lundi 27 février 2017

L’Alliance Renault-Nissan et Transdev vont développer ensemble un système de flotte de véhicules autonomes pour les mobilités de demain

Les deux groupes ont signé un contrat de recherche en vue de développer des solutions de mobilité avec des véhicules autonomes, pour les transports publics et pour les transports à la demande.
L’Alliance Renault-Nissan et Transdev ont décidé de travailler ensemble au développement de services de mobilité avec des flottes de véhicules électriques autonomes pour les transports publics et les transports à la demande.

Les deux entreprises vont collaborer à la conception d’un système de transport complet et modulaire qui permettra aux clients de réserver leurs trajets, et aux opérateurs d’exploiter et de gérer une flotte de véhicules autonomes.
“Alors que le paysage des services de mobilité ne cesse d’évoluer, une occasion unique se présente d’apporter des solutions de mobilité innovantes, connectées, pour répondre aux nouveaux besoins de nos consommateurs, en parfaite adéquation avec notre vision d’une société « zero-emission, zero-fatalities »” se félicite Ogi Redzic, Directeur Alliance Véhicules Connectés et Services à la Mobilité. “Le partenariat avec Transdev nous permet de partager nos compétences de leader en matière de véhicule électrique, de conduite autonome et de voiture connectée, avec l’un des principaux opérateurs de mobilité multimodale au monde. Ensemble nous allons développer un système avancé de mobilité sans chauffeur qui améliorera considérablement les services existants de transports publics et à la demande.”

La recherche portera dans un premier temps sur des essais de terrain à Paris-Saclay avec des Renault ZOE, le véhicule électrique le plus vendu en Europe, et la plateforme de répartition à la demande, de supervision et de routage élaborée par Transdev. 

“La mobilité du futur sera P.A.C.E. – Personnalisée, Autonome, Connectée et Electrique,” affirme Yann Leriche, directeur de la performance du groupe Transdev. “Nous sommes parmi les leaders mondiaux des services de mobilité. Nous offrons à nos clients, collectivités organisatrices et passagers, les meilleures solutions de transport. Nous sommes à la pointe de l’innovation, en particulier pour les solutions à la demande, que nous développons aussi bien pour le transport public que dans le champ commercial. En associant nos forces à celles d’un constructeur automobile mondial qui partage la même
volonté d’améliorer la mobilité quotidienne des clients, nous allons renforcer nos capacités d’innovation et accélérer la mise sur le marché de nouveaux services.”

L’Alliance Renault-Nissan a formé plusieurs partenariats afin d’accélérer le développement de technologies de connectivité et de services à la mobilité nouvelle génération. Un accord a ainsi été signé avec Microsoft en vue de concevoir une plateforme mondiale unique qui enrichira l’expérience du consommateur en rendant la conduite plus intuitive, plus intelligente et plus amusante ; et un autre partenariat avec une entreprise internet japonaise, DeNA, verra le lancement de tests au Japon afin de développer des véhicules sans chauffeur destinés aux services commerciaux.

Transdev est un groupe pionnier dans les services de véhicules autonomes. Il s’est engagée dans une série de déploiements pilotes dans plusieurs pays et exploite actuellement le premier service commercial avec navettes autonomes au monde sur le campus d’EDF à Civaux, en France. Transdev accélère le développement de son système d’exploitation véhicule autonome  avec des partenaires de premier plan dont Vedecom et SystemX.


À PROPOS DE L’ALLIANCE RENAULT-NISSAN
L’Alliance Renault-Nissan est un partenariat stratégique entre l’entreprise Renault, basée à Paris, et la société Nissan, basée à Yokohama au Japon. À eux deux, ils représentent 10 % du marché mondial automobile. En 2015, les deux sociétés partenaires stratégiques depuis 1999, ont vendu 8,5 millions de voitures dans presque 200 pays. L’Alliance est également partenaire de plusieurs autres constructeurs, tels que la société allemande Daimler, l’entreprise chinoise Dongfeng et le constructeur japonais Mitsubishi Motors. L’Alliance est également actionnaire majoritaire de la coentreprise propriétaire du premier constructeur automobile russe, AVTOVAZ.


