et 20 juin 2021. 
Jusqu’au dernier moment nous avons espéré pouvoir le maintenir cette année, mais trop de paramètres en rendent la faisabilité en l’état trop aléatoire. Non sans tristesse compte tenu de l’accueil favorable que de nombreux partenaires avaient réservé à ce projet, nous avons donc dû nous résoudre à en envisager le report en 2022, vraisemblablement au dernier week-end de juin ( les 25 et 26 juin 2022 ) car les présidentielles se déroulant en avril mai , les législatives se tiendront vraisemblablement début Juin.
Les organisateurs de F²AUVE

mercredi 28 avril 2021

Dispositions fiscales et administratives applicables aux 100% VE dès 2021.

 En 2021 de nouvelles dispositions entrent en application; il nous parait utile d'attirer l'attention sur certaines évolutions futures qui concerneront les modèles hybrides et thermiques et confirment d'ores et déjà la pertinence du choix du 100% électrique: 

En savoir plus : 

Flottes auto

URSSAF

Idemnités km

lundi 26 avril 2021

# 4 - Renault Group inscrit sa stratégie environnementale et sociétale au coeur de sa performance

Avec le soutien de son conseil d’administration, le Groupe a détaillé lors de son Assemblée générale du vendredi 23 avril 2021 la mise en œuvre de sa politique de responsabilité sociétale et environnementale (RSE) dans le cadre de son plan stratégique Renaulution. Cette politique ambitieuse, qui repose sur le déploiement de dispositifs inédits, soutiendra la stratégie de transformation du Groupe et ses objectifs de performance. Elle s’appuie sur trois piliers majeurs intégrés aux activités de l’entreprise : la transition écologique, la sécurité des clients sur les routes et des collaborateurs sur le lieu de travail, et l’inclusion en travaillant à l’employabilité et la parité des équipes.

« Nous inscrivons notre responsabilité environnementale et sociétale comme l’un des chapitres de la Renaulution. Nos engagements en matière de décarbonation, de sécurité des usagers de nos véhicules, des salariés sur le lieu de travail et d’inclusion répondent à nos enjeux stratégiques et soutiennent la création de valeur. Construit avec les équipes de l’entreprise, et selon les valeurs d’innovation et de solidarité qui sont les nôtres, ce plan d’action est porté par un collectif de membres du comité exécutif et s’intègrera pleinement dans nos activités. Tout en contribuant à la transformation du Groupe, ces engagements répondent à notre raison d’être, dont ils sont la traduction opérationnelle. » Luca de Meo, CEO de Renault Group.

La transition écologique sur toute la chaîne de valeur

En accompagnement des engagements pris sur l’électrification de ses véhicules, avec 65% de ses ventes électrifiées dès 2025, et 90% en 2030 pour la marque Renault en Europe, le Groupe vise la neutralité carbone en Europe en 2040 et dans le monde en 2050.

Engagé depuis 2005 dans la réduction de l’empreinte environnementale de ses véhicules sur l’ensemble de leur cycle de vie, le Groupe renforce sa trajectoire de décarbonation, avec des objectifs cibles dès 2025 et 2030*. Parmi les nouvelles initiatives de transition écologique déployées :

  • Le Groupe engage la décarbonation de ses achats en commençant par six composants (l’acier, l’aluminium, les polymères, les composants électroniques, les pneus et le verre) qui représentent aujourd’hui 90% de l’empreinte carbone de cette activité. Une tarification du carbone sera mise en place progressivement afin d’inciter l’ensemble de son écosystème à produire de façon plus durable. A horizon 2030, le Groupe se fixe comme ambition de diminuer l’empreinte carbone liée à ses achats de 30% (en CO2 / par kg de matière).
  • Assemblée en France avec une énergie décarbonée, la R5 sera développée dès 2025 avec des batteries plus durables, à l’empreinte carbone réduite d’au moins 20% (par rapport à ZOE en 2020). Au-delà de cet objectif, le Groupe travaille à sécuriser un approvisionnement responsable et durable en minerais. Un engagement complété par le partenariat industriel avec Veolia et Solvay pour recycler en circuit fermé les métaux des batteries (cobalt, nickel, lithium, etc…).
  • Coté fabrication, le Groupe vise 50% de réduction des émissions de ses sites à 2030 dans le monde (par rapport à 2019). Pour soutenir cet objectif, l’entreprise investira dans son appareil industriel 20 millions d’euros qui généreront jusqu’à 90 millions d’euros d’économies, en factures énergétiques et pénalités carbone évitées. D’ici 2025, les sites de l’Electro-Northpole afficheront un bilan neutre en carbone, ainsi que ceux implantés en Europe à l’horizon 2030.
  • Au sein de la Re-Factory à Flins et avec ses filiales Renault Environnement, les activités de démantèlement, recyclage des composants des véhicules, y compris de la batterie, généreront plus d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2030.
Télécharger le Rapport climat 









La sécurité des clients sur les routes et des collaborateurs sur le lieu de travail

Pour contribuer à réduire le nombre d’accidents sur la route, le Groupe apporte une réponse concrète articulée autour de deux volets : prévenir les accidents et faciliter le travail des secours. Le programme de sécurité préventive agit sur trois niveaux :
  • Détecter : le « Safety score » analysera les données de conduite grâce à des capteurs placés sur le véhicule afin d’inciter à une conduite plus sûre ;
  • Guider : le dispositif « Safety coach » permettra d’informer les conducteurs en temps réel des risques potentiels sur leur trajet à partir des données environnantes, et signalera les lieux statistiquement accidentogènes ;
  • Agir : une prise de relais pourra être automatiquement déclenchée en cas de risque avéré (virage trop dangereux, volant non maîtrisé pendant une période prolongée, somnolence…). Dès lors, grâce au « Safe guardian », le véhicule ralentira et se mettra automatiquement en sécurité.
Dès 2022, Megane-E sera équipée d’un ajustement automatique à la vitesse réglementaire, réglé par défaut. La vitesse sera également plafonnée selon les véhicules, et ne dépassera pas les 180km/h.
Enfin, afin de réduire le temps d’intervention des secours et simplifier l’accès au véhicule en cas d’accident, le Groupe a aussi développé deux innovations majeures, qui seront déployées sur l’ensemble des prochains lancements en Europe :
  • Le « Fireman access » facilite l’intervention des pompiers pour venir à bout d’un incendie sur les batteries provoqué par un accident. Il permet de réduire considérablement le temps d’intervention (de près de 2 heures à quelques minutes). Déjà en place sur les véhicules électriques, il sera déployé sur tous les prochains lancements hybrides rechargeables et électriques du Groupe.
  • Le « Rescue code » permet aux pompiers d’identifier un véhicule grâce à un QR code et d’avoir accès aux informations d’architecture et, en cas d’accident grave, d’accélérer de près de 15 minutes la prise en charge des passagers. En parallèle, le Groupe a formé les pompiers dans 12 pays d’Europe à l’utilisation de ce code, et leur a fait don de plusieurs centaines de véhicules afin qu’ils puissent s’exercer et les utiliser dans leur parcours de formation.
Le plan sécurité comprend aussi des engagements vis-à-vis des collaborateurs du Groupe :
  • Objectif zéro accident et maladie liés au travail : dans le cadre de sa politique HSE et sur l’ensemble de ses sites industriels et tertiaires, le Groupe vise zéro accident et maladie liés au travail.
  • La “santé pour tous” : le Groupe se fixe pour ambition d’atteindre une couverture médicale optimale pour l’ensemble de ses salariés, partout dans le monde.
  • Sensibiliser les collaborateurs aux risques : sous la supervision des équipes santé du Groupe, deux campagnes médicales préventives seront lancées, dont la première dès 2021. Ces campagnes seront consacrées aux pathologies pour lesquelles l’information et la sensibilisation font la différence : les cancers féminins et les maladies cardio-vasculaires.

