dimanche 30 janvier 2022
Sono Motors fait le point en live sur l'avancement de la SION en live le 03 février à 19h (CET)
jeudi 27 janvier 2022
Ariège : après 1 an de test de la Zoé, le village d'Appy est heureux d'a...
TEMLAB : La recharge mutualisée et partagée qui permet de recharger jusqu’à 12 véhicules en utilisant la puissance d'une seule borne (230Vac – 32 A – 7kW)
mardi 25 janvier 2022
Renault remporte deux prix lors de la 37ème édition du Festival Automobile International
Cette année encore, en 2022 le Festival Automobile International remet ses Grand Prix. Le 3 décembre 2021, un jury composé de 12 membres issus de différents secteurs d’activité - automobile, médias, architecture et joaillerie - s’est réuni à Paris pour examiner la sélection de cette année, qui regroupe des projets créatifs et visionnaires, et désigner les lauréats de chacun des 14 prix.
Deux projets Renault ont attiré l’attention. Renault 5 Prototype, qui revisite le modèle emblématique célébrant cette année ses 50 ans, a été élu par le public Plus Beau Concept Car de l’Année 2022 . Le concept car Renault SUITE N°4, conçu spécialement pour le 60ème anniversaire de la 4L, a reçu la Mention Spéciale du jury.
« Nous sommes très fiers de ces deux prix, » explique Gilles Vidal, Directeur du Design Renault. « Ils viennent couronner le travail acharné des équipes de Design Renault, qui façonnent aujourd’hui la Nouvelle Vague de la marque. »
RENAULT 5 PROTOTYPE, LE PLUS BEAU CONCEPT CAR
En 2022, le Festival Automobile International a réinventé son prix le plus renommé : auparavant attribué à la plus belle voiture, il devient le prix du plus beau concept car. Et pour la toute première fois, le véhicule lauréat a été choisi directement par le public.
Du 2 décembre 2021 au 16 janvier 2022, les amateurs de voitures ont voté en ligne pour élire leur concept car préféré parmi les 10 candidats. Grâce à son design néo-futuriste très apprécié du public, Renault 5 Prototype a été élu Plus Beau Concept Car de l’Année 2022 avec plus de 70 % des votes.
La raison d’être de Renault 5 Prototype est de montrer la volonté de la marque de démocratiser la voiture électrique en Europe. Ce concept car est une citadine compacte pleine de charme qui propulse vers l'avenir l'une des icônes de Renault, avec une touche de modernité 100 % électrique.
« Ce prix est une preuve en plus de l’intemporalité de Renault 5, icône du passé, du présent, et bientôt aussi du futur. Nous sommes fiers de l’accueil reçu par ce prototype par la presse et le public, le modèle de série devant être dévoilé en 2024 » ajoute Gilles Vidal.
MENTION SPÉCIALE POUR RENAULT SUITE N°4
lundi 24 janvier 2022
Renault, Nissan, Mitsubishi dévoileront cette semaine leur plan EV 2030 (EXCLUSIF Reuters)
Renault SA (RENA.PA) , Nissan Motor Co et Mitsubishi Motors Corp (7211.T) prévoient de tripler leur investissement pour développer conjointement des véhicules électriques (VE), ont déclaré à Reuters deux personnes connaissant le projet.
Vidéo |
Alors que les constructeurs automobiles établis font face à la pression de nouveaux concurrents et à une évolution attendue de la demande vers les véhicules électriques, l'alliance franco-japonaise cherche à approfondir la coopération.
Les trois devraient annoncer jeudi un plan d'investissement de plus de 20 milliards d'euros (23 milliards de dollars) au cours des cinq prochaines années dans le développement des véhicules électriques, ont indiqué les sources. D'ici 2030, l'alliance devrait proposer plus de 30 nouveaux véhicules électriques à batterie reposant sur cinq plates-formes communes, ont-ils déclaré.
Cela s'ajoute aux 10 milliards d'euros que le groupe a déjà dépensés pour l'électrification, ont précisé les deux personnes au courant du plan.
Un porte-parole de Nissan a refusé de "commenter les spéculations". Les porte-parole de Renault et Mitsubishi n'ont pas répondu aux demandes de commentaires.