À PROPOS DE TRANSDEV
Filiale détenue par la Caisse des Dépôts et Consignation à hauteur de 70% et dans laquelle Véolia détient une participation de 30%, Transdev est l’un des leaders mondiaux de la mobilité. Transdev conseille et accompagne les collectivités territoriales, du pré-projet à l’exploitation quotidienne des réseaux de transports publics en passant par l’assistance à la maîtrise d’ouvrage. Avec 83 000 collaborateurs dans 19  pays, le groupe exploite 43 000 véhicules et 22 réseaux de tramway. Transdev a réalisé en 2015 un chiffre d’affaires de 6,6 milliards d’euros.

vendredi 24 février 2017

Electromobilistes, l'AFIREV nous invite à coopérer.

Suite à nos différents échanges et à la pétition en faveur d'une réelle interopérabilite, comme il s'y était engagé, M. Gilles BERNARD président de l' ASSOCIATION FRANÇAISE POUR L’ITINÉRANCE DE LA RECHARGE ÉLECTRIQUE DES VÉHICULES (AFIREV) m'a convié à son conseil d'administration.
A l'ordre du jour,  le projet GREENFEED et l’étude lancée par l’AFIREV sur les supports futurs des contrats d’utilisateurs.
Autour de la table, autour du Président G. BERNARD et du Préfet F. VUIBERT (chef de projet du Plan industriel « Bornes électriques de recharge )les représentants des membres titulaires  de l'association: 
En introduction de la séance, M. Bernard rappelle que l'AFIREV, lieu de coopération entre les acteurs de la mobilité électrique, souhaite voir réussir "les trois enjeux essentiels de l’interopérabilité pour l’itinérance des services de recharges :
  • La multiplication en grand nombre des utilisateurs de véhicules électriques, faisant passer ceux-ci des précurseurs militants actuels à la masse des conducteurs, massification qu’il faut à la fois favoriser et maîtriser. Favoriser en libérant les conducteurs du souci de la recharge de leur véhicule pour mieux les convaincre, grâce à des services qui les accompagnent dans leurs déplacements. Maîtriser en renforçant la robustesse des services opérés en proportion de cette massification des usages.
  • L’ouverture des fonctions d’itinérance à un marché ouvert de services de mobilité électrique, qui ne soit pas réservé à des accords spécifiques entre opérateurs, et à coût minimum. Il convient d’éviter la situation actuelle de la téléphonie mobile dont le coût de roaming constaté à l’échelle Européenne est trop élevé, par une organisation optimale conçue dès le début du développement de ce nouveau marché de l’électro-mobilité.
  • La sécurisation des services inter-opérés pour l’itinérance, afin d’assurer le haut niveau de fiabilité nécessaires aux utilisateurs, et la sécurité des transactions : prévention des fraudes, sécurité des données personnelles, cyber-sécurité."

Le projet GREENFEED

M.Bernard passe la parole à M. Stéphane Maynard de BENOMAD responsable du programme GREENFEED chargé de développer un ensemble de solutions logicielles et matérielles interopérables pour la recharge des VE. Voir la présentation en cliquant sur le lein ci dessous.

Cliquer sur l'image pour accéder à la plaquette de présentation.