L’inclusion : employabilité, parité, solidarité

Les véhicules deviennent électrifiés, connectés, équipés d’intelligence embarquée, ce qui nécessite de nouvelles compétences. Face aux mutations de la filière, l’entreprise renforce sa politique d’inclusion autour de 3 piliers : l’employabilité, la parité, la solidarité.
Le Groupe lance une université dédiée à l’acquisition de nouvelles compétences dans l’électrification, la gestion, l’analyse et la cybersécurité des données ou l’économie circulaire, notamment l’ingénierie liée au recyclage des véhicules et de leurs batteries. La ReKnow University, dédiée dans un premier temps aux salariés du Groupe en France, formera près de 40% des effectifs concernés par ces bouleversements d’ici 2025. Progressivement, ce processus s’étendra aux industriels de la filière et à des partenaires académiques avec lesquels le Groupe mutualise la conception et la diffusion de formations professionnalisantes.
Si Renault Group est proportionnellement l’employeur comptant le plus de femmes parmi les constructeurs généralistes, elles ne représentent encore que 25% de ses effectifs. Pour faire de la parité un objectif majeur, le Groupe s’engage à travers plusieurs actions :
  • en promouvant des femmes aux postes clés du Groupe, dans les instances de gouvernance, le top 4 000 et le top 11 000. Dans chacune de ces trois catégories, le Groupe vise 30% de femmes en 2030, 35% en 2035, et 50% en 2050 ;
  • en maintenant son leadership dans la réduction de l’écart salarial hommes-femmes, qui est déjà proche de zéro au niveau Groupe et qui le deviendra partout dans le monde, d’ici 2025.
  • D’ici 2025, le Groupe atteindra la parité dans ses effectifs d’apprentis et de stagiaires, afin de constituer un vivier de recrutement et sensibiliser aux métiers de sa filière.
Développer une mobilité solidaire et inclusive pour tous : la mobilité constitue une source d’inégalité importante notamment pour l’accès à l’emploi dans les territoires. Elle est nécessaire pour obtenir un emploi, le conserver ou se former. C’est dans cette perspective que depuis 2012, le Groupe a initié, avec le soutien de ses garages solidaires, un partenariat au travers du Club Mobilité (regroupant notamment l’agence de microcrédit Adie, le réseau des Caisses d’Epargne, Pôle Emploi et l’Action Tank), pour proposer à des personnes inéligibles au crédit bancaire, la location avec option d’achat d’un véhicule neuf. Le Groupe prévoit de multiplier par dix les bénéficiaires de cette initiative d’ici 2025 en mobilisant son réseau commercial et en élargissant l’offre à des véhicules issus de la Factory VO.
Dans ses nouvelles missions, la Fondation Renault et son réseau de fondations à travers le monde soutient également des initiatives en faveur de l’insertion professionnelle pour les personnes éloignées de l’emploi, en privilégiant la proximité avec les bassins d’emplois du Groupe et en donnant la possibilité aux collaborateurs de s’engager à ses côtés. 

Pour inscrire la stratégie RSE au coeur des priorités opérationnelles de l’entreprise, un comité exécutif de stratégie RSE est créé, regroupant les principales fonctions concernées au plus haut niveau de l’entreprise : l’industrie, les achats, l’ingénierie, le digital, la finance ou les ressources humaines. L’ensemble des décisions sera présenté et approuvé par le comité RSE du conseil d’administration, présidé par Jean-Dominique Senard, Président du conseil d’administration de Renault.
Pour tout savoir sur la stratégie RSE de Renault Group : 

À propos de Renault Group
Renault Group est aux avant-postes d’une mobilité qui se réinvente. Fort de son alliance avec Nissan et Mitsubishi Motors, et de son expertise unique en termes d’électrification, Renault Group s’appuie sur la complémentarité de ses 5 marques - Renault – Dacia – LADA – Alpine et Mobilize – et propose des solutions de mobilités durables et innovantes à ses clients. Implanté dans plus de 130 pays, le Groupe a vendu 2,9 millions de véhicules en 2020. Il réunit plus de 170 000 collaborateurs qui incarnent au quotidien sa Raison d’Etre, pour que la mobilité nous rapproche les uns des autres. Prêt à relever des défis sur route comme en compétition, le Groupe est engagé dans une transformation ambitieuse et génératrice de valeur. Celle-ci est centrée sur le développement de technologies et de services inédits, d’une nouvelle gamme de véhicules encore plus compétitive, équilibrée et électrifiée. En phase avec les enjeux environnementaux, Renault Group a l’ambition d’atteindre la neutralité carbone en Europe d’ici à 2050. www.group.renault.com/fr

dimanche 25 avril 2021

A Valence, Victoire de Nyck de Vries (Mercedes-EQ) dans l'un des E-Prix les plus fous de l'histoire de la Formule E, devant Nico Mueller (DRAGON / PENSKE AUTOSPORT) et son coéquipier Mercedes Stoffel Vandoorne.

Revivez en images les meilleurs moments de la course 1 de l'E-prix de Valence, comptant pour le championnat du monde de Formule E.
 
Nyck de Vries (Mercedes-EQ) remporte la première course de l'un des E-Prix les plus fous de l'histoire du Championnat du monde de l'ABB FIA Formula E, devant Nico Mueller (DRAGON / PENSKE AUTOSPORT) et son coéquipier Mercedes Stoffel Vandoorne.
 
La gestion de l'énergie est un élément central de la course en Formule E. 

La course sur le circuit Ricardo Tormo s'est déroulée sous la pluie et la voiture de sécurité MINI Electric Pacesetter est intervenue à cinq reprises. Les stratégies de gestion de l'énergie soigneusement calculées par les équipes ont été bouleversées et la course a duré un tour de plus que prévu. 
 De Vries s'est contenté de rester derrière Antonio Felix da Costa (DS TECHEETAH) qui a longtemps été en tête de la course, il a ainsi pu conserver son énergie pour une attaque tardive. Cette attaque s'est transformée en un sprint sur deux tours après le dernier déploiement de la voiture de sécurité. Cependant, seuls ceux qui s'étaient montrés très prudents et qui avaient conservé leur énergie utilisable ont eu suffisamment d'énergie dans leurs cellules pour tenir la distance de cette course rallongée. 
 Le Néerlandais de Vries a dépassé da Costa alors que le Portugais et beaucoup d'autres autour de lui ont ralenti dans cette course qui s'est poursuivie au-delà de son terme prévu. Mueller et Vandoorne ont suivi : le pilote, dépossédé de la Julius Baer Pole Position sur un détail technique et relégué à la dernière place sur la grille de départ, est finalement parvenu à monter sur le podium. Nick Cassidy (Envision Virgin Racing), Rene Rast (Audi Sport ABT Schaeffler), Robin Frijns (Envision Virgin Racing), da Costa, Alexander Lynn (Mahindra Racing), Sam Bird (Jaguar Racing) et Lucas di Grassi (Audi Sport ABT Schaeffler) complètent le top 10. Jake Dennis (BMW i Andretti Motorsport) et Jean-Eric Vergne (DS TECHEETAH) sont les deux seuls autres pilotes à avoir été classés. 

 Comme cela s'est déroulé 

La course a débuté sous la pluie derrière la voiture de sécurité, la MINI Electric Pacesetter menant le peloton. Da Costa a creusé l'écart sur Maximilian Guenther (BMW i Andretti Motorsport) et Lynn et pris une large avance sur le peloton lorsque la course est passée au vert, du moins pour un tour ou deux. Un accrochage s'est produit entre Andre Lotterer et Sebastien Buemi dans l'épingle à cheveux : le pilote Porsche a percuté la Nissan e.dams du pilote suisse qui s'est immobilisée dans le gravier. S'en est suivi un long passage de neutralisation de la course derrière la voiture de sécurité pour récupérer la Nissan de Buemi, avec da Costa en tête du peloton. Il a réussi prendre une avance de deux secondes sur le reste du peloton une fois la course repartie. Maximilian Guenther, au volant de la BMW a temporisé au cinquième tour, alors que Lynn, de Vries, Norman Nato (ROKiT Venturi Racing), Oliver Rowland (Nissan e.dams) et Alexander Sims (Mahindra Racing) se suivaient tous à moins de deux secondes les uns des autres. La Mahindra de Lynn a subi des dommages à l'avant dans la bataille pour la deuxième place contre Guenther, ce qui a permis de Vries (Mercedes) de dépasser le Britannique et d'enchaîner immédiatement en doublant Guenther. Rowland et Sims n'ont pas traîné non plus. Au 6e tour, Rowland a pris la cinquième place en dépassant Nato, et Sims lui a emboité le pas avant que Lynn ne double la BMW de Guenther pour tenter de récupérer une éventuelle place sur le podium. C'est le jeune Allemand qui a été le premier à aller activer le MODE ATTAQUE, ce qui était très bien joué étant donné que Guenther avait reculé dans le classement. Il a réussi à se maintenir en quatrième position avec Rowland juste derrière, et le reste des six pilotes de tête ont fait de même en allant activer leur premier MODE ATTAQUE un tour plus tard. 