Le plan "Alliance to 2030" vise à montrer "une coopération intensifiée" entre les constructeurs automobiles, mettant en avant une "vision partagée sur l'électrification et la mobilité connectée", a déclaré une source. Les cinq plates-formes communes devraient couvrir 90 % des véhicules électriques que les entreprises devraient développer et lancer d'ici 2030, ont indiqué les sources.
L'alliance de trois entreprises a développé et partiellement déployé quatre plates-formes communes de véhicules électriques.
L'un sous-tend les véhicules électriques tels que le prochain Ariya de Nissan et le Megane EV de Renault, et un autre prend en charge les voitures abordables sans fioritures de Nissan et de son partenaire du marché chinois Dongfeng, ainsi que pour la marque Dacia de Renault. Les deux autres sont des plateformes pour micro minis, appelées « kei cars » au Japon, et des véhicules utilitaires légers.
D'ici le milieu de la décennie, l'alliance vise à déployer une cinquième plate-forme commune pour les véhicules électriques compacts conçus par Renault, ont indiqué les sources.
Nissan a déjà décidé d'utiliser cette plate-forme, appelée CMFB-EV, et d'autres composants standardisés pour électrifier la voiture compacte Nissan Micra, tandis que Renault devrait proposer une voiture électrique similaire basée sur la même plate-forme, ont indiqué les sources. La Micra EV devrait sortir au milieu des années 2020.
VE ABORDABLES
Le logo de l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi est visible avant une conférence de presse conjointe des chefs de Renault, Nissan et Mitsubishi à Yokohama, au Japon, le 12 mars 2019. REUTERS/Kim Kyung-Hoon/File Photo
Le logo de l'alliance Renault-Nissan-Mitsubishi est visible avant une conférence de presse conjointe des chefs de Renault, Nissan et Mitsubishi à Yokohama, au Japon, le 12 mars 2019. REUTERS/Kim Kyung-Hoon/File Photo
Les constructeurs automobiles espèrent rendre les véhicules électriques compacts aussi abordables que les véhicules à essence de taille similaire, ont indiqué les sources.
Les constructeurs automobiles devraient utiliser des batteries communes et d'autres composants clés. L'alliance prévoit d'investir conjointement dans la capacité de produire en France, en Grande-Bretagne, en Chine et au Japon un total de 220 gigawattheures de capacité de batterie d'ici 2030 dans le cadre du plan, ont indiqué les sources.
En normalisant et en partageant les batteries, l'alliance espère réduire de moitié les coûts de fabrication des batteries, ont-ils déclaré.
L'alliance devrait également partager la technologie des batteries lithium-ion à l'état solide, que Nissan a développée, ont-ils déclaré.
Le plan était que les dirigeants de Renault, Nissan et Mitsubishi annoncent le plan 2030 l'automne dernier lors d'un événement au Japon, mais l'annonce a été reportée à cette semaine en raison d'une augmentation du COVID-19 au Japon, ont indiqué les sources.
Un désaccord entre Nissan et Renault sur les propositions de l'entreprise française pour une fusion à part entière - des tensions qui ont éclaté au grand jour avec l'arrestation de l'ancien chef de l'alliance Carlos Ghosn en 2018 - correspondait à des efforts bloqués pour collaborer sur la technologie et le développement de véhicules, des personnes avec connaissance de la question ont dit.
Les trois constructeurs automobiles ont tous leurs propres technologies hybrides avec peu de pièces et de systèmes clés partagés. La coopération limitée en matière d'approvisionnement et de développement a soulevé des inquiétudes au sein du groupe quant à la capacité de réaliser des économies de coûts, a déclaré une source.
Il n'était pas immédiatement clair si les dirigeants de l'alliance discuteraient des hybrides dans le cadre de leur plan 2030.
Nissan a déclaré en novembre qu'il prévoyait de dépenser quelque 18 milliards de dollars sur cinq ans pour accélérer l'électrification des véhicules, en lançant 23 véhicules électrifiés - y compris des hybrides essence-électrique - d'ici 2030, dont 15 véhicules électriques. La moitié de la gamme de véhicules de Nissan sera électrifiée d'ici 2030, y compris les véhicules électriques et les hybrides e-Power, a indiqué la société.