Pour mieux comprendre le fonctionnement de GreenFeed, reprenons le scénario simple illustré par l’animation ci-dessus.
  1. M. Dupont utilise l’application GreenFeed afin de planifier un trajet d’un point A à un point B. Il peut pour cela :
    • utiliser l’application intégrée dans le système embarqué et connecté de son véhicule, qui a accès à toutes ses caractéristiques techniques (niveau de charge actuel de la batterie, puissance de la batterie, connecteurs compatibles, etc.),
    • ou bien utiliser son smartphone ; il doit alors renseigner manuellement ces paramètres, mais peut enregistrer des « profils de véhicules favoris ».
  2. L’application GreenFeed lui permet de déterminer le meilleur itinéraire. Plusieurs critères sont possibles pour établir un meilleur itinéraire : la durée de trajet et la distance sont des critères classiques disponibles dans tous les calculateurs d’itinéraires actuels. Le projet GreenFeed va plus loin en permettant à l’utilisateur d’optimiser la consommation énergétique de son véhicule.
    Pour cela, de nouveaux algorithmes vont être développés, qui prendront en compte la topographie du terrain, et intégreront des modèles physiques de consommation énergétique.
  3. Selon le critère d’optimisation retenu, et donc l’itinéraire choisi, l’application GreenFeed détermine la consommation énergétique du véhicule, d’après la longueur de l’itinéraire et la topographie du terrain. Ainsi, à partir du niveau de charge de la batterie au départ et des caractéristiques du véhicule, elle peut déterminer si une recharge sera nécessaire pendant le trajet ou non.
    Encore plus fort : connaissant l’Opérateur d’Electro-Mobilité de M. Dupont, l’application GreenFeed détermine, via l’annuaire Girève, toutes les bornes de recharge auxquelles il a accès (grâce aux accords entre Opérateurs d’Electro-Mobilité et Opérateurs de Recharge), et calcule le moment optimal pour effectuer la recharge !
  4. Mais l’intérêt de l’application GreenFeed ne s’arrête pas là, puisqu’en seulement quelques clics, M. Dupont peut réserver une borne pour la durée de son choix !
    Plus tard, lorsqu’il se présentera à l’entrée de la station de recharge, son véhicule sera immédiatement reconnu, grâce à un dispositif utilisant les dernières technologies de communication entre véhicules électriques et bornes de recharge. Un témoin lumineux lui indiquera alors la borne réservée.
  5. Bien entendu, M. Dupont aura toujours la possibilité de recharger son véhicule même sans réservation préalable, grâce au badge que lui a remis son Opérateur d’Electro-Mobilité et aux lecteurs RFID / NFC qui équipent les stations de recharge.
  6. Avec ou sans réservation, le montant de la transaction est automatiquement transmis par l’Opérateur de Recharge à l’Opérateur d’Electro-Mobilité. Ce dernier délivre ensuite, chaque mois, une facture à M. Dupont.

"L’ambition du projet GREENFEED, en lien et en cohérence avec l’interopérabilité portée par GIREVE, est de créer une filière industrielle de production de solutions d’interface adressant le marché français, mais aussi européen, des opérateurs et des équipementiers, pour faciliter le développement des services d’électromobilité de toutes natures. On peut évoquer à titre d’exemple la possibilité de multiplier des solutions d’autopartage utilisant des bornes de recharges diverses sur un même territoire. Il n’existe pas actuellement de projet de filière de ce type en France et sa valeur essentielle sera de permettre la diffusion rapide des standards chez tous les opérateurs, à un coût performant. 
Les principales difficultés à surmonter concernent la diversité des acteurs et équipements à interfacer, et la nécessité de s’articuler avec les travaux de normalisation internationale, pour que cette filière s’inscrive dans la convergence européenne."


L’étude lancée par l’AFIREV sur les supports futurs des contrats d’utilisateurs.

L'intervenant suivant, Jean Philippe Amiel de NEXTENDIS nous présente son analyse sur les problématiques liées au contrat entre l'électromobiliste et son opérateur de mobilité pontées par l'AFIREV:
Le support de contrat actuellement utilisé dans la quasi-totalité des cas par les opérateurs de mobilité est le badge type« Mifare ». Ce badge comporte un identifiant enregistré par le fabricant du badge et lisible par tout lecteur de badges compatible « Mifare ».
L’opérateur de mobilité enregistre dans son système de gestion clients la correspondance entre cet identifiant et les paramètres du client auquel il a remis le badge.
L’opérateur de recharge qui lit l’identifiant porté par le badge, via le lecteur sur la borne de recharge, doit alors disposer de la correspondance entre cet identifiant et l’opérateur de mobilité qui l’a émis pour pouvoir faire jouer l’itinérance de la recharge.
Cette solution présente plusieurs inconvénients en termes d’ouverture à la multiplicité des opérateurs et de sécurité des transactions, qui iront croissant avec le nombre et la diversité des contrats et des opérateurs. 
En outre, d’autres solutions vont émerger reposant sur d’autres dispositifs NFC (notamment les badges de transports en commun et d’autres services publics), des applications sur smartphones NFC ou non, et d’autres modalités de communication entre l’utilisateur, ou son véhicule, et la borne de recharge.
L’AFIREV a donc considéré nécessaire de mettre en chantier l’étude exhaustive des supports envisageables pour assurer leur intégration dans l’organisation de l’itinérance des recharges dans des conditions sûres et économiques.