 À 25 minutes et un tour de la fin, tout semblait calme en tête de la course, da Costa imposant son rythme d'une main de maître. De Vries occupait la deuxième place avec trois secondes de retard mais deux secondes d'avance sur Lynn en troisième position. Rowland, Guenther, Sims, Nato, Pascal Wehrlein (TAG Heuer Porsche), Cassidy et Edo Mortara (ROKiT Venturi Racing) complétaient alors le top 10. La course de Guenther s'est terminée de manière abrupte au 10e tour, lorsque la iFE.21 du Bavarois s'est immobilisée, après avoir rétrogradée à la sixième place en raison d'un manque d'adhérence dans des conditions difficiles et glissantes. La BMW s'est bloquée au freinage quand le pilote a franchi une ligne blanche et malgré un contre-braquage vigoureux, Guenther n'a pas pu empêcher l'inévitable et a fini immobilisé dans les graviers. La MINI Electric Pacesetter a fait une nouvelle apparition tandis que la BMW était dégagée et, lorsque la course a repris, da Costa n'a pas perdu un seul instant, toujours suivi de près par la Mercedes de de Vries. Le Néerlandais s'est toutefois contenté de laisser sa Mercedes dans le sillage de la DS, étant donné que la gestion de l'énergie risquait de s'intensifier dans les dernières minutes de la course. De Vries a laissé le Portugais faire tout le travail difficile, car da Costa était obligé de fendre l'air et d'utiliser plus d'énergie pour avancer. Cinq tours plus tard, un accrochage s'est produit entre Sergio Sette Camara (DRAGON / PENSKE AUTOSPORT) et Mitch Evans (Jaguar Racing). Le Brésilien est parti dans les graviers et a été mis hors course, tandis que le Néerlandais a été contraint de rentrer aux stands. La course a une nouvelle fois été neutralisée derrière la voiture de sécurité, tandis que Mercedes a informé de Vries qu'il lui restait suffisamment d'énergie pour dépasser le leader da Costa à moins de 13 minutes et un tour de la fin de course. 

 À moins de 10 minutes de la fin, lorsque la course a repris, da Costa est resté au commande, même si de Vries disposait d'un peu plus d'énergie disponible par rapport à ses concurrents directs, le leader n'ayant toujours pas activé son deuxième MODE ATTAQUE. Da Costa a réagi intelligemment en utilisant son FANBOOST afin de créer l'écart nécessaire pour se rendre dans la zone d'activation et rester devant de Vries. Derrière, la bataille pour la sixième place a commencé lorsque Nato a dérapé dans le gravier, ce qui a permis aux deux pilotes d'Envision Virgin Racing (Frijns et Cassidy) d'en profiter. Ils ont fini par se hisser respectivement aux cinquième et sixième places, Lynn (Mahindra) ayant rétrogradé en septième position suite à une erreur. Pascal Wehrlein, quant à lui, s'est également retrouvé dans le gravier et a perdu toute change de marquer des points. Un accrochage est survenu entre Mortara et Andre Lotterer (Porsche TAG Heuer) qui les a mis tous deux hors course. Lorsque la MINI Electric Pacesetter a quitté le circuit après sa dernière apparition, la course est devenue un sprint sur deux tours. Cependant, avec autant d'interventions de la voiture de sécurité et une course qui s'est déroulée sur un tour de plus que ce qui avait été prévu par beaucoup, seuls quelques pilotes ont eu suffisamment d'énergie pour franchir la ligne d'arrivée. Le Néerlandais de Vries a fait de son mieux pour remporter la course devant Mueller et Vandoorne. 

Il prend la tête du classement général devant son coéquipier Vandoorne et permet à Mercedes-EQ de se hisser à la première place du classement par équipes.

mardi 20 avril 2021

#1- Bienvenue dans la Software République (Groupe Renault)

Quand cinq champions industriels et technologiques unissent leurs forces pour développer des logiciels au service d’une offre de mobilité enrichie et durable pour les territoires, les entreprises et les citoyens. François Dossa, directeur des projets d’open innovation du Groupe Renault, dresse le portrait de la Software République.


La mobilité n’a jamais évolué aussi vite que ces dernières années, avec la diversification des business models et des offres en matière de connectivité, de décarbonation et de multimodalité.  

Et nous n’en sommes qu’aux prémices. Le marché mondial de la mobilité devrait croître de 60% d’ici 2035 pour atteindre 11 000 milliards d’euros1. Comment explique-t-on un tel essor ? Principalement par l’émergence de ruptures technologiques (véhicules électriques, nouveaux composants, nouveaux services, etc.), nécessitant le développement de nouveaux systèmes et logiciels. 

Compétitivité et souveraineté 

Les Etats-Unis et la Chine l’ont déjà bien compris et se sont déjà lancés dans des stratégies d’intégration renforcées. Celles-ci se divisent en deux catégories. D’un côté, on retrouve la stratégie Tesla d’intégration dite « verticale », avec l’ambition de contrôler tout le cœur du véhicule, batteries et logiciels compris. De l’autre, des groupements d’entreprises automobiles et technologiques chinoises engagées dans des stratégies d’intégration horizontale pour proposer des offres compétitives en matière de mobilité intelligente. 

C’est dans ce contexte que s’inscrit la Software République, dont « l’objectif est de structurer une nouvelle filière de développement des logiciels dédiés à la mobilité » précise François Dossa. Une stratégie d’intégration horizontale qui répond à la fois à un enjeu de compétitivité pour Renault et, plus largement, à un enjeu de souveraineté – avec l’urgence pour la France et l’Europe de construire un écosystème durable dans ce domaine. 

« Software » et « République » 

La Software République désigne un ensemble de partenaires représentant chacune des briques ou « compétences » pour développer des innovations logicielles pour la mobilité. Parmi les partenaires, 5 membres fondateurs : Atos, Dassault Systèmes, Groupe Renault, STMicroelectronics et Thales (1). Pour François Dossa, « ces partenaires fondateurs vont apporter les compétences nécessaires pour le développement d’innovations technologiques et logicielles pour la mobilité. La combinaison de toutes nos compétences permettra d’accélérer la mise en œuvre et la commercialisation de ces innovations ». Le nom de « Software République » s’est d’ailleurs imposé de lui-même : 

Software, car il s’agit de développer des logiciels dans trois grands domaines : systèmes véhicules, systèmes pour la mobilité et écosystèmes d’énergie. Tout cela en s’appuyant sur des facilitateurs technologiques incontournables comme l’intelligence artificielle, la cybersécurité, l’électronique spécialisée, le big data et la simulation numérique.  

République, pour désigner son fonctionnement en écosystème. Et plus précisément une démarche d’open innovation entre partenaires complémentaires (grandes entreprises, start-ups, universités, centres de recherche, pouvoirs publics, etc.) pour co-développer de nouvelles solutions innovantes et de nouveaux services. 


De gauche à droite : Elie Girard (Atos), Bernard Charlès (Dassault Systèmes), Luca De Meo (Groupe Renault), Jean-Marc Chéry (STMicroelectronics) et Patrice Caine (Thales)


Mobilité intelligente et durable 

In fine, ces logiciels et solutions développés au sein de la Software République s’adresseront aux opérateurs de services de mobilité (entreprises privées ou collectivités publiques), « leur permettant de développer des offres facilitant l’accessibilité des territoires et améliorant l’expérience des citoyens ainsi que la gestion de l’énergie », explique François Dossa. 

Parmi les premiers exemples concrets de solutions en discussion avec les partenaires, « Plug&Charge » vise à simplifier la charge électrique via le développement de nouvelles technologies et services. Ce système permettra à une voiture, branchée sur n’importe quelle borne compatible, d’être reconnue pour que le paiement de la charge se fasse automatiquement. La Software République se penche aussi dès à présent sur la simulation des flux pour faciliter l’accès et les échanges d'informations de mobilité, de façon instantanée et ouverte à l’échelle d’un territoire, afin d’apporter des solutions pour fluidifier la circulation, réduire les embouteillages, le temps perdu et les émissions de CO2.  

"La Software République va se matérialiser dès 2021 avec le lancement des premières coopérations spécifiques au 2ème trimestre." François Dossa

Recherches et développements 

Pour bien comprendre la place et le rôle de chacun dans la Software République, son fonctionnement peut se résumer ainsi :  

  • Un groupe de membres fondateurs, qui définissent la stratégie et priorisent les solutions technologiques à développer. 
  • Des coopérations spécifiques, pour faire émerger des équipementiers technologiques pour la mobilité, en développant et commercialisant conjointement de nouvelles solutions technologiques.  
  • Un incubateur, pour développer les start-ups les plus innovantes en technologie pour la mobilité. 
  • Un fonds d’investissement spécialisé dans la technologie pour la mobilité, pour financer les start-ups les plus prometteuses. 
  • Un institut de recherche, pour favoriser les échanges entre les industriels et le monde académique. 

La Software République : un nouvel écosystème pour innover dans la mobilité intelligente et durable

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(1) NDLR : 

  • Atos contribuera sur le plan de la décarbonation des mobilités.