Renault a déclaré que sa marque Renault serait 100% électrique en Europe d'ici 2030, mais des responsables de l'entreprise ont déclaré à Reuters que l'objectif ne s'applique pas aux marchés hors Europe et aux autres marques du groupe, telles que Dacia.
Par Norihiko Shirouzu pour Reuters
jeudi 20 janvier 2022
OpenR : quand l’écran tactile fait corps avec la techno Renault Group
Un écran XXL pour une immersion totale
Grâce à un traitement anti-reflets utilisant la technologie des micro- persiennes, le tableau de bord de Nouvelle Mégane E-TECH Electric se passe de « casquette ». |
Des composants au service d’une expérience inédite
De jour comme de nuit, le conducteur n’est pas dépaysé. |
Une expérience de navigation enrichie par l’écosystème google
Technologies de pointe : Renault s'entoure d'experts
Comme les autres éléments du cockpit, le volant de Nouvelle Mégane E-TECH Electric a été dessiné par l'usage. Il combine plaisir de conduite et lisibilité du tableau de bord. |
Des challenges relevés grâce à des idées audacieuses
mardi 18 janvier 2022
Voici les voitures électriques qui consomment le moins ! (INSIDE EVs)
- Fiat 500 e Action : 13,0 kWh
- Hyundai Ioniq : 13,8 kWh
- Dacia Sprint : 13,9 kWh
- Tesla Model 3 (propulsion) : 14,0 kWh
- Hyundai Kona 100 kW : 14,3 kWh
- Mini Cooper SE : 15,2 kWh
- BMW i3 125 kW : 15,3 kWh
- Citroën e-C4 : 15,3 kWh
- VW ID.3 Performance 107 kW : 15,4 kWh
- Kia e-Soul 136 39 kWh : 15,6 kWh
lundi 17 janvier 2022
Plus de 30 nouveautés électriques 2022 à découvrir sur l'Argus.fr
jeudi 13 janvier 2022
Véhicules hybrides plug-in: une véritable arnaque aux émissions de CO2.
dimanche 9 janvier 2022
L’avenir des voitures hybrides rechargeables en suspens ( Le Monde )
En apparence, la route semble parfaitement dégagée pour les modèles hybrides rechargeables. Leurs ventes, euphoriques en Europe, ont plus que doublé en France, avec 125 000 immatriculations depuis le début de 2021 (une part de marché de 10 % en novembre), contre 59 000 en 2020, alors que la multiplication de nouveautés semble devoir prolonger cette croissance. Tributaire de normes et d’avantages fiscaux controversés, le succès de ces véhicules semble, en fait, reposer sur des bases de plus en plus fragiles.
Associant deux moteurs (l’un thermique, l’autre électrique) et dotés d’une batterie que l’on peut recharger sur une prise extérieure, les hybrides rechargeables, connus sous le sigle PHEV (plug-in hybrid electric vehicle), sont critiqués. Alors que leur tarif les rapproche nettement des modèles 100 % électriques, leurs performances environnementales réelles se situent bien en deçà. « Cette technologie n’a pas d’avenir », déclare Lionel French Keogh, président de Hyundai France. « Les coûts d’utilisation ont explosé pour une raison simple : tout dépend de l’usage qui en est fait », souligne-t-il. L’écart entre les conditions d’homologation de ces véhicules et la manière dont ils sont utilisés dans la vraie vie devient de plus en plus manifeste.
Un hybride rechargeable peut parcourir, au mieux, une cinquantaine de kilomètres grâce à son seul moteur électrique, mais il devra ensuite fortement solliciter son moteur thermique en raison du poids (de 100 kg à 300 kg) de la batterie. Autrement dit, s’il est utilisé comme un véhicule thermique classique, un PHEV brûle beaucoup plus d’essence que prévu. La série de tests normalisés que L’Automobile-Magazine a publiés le 19 décembre apparaît édifiante. Ainsi, la version hybride classique (la batterie se recharge à la décélération) du Renault Captur se contente de 5,7 litres aux 100 km, soit 113 g de CO2 au kilomètre. En revanche, la version hybride rechargeable consomme 6,3 litres, mais elle a été homologuée pour seulement 1,4 litre en moyenne et 32 g de CO2 aux 100 km.