Atos est un leader international de la transformation digitale avec 105 000 collaborateurs et un chiffre d’affaires annuel de 11 milliards d’euros. Numéro un européen du cloud, de la cybersécurité et des supercalculateurs, le Groupe fournit des solutions intégrées pour tous les secteurs, dans 71 pays. Pionnier des services et produits de décarbonation, Atos s’engage à fournir des solutions numériques sécurisées et décarbonées à ses clients. Atos opère sous les marques Atos et Atos|Syntel. Atos est une SE (Société Européenne) cotée sur Euronext Paris et fait partie de l’indice CAC 40. La raison d’être d’Atos est de contribuer à façonner l’espace informationnel. Avec ses compétences et ses services, le Groupe supporte le développement de la connaissance, de l’éducation et de la recherche dans une approche pluriculturelle et contribue au développement de l’excellence scientifique et technologique. Partout dans le monde, Atos permet à ses clients et à ses collaborateurs, et plus généralement au plus grand nombre, de vivre, travailler et progresser durablement et en toute confiance dans l’espace informationnel. www.atos.net/fr

  • Dassault Systèmes mettra à disposition de l'alliance sa plateforme 3D Experience pour proposer un environnement virtuel collaboratif. 
Dassault Systèmes, the 3DEXPERIENCE Company, est un « accélérateur de progrès humain ». Elle propose aux entreprises et aux particuliers des environnements virtuels collaboratifs leur permettant d’imaginer des innovations plus durables. En développant un jumeau virtuel du monde réel grâce à la plateforme 3DEXPERIENCE et à ses applications, Dassault Systèmes donne à ses clients les moyens de repousser les limites de l'innovation, de l'apprentissage et de la production. Les 20 000 collaborateurs de Dassault Systèmes travaillent à créer de la valeur pour ses 290 000 clients de toutes tailles, dans toutes les industries et dans plus de 140 pays. Pour plus d'informations : www.3ds.com/fr
  • Renault hébergera l'alliance dans le bâtiment Odyssée de son Technocentre Renault à Guyancourt. 
Le Groupe Renault est aux avant-postes d’une mobilité qui se réinvente. Fort de son alliance avec Nissan et Mitsubishi Motors, et de son expertise unique en termes d’électrification, le Groupe Renault s’appuie sur la complémentarité de ses 5 marques - Renault – Dacia – LADA- Alpine et Mobilize – et propose des solutions de mobilités durables et innovantes à ses clients. Implanté dans plus de 130 pays il réunit aujourd’hui plus de 180 000 collaborateurs et a vendu 2,9 millions de véhicules en 2020. Prêt à relever des défis sur route comme en compétition, le Groupe est engagé dans une transformation ambitieuse et génératrice de valeur. Celle-ci est centrée sur le développement de technologies et de services inédits, d’une nouvelle gamme de véhicules encore plus compétitive, équilibrée et électrifiée. En phase avec les enjeux environnementaux, le Groupe Renault a l’ambition d’atteindre la neutralité carbone en Europe d’ici à 2050. www.group.renault.com/fr
  • STMicroelectronics sera chargé d'apporter ses innovations en produits et solutions semiconducteurs dédiées à l’électrification et à la numérisation des véhicules et services de mobilité.
Chez ST, nous sommes 46 000 créateurs et fabricants de technologies microélectroniques. Nous maîtrisons toute la chaîne d’approvisionnement des semiconducteurs avec nos sites de production de pointe. En tant que fabricant de composants indépendant, nous collaborons avec plus de 100 000 clients et des milliers de partenaires. Avec eux, nous concevons et créons des produits, des solutions et des écosystèmes qui répondent à leurs défis et opportunités, et à la nécessité de contribuer à un monde plus durable. Nos technologies permettent une mobilité plus intelligente, une gestion plus efficace de l’énergie et de la puissance, et un déploiement à grande échelle de l’Internet des objets (IoT) et de la 5G. Pour de plus amples informations, visitez le site www.st.com.
  • Thales de travailler sur des solutions de renforcement de la protection des véhicules, de leurs données et celle des acteurs de la mobilité.
Thales (Euronext Paris: HO) est un leader mondial des hautes technologies qui investit dans les innovations du numérique et de la « deep tech » – connectivité, big data, intelligence artificielle, cybersécurité et quantique – pour construire un avenir de confiance, essentiel au développement de nos sociétés. Le Groupe propose des solutions, services et produits qui aident ses clients – entreprises, organisations, Etats - dans les domaines de la défense, de l'aéronautique, de l’espace, du transport et de l’identité et sécurité numériques, à remplir leurs missions critiques en plaçant l’humain au cœur des décisions. Thales compte 81 000 collaborateurs dans 68 pays. En 2020, le Groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 17 milliards d'euros. www.thalesgroup.com

#2 - Software République : Plug&Charge ( Groupe Renault )

La mobilité zéro émissions est au cœur des enjeux de la transition écologique. Elle est portée par l’accélération de l’offre en véhicules électriques compétitifs et attractifs. Néanmoins, la décarbonation du parc automobile est directement liée à la simplification de l’accès à la charge électrique : moyens de paiement, abonnements, normalisation des prises, déploiement des réseaux de bornes. Beaucoup reste à faire pour simplifier l’expérience utilisateur. Aujourd’hui et surtout demain.


Pour accélérer la simplification de la charge électrique, les partenaires de la Software République conçoit une solution innovante, basée sur le service Plug&Charge : il permet à une voiture électrique, branchée sur une borne compatible, d’être automatiquement reconnue, et d’effectuer une charge facturée sans la moindre manipulation de l’utilisateur. Finies les cartes, et autres collections d’applications. Habituellement réservé à quelques véhicules qui arriveront plus tard sur le marché, le service doit devenir accessible plus rapidement et surtout être disponible sur une grande variété de marques voitures. Il s’agira notamment de pouvoir équiper en après-vente plusieurs centaines de milliers de véhicules électriques déjà roulants en Europe. Le Plug&Charge pour tous, c’est une charge électrique simplifiée, le meilleur des technologies pour démocratiser une mobilité plus intelligente et respectueuse de l’environnement.

#3 - Software République : Systèmes de Mobilité (Groupe Renault)

La mobilité des biens et des personnes est en pleine mutation et impacte toutes les dimensions de nos organisations. Les villes et les territoires ont pour mission de la favoriser, tout en veillant à réduire ses nuisances. Aujourd’hui, les acteurs sont nombreux et leurs outils fragmentés, ce qui limite la portée des actions entreprises.
Les partenaires de la Software République envisagent de faciliter l’accès et les échanges d'informations de mobilité, de façon instantanée et ouverte à l’échelle du territoire. La mobilité est une clé de la qualité de vie. Elle permet aussi aux citoyens et aux acteurs économiques de contribuer à une mobilité durable. La Software République ambitionne d’y jouer un rôle central.

vendredi 16 avril 2021

Recharge des véhicules électriques, l’Europe n’est pas du tout au rendez-vous. (Transitions&Energies 16/04/2021)

La Cour des comptes européenne vient de rendre public il y a quelques jours un rapport très critique sur le déploiement en Europe des bornes de recharge pour voitures électriques, des infrastructures pourtant indispensables au déploiement de ce type de véhicules. L’Union Européenne fait ainsi preuve d’incohérence. Elle incite fortement, via de lourdes amendes, les constructeurs à promouvoir la voiture électrique. Elle a l’intention d’interdire totalement dans moins de deux décennies la commercialisation de véhicules neufs à moteur thermique, mais dans le même temps les pays européens ne respectent pas leurs engagements pour doter leurs territoires de bornes permettant l’utilisation de ces mêmes véhicules électriques à batteries.

Survie de son industrie automobile et capacité de croissance de l’Europe

Télécharger le rapport
La question est encore plus importante qu’il n’y parait. Elle conditionne la survie d’une industrie automobile européenne surendettée qui a investi des dizaines de milliards d’euros dans la motorisation électrique. Dans le classement des sociétés les plus endettées au monde à la fin de l’année 2019, l’automobile est le secteur le plus représenté. Volkswagen est le numéro un mondial avec 192 milliards de dollars de dettes, Daimler Benz est quatrième (151 milliards) et BMW huitième (114 milliards). L’installation d’infrastructures permettant une transition sans trop de difficultés vers les véhicules électriques conditionne aussi la capacité de l’économie européenne a connaître à nouveau le développement et la croissance dans les prochaines années. Les transports sont un élément majeur et essentiel de l’activité économique. Il faut se rendre compte du fait que la transition vers la motorisation électrique est sans précédent. Il y a une différence profonde de nature entre une rupture technologique résultant d’un progrès indéniable et d’une demande populaire massive, comme par exemple avec la révolution des téléphones portables, qui sont devenus des outils sociaux et professionnels indispensables, et la vente forcée d’un nouveau produit souvent inférieur et plus coûteux que le précédent. Pour la première fois de l’histoire automobile, une technologie est imposée non par les consommateurs ou l’industrie, mais par les pouvoirs publics.

Or, l’un des principaux freins au développement des véhicules électriques tient à l’insuffisance quantitative et qualitative du réseau de bornes électriques. Il y en a trop peu. Elles offrent une puissance et donc une rapidité de recharge souvent insuffisantes. Elles sont assez peu fiables et leur utilisation est compliquée avec une multitude de type de paiements et d’abonnements différents. C’est d’ailleurs une des raisons pour lesquelles, selon un sondage réalisé au début de l’année par l’équipementier Continental, une majorité de Français et d’Allemands n’a pas aujourd’hui l’intention de passer à l’électrique.

«Pas d’objectifs clairs et cohérents»

Si le titre du rapport est assez anodin et technocratique, « Des bornes de recharge plus nombreuses mais inégalement réparties dans l’UE, ce qui complique les déplacements », sa conclusion est plus directe, « parcourir l’UE au volant d’un véhicule électrique reste compliqué ». L’UE a pour mission de soutenir « le déploiement d’infrastructures de recharge électrique par les États membres en fournissant des leviers d’action et des financements, et en assurant la coordination ». Elle en est loin.

Le rapport souligne que « l’UE ne s’est dotée ni d’objectifs clairs et cohérents, ni d’exigences minimales communes en matière d’infrastructures. La multiplicité des systèmes de paiement et d’information complique l’expérience des utilisateurs. Par exemple, les informations sur la disponibilité en temps réel, la recharge et la facturation ne sont guère coordonnées entre les différents réseaux »

Pourtant, dans son plan d’action de 2017, l’Europe avait un objectif ambitieux: avoir 440.000 points de charge répartis sur le continent avant la fin de l’année 2020 et un million fin 2025. À l’époque, 34.000 bornes étaient disponibles. En septembre de l’année dernière, la commission en a recensé 250.000. Le nombre de borne a donc été multiplié par plus de 7 en 3 ans. Pour autant les objectifs chiffrés ne seront pas tenus sachant que le nombre de bornes ne suffit pas. Il faut encore pouvoir les utiliser… Pour ce qui est du nombre, pour avoir un million de bornes d’ici 2025, il faudrait en implanter 3.000 par semaine durant les 4 prochaines années. Difficile à imaginer (voir le graphique ci-dessous).




Plus encore, la cour des comptes pointe du doigt ce qui est évident pour tout conducteur de véhicule électrique aujourd’hui: s’y retrouver entre tous les opérateurs et les différentes méthodes de facturation est un parcours du combattant. Selon les exploitants de points de recharge et les prestataires de services auxquels ils font appel, les conducteurs de
véhicules électriques doivent souscrire plusieurs abonnements et utiliser différentes méthodes de paiement. Le problème ne sera pas résolu tant que tous les points de charge ne pourront pas être utilisés sans souscription obligatoire d’un contrat. Là encore, la partie n’est pas gagnée.

Le problème de la poule et de l’oeuf

Autre problème, la répartition très inégale des bornes sur le continent qui correspond d’ailleurs étroitement à une Europe de la voiture électrique à deux vitesses. Si les ventes de véhicules électriques ont atteint des niveaux records l’an dernier en Europe, cela ne concerne en fait que les pays du nord et les plus riches. L’Europe du sud et de l’est est toujours réfractaire à la motorisation électrique. Cela s’explique avant tout par le fait que les véhicules électriques ne se vendent qu’avec des subventions massives.
De la même façon, au sein de l’Europe des 27, trois pays concentrent près de 70% de l’ensemble des bornes de recharge: l’Allemagne, la France et les Pays-Bas. On peut parler dans le reste de l’Europe, surtout à l’est et au sud, de déserts électriques. Cela rend tout simplement impossible les déplacements dans ces pays avec des véhicules électriques. L’explication première de cette insuffisance d’infrastructures et de la lenteur de leur mise en place est en fait avant tout économique. Les taux d’utilisation actuels des bornes de recharge sont trop faibles pour assurer une rentabilité aux opérateurs. Il s’agit d’un 4/4 paradoxe: beaucoup plus de bornes sont nécessaires pour développer et installer la mobilité électrique en Europe, mais les bornes existantes sont sous-utilisées et trop peu rentables. L’histoire éternelle de la poule et de l’oeuf comme le souligne d’ailleurs avec un certain humour le rapport de la Cour des comptes européenne.

jeudi 15 avril 2021

VOITURES ELECTRIQUES EN EUROPE : Les raisons du choix selon les automobilistes.

  • Une enquête européenne montre que les conducteurs de véhicules 100% électriques sont satisfaits de leur expérience 
  • Pour 97% des utilisateurs, le passage à un véhicule électrique fut « plus simple que prévu » ou « comme prévu » 
  • 89% d'entre eux pensent qu'abandonner leur voiture thermique était la bonne décision

Une nouvelle série de témoignages « Ma vie en Nissan LEAF » met en lumière les histoires authentiques de propriétaires et les avantages de la conduite électrique 

70% des conducteurs européens envisagent d'acheter un véhicule 100% électrique dont 49% déclarent le faire pour des raisons environnementales. Afin de comprendre pourquoi certains clients optent pour un véhicule 100% électrique, 7 000 automobilistes à travers l'Europe ont été interrogés par Nissan, dans le cadre d'une étude, pour révéler leurs habitudes de conduite et de recharge ou de ravitaillement. Les automobilistes qui ont répondu étaient à parité conducteurs de véhicules thermiques et 100% électriques.

Selon les premiers résultats obtenus, la plupart des conducteurs interrogés ont manifesté leur satisfaction quant aux véhicules électriques. 74% d'entre eux se sentent plus sereins au volant et 77% estiment qu'il est plus agréable de conduire un véhicule 100% électrique qu'un véhicule thermique. Enfin, 89% sont convaincus d'avoir fait le bon choix.

Par ailleurs, 97% des conducteurs de véhicules 100% électriques ont trouvé leur passage du thermique à l'électrique « plus facile que prévu » ou « comme ils l'avaient prévu »,

De plus, 70% des automobilistes ont découvert que leur véhicule 100% électrique disposait d'une autonomie supérieure à celle qu'ils estimaient au départ. Cet argument pourrait par ailleurs convaincre 58% des conducteurs de véhicules thermiques à se convertir à l'électrique. 

Arnaud Charpentier, Region Vice President, Product, Strategy and Pricing, Nissan AMIEO, déclare de ce fait : « Cette nouvelle enquête nous permet de constater à quel point les conducteurs européens adoptent l'électrification. Tout comme ils continuent d'explorer le potentiel des véhicules électriques, nous nous engageons à leur montrer les nombreux avantages cette mobilité, et comment il est facile d'opérer changement » a déclaré Arnaud Charpentier, Region Vice President, Product, Strategy and Pricing, Nissan AMIEO. « Entre leurs faibles coûts d'usage, leur agrément au quotidien et leur fonctionnement silencieux, les voitures 100% électriques comme la Nissan LEAF ont transformé l'expérience de conduite quotidienne. »

Changer pour le meilleur

Lorsqu'on en vient à aborder l'agrément de conduite, élément-clé pour Nissan, pas moins de 89% des conducteurs européens de véhicules 100% électriques sont satisfaits de leur expérience et 78% affirment qu'elle est meilleure que prévu.

Plus d'un tiers des conducteurs a pris la décision de se convertir à cette énergie  pour la technologie de pointe de ces véhicules. Celle-ci constitue ainsi l'élément-clé de  des performances et de l'agrément de conduite. 

31% des conducteurs de voitures thermiques envisagent de passer à l'électrique afin d'accéder à ces innovations, ce qui confirme l'importance de celles-ci dans la révolution de la mobilité électrique.

Relever le défi climatique

L'enquête révèle que près de la moitié des conducteurs de modèles thermiques envisagent de passer à l'électrique pour des raisons environnementales. Ces raisons constituent également la motivation principale d'achat de 40% des conducteurs de véhicules 100% électriques.

Selon les sources internes de Nissan, l'utilisation de la Nissan LEAF a permis d'éviter l'émission de 2,5 millions de tonnes de CO2 dans l'atmosphère.

Économiser du carburant

La perspective de faibles coûts d'usage séduit 31% des conducteurs de modèles thermiques qui envisagent de passer à un véhicule 100% électrique. Ils seront rassurés d'apprendre que 83% des conducteurs de ce type de véhicule confirment des coûts de détention encore plus faibles que ce qu'ils avaient prévu.

Pour permettre à tous les conducteurs qui le souhaitent de chiffrer les économies potentielles procurées par le passage à l'électrique, Nissan lance un nouveau calculateur d'économie de carburant en ligne. En indiquant la motorisation souhaitée, le prix du carburant et de l'électricité, les internautes peuvent simuler les économies potentielles procurées dans la durée en choisissant une Nissan LEAF.

Ma vie en Nissan LEAF

Alors que de nombreux automobilistes sont prêts franchir le pas vers la conduite électrifiée, Nissan a voulu mettre en lumière les propriétaires de la Nissan LEAF. L'objectif : leur faire partager les nombreux avantages qu'ils ont découverts lors de la conduite électrique. Constituant une collection unique de témoignages, la série de vidéos Ma vie en Nissan LEAF met en lumière les histoires de propriétaires qui soulignent les avantages de cette mobilité.