« Personne ne change de comportement »
Développée pour répondre à la réglementation imposée pour vendre des voitures sur le marché chinois alors en plein essor, la technologie du PHEV répondrait à un effet d’aubaine alors que, de l’aveu même des constructeurs, une forte minorité d’utilisateurs ne jouent pas le jeu de la recharge.
Plus des trois quarts des immatriculations de PHEV sont imputables à des flottes d’entreprise, la loi leur imposant de « verdir » leurs gammes (avec, à la clé, l’exonération de la taxe sur les véhicules de société). Jusqu’alors enthousiastes, plusieurs constructeurs font marche arrière. Mercedes puis Skoda ont annoncé qu’ils allaient cesser de développer ces modèles, dont la valeur de revente, à terme, commence à inspirer quelques inquiétudes. Sans parler de la menace que fait peser la croissance, plus soutenue que prévu, des ventes de véhicules électriques, à peine plus chers.
Dans une longue étude publiée en novembre, Transport & Environment (T&E), une association qui rassemble une cinquantaine d’organisations non gouvernementales, instruit le procès de l’hybride rechargeable, dont les deux tiers sont des SUV, plus lourds et moins aérodynamiques que les berlines. « Leurs émissions de CO2 sont deux à quatre fois supérieures à celles mesurées en laboratoire. Ce qui signifie que le recul officiellement recensé des émissions ne se vérifie pas sur la route », martèle T&E.
Sous un vernis de nouveauté technologique, l’hybride rechargeable permettrait de maintenir le statu quo. « Avec le PHEV, personne ne change de comportement, et tout le monde est content », dit en soupirant Diane Strauss, directrice de Transport & Environment pour la France. Selon elle, la part de ces véhicules dans les ventes devrait décliner à partir de 2025-2026, « lorsque l’on atteindra une parité de coût entre véhicules électriques et thermiques ».
Accentuer la pression sur les conducteurs
Céline Goubet, déléguée générale de l’Association nationale pour le développement de la mobilité électrique (Avere), admet que « la question centrale est celle de la manière dont sont utilisés les hybrides rechargeables ». Pour autant, elle refuse de condamner « une technologie de transition, qui peut rassurer le consommateur et faciliter son passage au tout-électrique ».
Lorsqu’on les interroge, les marques automobiles se disent prêtes à accentuer la pression sur les conducteurs, afin de les pousser à brancher plus systématiquement leur véhicule entre deux utilisations. Citroën vient de proposer sur la C5 Aircross PHEV un système d’alerte qui se déclenche après cinq jours et dix trajets effectués sans recharge. Au bout de trente jours, une alerte se déclenchera de manière insistante. Pour sa part, Renault se dit prêt à aller jusqu’à l’immobilisation d’un hybride que son utilisateur s’obstinerait à ne pas recharger.
Soutenus par les pouvoirs publics – Emmanuel Macron s’est déclaré favorable au maintien de la commercialisation d’hybrides rechargeables au-delà de 2035, une date proposée par l’Union européenne pour l’interdiction de produire des véhicules thermiques –, les constructeurs considèrent que cette technologie doit contribuer à amortir le choc d’une transition vers le 100 % électrique menée tambour battant. « Tuer brutalement le moteur à combustion interne à partir de 2035, voire plus tôt, c’est prendre le risque que la voiture électrique ne puisse pas répondre aux besoins de tous. D’autant que rien ne dit que le maillage des bornes de recharge suivra la demande », fait valoir Gilles Le Borgne, directeur de l’ingénierie de Renault.
Un plaidoyer qui sous-tend un argument massue : préserver l’hybride rechargeable, ce serait protéger la production de moteurs thermiques dans les usines françaises, face à une transition énergétique potentiellement destructrice d’emplois.
Jean-Michel Normand le 30 décembre 2021