De la même façon que chaque propriétaire a contribué à façonner l'histoire de la Nissan LEAF, la berline compacte 100% électrique fait désormais partie de la famille dans le  monde entier. Ainsi, Quentin Lemaire, en France, a acheté une Nissan LEAF pour rester cohérent avec ses convictions écologiques lorsque sa famille s'est agrandie. Shannon Monroe aux États-Unis, est une adepte de la première heure de la LEAF qu'elle a choisi  en 2010. 200 000 km sans émission à l'échappement plus tard, elle reste une propriétaire comblée.

Grâce à ses coûts d'exploitation mesurés ainsi qu'à son véritable agrément de conduit, la Nissan LEAF a également su convaincre les professionnels. Pour Fabien Verbrugghe, chauffeur Uber Green français, la motorisation silencieuse et dynamique de la Nissan LEAF offre à ses clients confort et sécurité, et lui assure un faible coût de fonctionnement. Quant à l'écossais Neil Swanson, il a déjà parcouru 135 000 km avec sa Nissan LEAF de première génération. Il l'a acquise suite à un essai lors d'un concours.

« Plus de 500 000 propriétaires de Nissan LEAF comptent parmi les clients les plus fidèles de la marque. En mettant en lumière leur expérience unique et positive, nous renforçons notre engagement à partager les avantages de la mobilité 100% électrique et à montrer à quel point elle est agréable et avantageuse. » a déclaré Arnaud Charpentier.

Pour découvrir combien vous pourriez économiser ainsi que tous les avantages qu'offrent les véhicules électriques, visitez le calculateur d'économie de carburant en ligne.

Chaque épisode de la série vidéo Ma vie en Nissan LEAF présente des témoignages réels pour mettre en évidence le mode de vie agréable procuré par la mobilité 100% électrique. Pour découvrir l'histoire complète, visitez Nissan Stories.

Pour en savoir plus sur les produits 100% électriques Nissan

Au niveau global, Nissan a récemment dévoilé sa stratégie afin d'atteindre la neutralité carbone d'ici 2050 pour tous ses produits et opérations. En Europe, les véhicules électrifiés représenteront environ la moitié des ventes d'ici la fin de l'exercice 2023.

L'enquête

(1) OnePoll a interrogé 7000 personnes en Allemagne, en Espagne, en France, en Italie, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni ; ainsi que dans les pays nordiques : Norvège, Suède et Danemark. L'enquête a eu lieu du 29 janvier au 23 février derniers. Elle a été menée en ligne auprès d'un panel représentatif, selon la méthode des quotas. Les répondants conduisant des véhicules électriques ou thermiques ont été ciblés à l'aide de questions de sélection.

vendredi 9 avril 2021

Nouvelle DACIA Spring, la révolution électrique à l’essai

UNE NOUVELLE R-EV-OLUTION

Depuis 15 ans, Dacia a bousculé le monde de l’automobile avec son modèle économique inédit et ses véhicules abordables, contemporains et centrés sur l’essentiel.

Logan a démocratisé la voiture neuve en 2004. Duster a chamboulé le segment des SUV. Sandero, qui vient tout juste d’être renouvelée, est leader des ventes à particulier en Europe depuis plusieurs années.

Aujourd’hui, Dacia ouvre un nouveau chapitre de son histoire avec l’arrivée de Nouvelle Spring, premier modèle 100% électrique de la marque.

Dacia, marque du Groupe Renault, profite du savoir-faire et de l’expérience unique au monde acquise par le Groupe et l'Alliance Renault-Nissan-Mitsubishi, pionniers de la mobilité électrique depuis plus de 10 ans.

Spring est une r-EV-olution. C’est la voiture électrique la moins chère du marché européen qui rendra la mobilité électrique accessible au plus grand nombre.

Sous son look de SUV se cache une citadine dotée d’une habitabilité record avec 4 vraies places, d’une motorisation électrique simple et fiable et d’une autonomie de 230 km (WLTP combiné) et de 305 km en ville (WLTP city).

Nouvelle Dacia Spring sera proposée en 3 versions :

• Une version grand public, en pré-commande à partir du 20 mars 2021, pour des premières livraisons à l’automne 2021

• Une version Business, disponible dès mars 2021, pour les sociétés d’autopartage, les loueurs et les flottes d’entreprise

• Une déclinaison 100% utilitaire, dite Cargo, sans banquette arrière, commercialisée à partir de début 2022 pour la livraison du dernier kilomètre

En proposant une citadine au look SUV, 100% électrique, qui répond à l’essentiel des besoins des clients à un prix imbattable, Dacia démocratise la mobilité électrique.

DESIGN EXTÉRIEUR

UNE CITADINE « BRANCHÉE » AUX ALLURES DE BAROUDEUSE

Première petite citadine de Dacia, Nouvelle Spring casse les codes de la voiture électrique « conventionnelle ». Son style baroudeur séduisant évoque la robustesse et l’espace intérieur.

UN LOOK DE SUV

Sa ligne affirmée est dotée d’attributs venus du monde des SUV : arches de roues élargies, barres de toit, bas de caisse avant renforcés, ski arrière et garde au sol surélevée (151 mm à vide). Avec ses larges épaules et son capot bombé, Spring dégage un sentiment de robustesse. Sa carrure sécurisante laisse deviner une grande habitabilité intérieure. Spring est pourtant une vraie citadine. Ses dimensions sont compactes : 3,73 m de long, 1,58 m de large (hors rétroviseurs) et 1,51 m de haut (hors charge, barres de toit comprises).

UNE IDENTITÉ FORTE À L’AVANT

Spring ne passe pas inaperçue. Sa face avant dégage une personnalité forte avec un capot nervuré, un large bouclier et des optiques LED effilées dont la ligne horizontale est prolongée dans le dessin de la calandre. Signe distinctif des véhicules électriques, la calandre avant de Nouvelle Spring est pleine. Contemporaine, elle comporte des reliefs en 3D et dissimule la trappe de recharge dont l’ouverture se commande depuis l’habitacle.

UN « PACK ORANGE » (D)ÉTONNANT

Pleine de caractère, Nouvelle Spring assume pleinement son look, réhaussé par un pack coloré disponible sur la version de lancement : les rétroviseurs, les barres de toit, le sticker de porte et le cerclage des entrées d’air sont teintés ou soulignés d’orange. A l’intérieur, les surpiqures des sièges, l’entourage des aérateurs de ventilation et de l’écran multimédia sont orange et les placages de contrefort de porte sont gris brillant. Avec cet apparat, la mobilité électrique fait le plein de style et de fun.

DES ROUES « FLEXWHEEL »

Les enjoliveurs de Nouvelle Spring imitent esthétiquement les jantes alliage. Ce rendu est possible grâce au système Flexwheel : les jantes en tôle sont ajourées afin de permettre l’installation d’élégants enjoliveurs. Une solution maline à la fois esthétique et économique.

UNE FACE ARRIÈRE DYNAMIQUE

La face arrière rappelle, dans sa partie haute, la vocation de citadine de Spring avec une lunette arrière bombée, des optiques de phare arrondies et des courbes douces. La partie basse est quant à elle dôtée des attributs sécurisants d’un SUV : le pare-chocs arrière est équipé d’un robuste bouclier non peint et d’un ski teinté en gris. Afin de dynamiser la silhouette arrière de Spring, les catadioptres sont logées dans des fausses écopes d’air et les ailes arrières sont nervurées.

UNE NOUVELLE SIGNATURE LUMINEUSE

Les optiques arrière sont équipées de la nouvelle signature lumineuse Dacia en forme de Y.

DESIGN INTÉRIEUR

UNE HABITABILITÉ RECORD

Dacia Spring peut accueillir confortablement quatre adultes et dispose d’un coffre généreux.

UN GRAND ESPACE À BORD

Dans des dimensions extérieures compactes de citadine cinq portes, Spring offre quatre vraies places adultes. Avec une garde au toit généreuse et un rayon aux genoux de 100 mm, les places arrière accueillent aisément les grands gabarits. L’impression d’espace participe d’ailleurs au confort général de l’intérieur. Les passagers avant disposent de 23,1 litres de rangements répartis entre la grande boîte à gants, les contreforts de porte et le vide-poches de la console centrale. Les passagers arrière disposent de poches aumônières derrière les sièges avant.

UNE CITADINE QUI A DU COFFRE

Le coffre propose la meilleure capacité de chargement de sa catégorie : 270 dm3 VDA (sans compter le logement sous le coffre pour la roue de secours en option) / 290 litres. Un chiffre digne du segment supérieur. Pour davantage de modularité, la banquette arrière est rabattable. La capacité de chargement passe alors à 620 litres (capacité maximale jusqu’à hauteur de siège).

DES ÉQUIPEMENTS GÉNÉREUX

L’équipement de série, sur toutes les versions commercialisées au lancement, comprend la direction à assistance variable 100% électrique, la climatisation manuelle, le verrouillage centralisé à distance, quatre vitres électriques, l’allumage automatique des phares et le limiteur de vitesse (dont la commande est située sur le volant).

Un afficheur numérique de 3,5 pouces est présent entre les compteurs.

Le système multimédia Media Nav et les réglages électriques des rétroviseurs sont disponibles selon le niveau de finition.

UN INTÉRIEUR ACCUEILLANT

L’habitacle de Spring est fonctionnel. Les contreforts de porte arborent des placages noir brillant entourés d’un liseré bleu. Le levier de vitesse est remplacé par une mollette rotative chromée simple d’utilisation avec 3 positions : D (drive / marche avant), N (neutral / point mort) et R (return / marche arrière).

UN SYSTÈME MULTIMEDIA INTUITIF ET CONVIVIAL

Disponible selon les versions, l’équipement multimédia Media Nav comprend un écran tactile de 7 pouces, la navigation, la radio DAB, la réplication filaire du smartphone compatible avec Apple CarPlay et Android Auto, le Bluetooth, une prise USB et une sortie auxiliaire. Une commande pour la reconnaissance vocale (via smartphone) est située sur le volant. Elle permet d’activer et de commander par la voix l’assistant iOS ou Google du smartphone.

MOTORISATION ET RECHARGE

UNE MOTORISATION ÉLECTRIQUE SIMPLE ET FIABLE

Fidèle à la philosophie des modèles Dacia, Spring est économique à l’achat et à l’usage. Commercialisée à un prix imbattable, elle apporte la simplicité, la polyvalence, la fiabilité et la robustesse. Des qualificatifs qui correspondent parfaitement à sa motorisation 100% électrique peu coûteuse en entretien et offrant une autonomie de 230 km WLTP et de 305 km en cycle WLTP city.

UNE MOTORISATION FIABLE ET ROBUSTE

La motorisation 100% électrique de 33 kW (équivalent à 44 chevaux) est couplée à une batterie de 27,4 kWh. Fonctionnant sans huile et avec un nombre de pièces en mouvement bien plus réduit que sur un moteur thermique (absence de courroie notamment), le moteur électrique de Nouvelle Spring est simple, fiable et robuste.

UNE RECHARGE SIMPLE

Dacia Spring se charge via un connecteur situé derrière la calandre, au niveau du logo. Le déverrouillage de la trappe s’effectue par une commande située dans l’habitacle, sous le volant.

Lorsque Spring est branchée, le tableau de bord affiche les informations suivantes : le témoin de charge, le pourcentage actuel de charge, la durée restante pour atteindre une charge à 100% et l’autonomie disponible en kilomètres avec le niveau de charge actuel.

Pour arrêter la charge, la prise doit être déverrouillée en appuyant sur la commande d’ouverture des portes depuis la clé ou l’habitacle.

UNE APPLICATION PRATIQUE

Depuis un smartphone, l’application gratuite MY Dacia permet de connaître en temps réel le niveau de charge de la batterie, l’autonomie disponible et de localiser la voiture en temps réel. Lorsque Spring est branchée, l’application permet de lancer le pré-conditionnement de l’habitacle (climatisation/chauffage), de s’informer de la progression de la charge et de mettre en pause ou de reprendre cette dernière.


Conformément à la réglementation RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données), une commande en partie basse de la console de bord active ou non l’envoi de données privées. Utilisées par l’application MY Dacia, elles concernent notamment la localisation du véhicule et son numéro de série.

UNE LIBERTÉ DE CHARGE

Pour plus de liberté, Spring offre un large choix de recharge : sur une prise domestique 220V ou sur une prise Green’Up avec un câble Flexicharger (mode 2), sur une Wallbox de 7,4 kW avec un câble spécifique (mode 3) ou sur une borne DC de 30 kW intégrant le câble de charge.

La durée de charge de la batterie lithium-ion est de :

• Moins d’une heure pour une charge à 80% et moins d’1h30 pour une charge à 100% sur une borne DC 30 kW

• Moins de 5 heures pour une charge à 100% sur une Wallbox de 7,4 kW

• Moins de 8h30 pour une charge à 100% sur une Wallbox de 3,7 kW

• Moins de 14 heures pour une charge à 100% sur une prise domestique de 2,3 kW

En Europe, 200 000 bornes sont disponibles en libre-service dont 43 700 aux Pays-Bas, environ 33 000 en Allemagne et près de 30 000 en France.

DES ÉCONOMIES À L’USAGE

Économique à l’achat, Spring l’est aussi à l’usage : son TCO (Total Cost of Ownership) est le plus bas du marché, voitures électriques et thermiques confondues.

UNE DURABILITÉ À TOUTE ÉPREUVE

Comme tous les véhicules Dacia, Spring répond aux exigences de qualité, de fiabilité et de durabilité du Groupe Renault. Elle a subi plus d’un million de kilomètres (en équivalent cumulés) de tests de roulage dans des conditions climatiques et d’usage extrêmes. La durabilité de tous ses matériaux a été mise à rude épreuve lors de « torture tests ». Les performances et les recharges de sa batterie ont été éprouvées à hautes et à basses températures.

AU VOLANT

UNE CITADINE POLYVALENTE ET PRATIQUE

Grâce à son gabarit contenu et son autonomie rassurante, Nouvelle Spring offre une polyvalence d’usage et permet de profiter pleinement du plaisir de rouler électrique.

TOUT LE PLAISIR DE L’ÉLECTRIQUE

La motorisation électrique est agréable à l’usage : bonne réponse à l’accélération (couple de 125 Nm immédiatement disponible), absence de passage de vitesse et de vibration, silence de fonctionnement. Le plaisir électrique est à consommer sans modération et n’émet, à l’usage, ni polluant ni CO2.

UNE AUTONOMIE RASSURANTE

Légère et compacte, Spring dispose d’une autonomie de 230 km en cycle WLTP et de 305 km WLTP City (cycle d’homologation comportant uniquement la partie urbaine du cycle homologué).

Cela lui garantit une grande polyvalence d’utilisation, urbaine mais aussi péri-urbaine. Le freinage régénératif permanent récupère de l’énergie à chaque levée de pied de la pédale d’accélérateur.

En toutes circonstances, l’autonomie peut être améliorée de près de 9% par une simple pression sur le bouton ECO de la console centrale. Ce mode limite la puissance à 23 kW (au lieu de 33 kW) et la vitesse maximale à 100 km/h.

En Europe, le roulage moyen quotidien d’une citadine comparable est de 31 km. Sur cette base, Spring n’a donc besoin que d’une seule charge par semaine.

UNE LIBERTÉ DE CIRCULATION

La motorisation électrique de Spring offre une liberté totale de circulation dans les centres-villes dont l’accès est restreint aux véhicules, même en période de pic de pollution. Dans de nombreuses villes, elle permet un stationnement gratuit.

DES MANOEUVRES FACILITÉES

Avec un rayon de braquage réduit de 4,8 m, Spring se faufile partout en ville. Son système d’assistance au parking, selon la finition, offre des aides visuelles et sonores grâce à trois radars à ultra-sons situés sur le bouclier arrière et une caméra de recul dont l’image est retransmise sur l’écran du système multimédia avec des lignes de guidage.

À L’AISE EN VILLE ET AU DELÀ

Spring est une voiture 100% électrique polyvalente au comportement routier équilibré.

Associés à une garde au sol élevée de 151 mm (à vide), ses dimensions compactes et son faible rayon de braquage de 4,8 mètres lui permettent d’être à l’aise pour se faufiler et se garer en ville.

Sa mécanique fiable, sa facilité d’utilisation, son autonomie et son confort intérieur lui procurent une grande liberté d’usage et lui permettent d’être également à l’aise sur les routes de campagne.

LA SÉCURITÉ À BORD

Les équipements de sécurité de série comprennent entre autres : le limiteur de vitesse, l’ABS, l’ESC, le répartiteur électronique de freinage, 6 airbags, l’allumage automatique des feux et le freinage automatique d’urgence. Ce dernier est actif à partir de 7 km/h et détecte, via le radar avant, la distance du véhicule qui précède (à l'arrêt ou en mouvement). Si un risque de collision est détecté, il alerte le conducteur de manière visuelle et sonore, avant d’amplifier la performance du système de freinage si le conducteur freine mais que le risque est toujours présent. Si le conducteur ne freine pas ou pas suffisamment, il actionne automatiquement ou plus fortement les freins.

La structure de caisse est renforcée au niveau de la baie moteur et du compartiment passager (notamment au niveau du pilier milieu et des poutres de porte) par de l’acier à très haute résistance. La batterie est, quant à elle, protégée des chocs par des soubassements renforcés. Afin de faciliter l’intervention des pompiers, elle est équipée d’un système de déconnection activable et d’une ouverture spécifique pour un accès rapide à l’intérieur de la batterie.

DACIA SPRING BUSINESS

UNE OFFRE PARFAITE POUR RÉPONDRE AUX NOUVELLES MOBILITÉS

En phase avec la transition énergétique et le contexte réglementaire, les besoins et les solutions de mobilité évoluent. Grâce à Spring Business, Dacia propose aux professionnels des flottes et de l’autopartage une réponse pragmatique aux besoins contemporains de mobilité durable accessible à tous.

UNE VERSION BUSINESS SPÉCIFIQUE

En Europe, l’usage moyen d’une voiture en autopartage est de 40 minutes pour une distance parcourue de 8 kilomètres. Dacia Spring répond parfaitement à cette utilisation en étant 100% électrique et simple d’utilisation, fiable et robuste. Par ailleurs, son positionnement prix lui permet d’être en phase avec le modèle économique de l’autopartage et avec les attentes des clients.

En s’appuyant sur l’expertise acquise avec ZITY, le service d’autopartage en libre-service opéré par la joint-venture du Groupe Renault et de Ferrovial à Madrid et Paris, Dacia a développé une version spécifique de Spring pour le marché de l’autopartage : Dacia Spring Business.

Elle est prééquipée pour accueillir la technologie des opérateurs permettant la géolocalisation et autorisant l’ouverture des portes à l’aide d’un smartphone.

UNE FINITION SPÉCIFIQUE

Dacia Spring Business est disponible en blanc ou gris clair, avec des touches de bleu sur les barres de toit. Elle est équipée de dispositifs d’aide au stationnement (caméra de recul et radars arrière), de poignées et de rétroviseurs grainés noirs pour une meilleure durabilité ainsi que de roues Flexwheel de 14 pouces. Les sièges sont en TEP noirs (simili cuir résistant et peu salissant) avec des surpiqures bleues. Dacia Spring Business dispose de série de tapis de sol avant et arrière, de protection des seuils de portes avant et du seuil de coffre. Dans l’habitacle, l’environnement de l’opérateur d’autopartage est disponible pour l’utilisateur sur l’écran du système multimédia et de navigation Media Nav grâce à la réplication filaire smartphone (Apple CarPlay et Android Auto).

UNE MÉCANIQUE FIABLE ET ÉCONOMIQUE

Le moteur électrique utilise une technologie fiable et moins coûteuse en entretien qu’un moteur thermique. Dacia Spring est garantie 3 ans / 100 000 km et sa batterie est garantie 8 ans / 120 000 km.

UN FAIBLE COÛT D’USAGE

Électrique, adaptée à l’autopartage, fiable, légère, robuste et commercialisée à un prix imbattable, Dacia Spring Business permet aux opérateurs de réduire leurs coûts d’exploitation de 20% minimum comparée à l’utilisation d’une voiture standard.

Le TCO (Total Cost of Ownership) de Dacia Spring Business étant le plus bas du marché (voitures électriques et thermiques confondues), il est en phase avec le modèle économique de l’autopartage.

Mobilize, une marque dédiée aux nouvelles mobilités

La mobilité électrique est désormais bien installée dans notre vie quotidienne. Depuis plus de dix ans, le Groupe Renault a acquis une expérience qui lui permet aujourd’hui de mettre la mobilité électrique à la portée de tous, en répondant aux besoins de chacun. En Europe, une voiture électrique sur cinq est conçue par le Groupe Renault. Plus de 30 000 collaborateurs sont formés aux spécificités de la mobilité électrique.

Avec sa marque Mobilize, le Groupe Renault propose des solutions de mobilité adaptées à l’évolution des attentes des consommateurs, des entreprises et des territoires et répondant aux enjeux environnementaux et de décongestion des villes. La mobilité électrique partagée fait partie de ces solutions. Avec près de 10 000 véhicules 100% électriques intégrés dans différentes opérations

d’autopartage, le Groupe Renault est aujourd’hui leader de solution d’autopartage électrique en Europe. Fort de l’expertise du Groupe Renault dans la conception et la fabrication de véhicules électriques et de son expérience en tant qu’opérateur (ZITY) et partenaire d’opérateurs (Green Mobility, Fetch, Totem Mobi…), Mobilize est un partenaire de choix pour les acteurs publics et privés de la mobilité.

Mobilize propose :

• Des véhicules conçus spécifiquement ou adaptés pour les services de mobilité (VTC, autopartage, livraison du dernier kilomètre), comme Dacia Spring Business

• Une acquisition facilitée de flottes grâce à des services de financement

• Une gestion optimisée des véhicules grâce à des plateformes logicielles dédiées à la mobilité, aux données et à l’intelligence artificielle

• Des services d’entretien et de recyclage des véhicules et des batteries

Depuis le 1er mars 2021, les 504 agences de location E.Leclerc proposent -en exclusivité- Dacia Spring Business. 3 000 unités ont été commandées.

DACIA SPRING CARGO

UN VRAI UTILITAIRE COMPACT ÉLECTRIQUE

Destiné aux professionnels, Dacia Spring Cargo est un véhicule utilitaire homologué N1 compacte, maniable, robuste et peu coûteux à l’usage.

UNE SOLUTION POUR LA LIVRAISON DU DERNIER KILOMETRE 

La livraison du dernier kilomètre est le dernier chaînon de la livraison, jusqu’au client final. Compte tenu du nombre important de points de livraison et de leur répartition, cette partie de la livraison est la plus difficile à gérer et donc la plus coûteuse. À l’échelle nationale, elle pèse environ 20% du trafic en ville, occupe 30% de la voirie et se trouve être à l’origine de 25% des émissions de gaz à effet de serre, selon les chiffres publiés par le Comité d’analyse stratégique.

Destiné aux professionnels, Dacia Spring Cargo est un véhicule 100% utilitaire homologué N1.

Compact, maniable, robuste et économique, Dacia Spring Cargo n’émet aucune émission polluante à l’usage. Il représente une solution particulièrement adaptée pour relever le « défi du dernier kilomètre ».

UNE CAPACITÉ DE CHARGEMENT DE 1 100 LITRES

Dacia Spring Cargo est doté d’un coffre qui s’étend au niveau de la banquette arrière, d’un revêtement plastique sur le plancher et sur les passages de roues intérieurs, de quatre anneaux d’arrimage (norme ISO 27956*) et d’une cloison de séparation grillagée (norme ISO 27956*) séparant les passagers avant de la zone de chargement. La longueur de chargement de cette version spécifique est de 1 033 mm, pour un volume de 1 100 litres et une charge utile de 325 kilos. *La norme ISO 27956 s'applique à l'équipement approprié des véhicules pour la sécurisation du chargement dans les camionnettes de livraison ayant une masse en charge jusqu'à 7,5 t. L'ISO 27956:2009 spécifie les exigences minimales et les méthodes d'essai pour sécuriser la charge de façon fiable et en état d'aptitude à la circulation, de façon à protéger les occupants de blessures causées par le ripage de la charge.

UN ÉQUIPEMENT COMPLET

Disponible en teinte extérieure blanche, Spring Cargo dispose d’un équipement de série comprenant la climatisation manuelle, la radio (avec Bluetooth), une prise USB et une prédisposition pour un porte-téléphone, l’allumage automatique des feux, une sellerie en tissu, des poignées extérieures et des rétroviseurs grainés noirs moins sensibles aux rayures, une protection des seuils de porte et de coffre et des roues en tôle de 14 pouces. Pour des raisons d’optimisation du poids, cette version ne dispose pas de roue de secours.

CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES

SPRING ET SPRING BUSINESS

 





















VOLUME DE COFFRE

Volume de coffre en litres                             290 L              

Volume de coffre en dm3 (norme VDA)     270 dm3

Volume jusqu’à la hauteur de siège - 

banquette arrière rabattue en litres              620 L

DIMENSIONS (mm)

Longueur hors tout                                           3 734

Empattement                                                   2 423

Porte-à-faux avant                                          692

Porte-à-faux arrière                                         619

Largeur hors tout avec rétroviseurs rabattus / 1 579  avec rétroviseurs dépliés / 1 770

Voie avant au sol                                             1 385

Voie arrière au sol                                             1 365

Hauteur hors tout                                            1 516

Hauteur avec hayon ouvert à vide                 1 906

Hauteur seuil de coffre à vide                         722

Garde au sol à vide                                         151

Rayon aux genoux de la 2e rangée                 100

Largeur aux coudes avant                             1 281

Largeur aux coudes arrière                             1 256

Largeur aux épaules avant                             1 250

Largeur aux épaules arrière                             1 231

Hauteur sous pavillon de la 1ère rangée         896

Hauteur sous pavillon de la 2e rangée             843

Largeur maximale entrée de coffre                 925

Largeur intérieure entre passage de roue         931

Longueur de chargement banquette rabattue     704