La synthèse de cette présentation faisair ressortir les points suivants :
  • 1- Les supports actuellement les plus répandu sont les badges de type A, très économiques à éditer mais limités au regard des risques d'erreur et de fraude.
Proposition 👉 Passer aux badges de type B , comportant deux clés au lieu d'une, en y associant une identification pouvant être émulée par smartphone.
  • 2- Les applications smartphones qui se développent en utilisant un moyen de repérage de la borne (lecteur de QR code, lecteur optique de l'ID ...) doivent s'assurer impérativement que chaque client correspond bien à un identifiant de contrat. 
Problème 👉 ces solutions ne sont exploitables que lorsque la borne ou la station de recharge sont biens couverts par une liaison GSM fiable.
  • 3- Communication directe entre le VE et la borne par fil ou par WIFI avec processus d'authentification qui peut être complétée par une identification avec carte RFID comme au 2.
  • 4- Concernant les Cartes mutiservices ou émises par les collectivités, généralement de type Bil est impossible d'envisager leur utilisation  car elles nécessitent des lecteurs compatibles et surtout elles exigent un compte spécifique chez chaque prestataire de service ce qui est incompatible avec la notion d'interopérabilité. 

Mes observations :  
  • L'offre de service de GREENFEED me paraît très intéressante dans la perspective de longs déplacements en VE. En effet compte tenu de l'augmentation des capacités des batteries, la possibilité de réserver par exemple 1/4 heure de charge rapide par "biberonnage" sur plusieurs points  du trajet apportera une souplesse dans la gestion de l'autonomie et la réguation de l'accès aux bornes. Ne plus vouloir absolument remplir sa batterie en une charge avant de poursuivre sa route, soulagera la gestion et l'occupation des places de recharge. 
  • Au sujet des précautions envisagées lors des recharges sur les bornes, essentiellement  concues pour éviter la fraude, elles doivent entraver le moins possible l'itinérance et l'interopérabilité totale tant attendues par les électromobilistes. Empiler des contraintes pourrait avoir pour effet de décourager les hésitants ou de faire fuir les électromobilistes convaincus vers des réseaux concurrents mais captifs comme celui de TESLA et ses superchargeurs
  • Interrogé sur mes suggestions pour favoriser le développement de la mobilité électrique, j'attends davantage de communication positive, il faut multiplier les occasions de faire découvrir et essayer les VE pour "desserrer  les freins dans les têtes", et je constate, hélas, que très peu des responsables et décideurs de ce pays sont montés, ont conduit ou, encore moins, sont utilisateurs réguliers d'un VE.  
  • En me remerciant pour ma participation, le président BERNARD me fait part de son souhait d'avoir une expression des électromobilistes, de leurs remarques et de leurs propositions. Je profite donc de ces lignes pour renouveller à tous ceux qui souhaitent s'associer à la démarche de bien vouloir me transmettre leurs coordonnées à:  levejeveux@gmail.com .
Jean-Claude LE MAIRE

Déploiement de bornes en Ariège.

Le Syndicat Départemental des Energies de l'Ariège a prévu d'organiser un réseau départemental d’infrastructures de recharge nécessaire à une bonne utilisation des véhicules électriques avec le déploiement de 40 bornes de recharge accélérée (22kW).


































Sans l'implantation de bornes de recharge rapide, la "virée" au Pas de la Case demeure un challenge...
En effet les 75 km qui séparent Foix de la frontière andorane accusent un dénivelé de 1500 m ce qui entraine une consommation de plus de 20 kWh. A contrario le retour sera beaucoup plus cool car vu la régénération la consommation tournera autour des 7 à 8 kWh. 

jeudi 23 février 2017

Déploiement des bornes en Lozère

Le déploiement des bornes de recharge pour véhicules électriques avance à grand pas en Lozère. Depuis début 2017, 9 bornes de recharge sont opérationnelles : St Chély d'Apcher, Nasbinals, Mende, Florac, La Malène, Châteauneuf-de-Randon, Langogne, Le Bleymard et Villefort.
Vous êtes nombreux à nous interroger sur le déploiement et la disponibilité des futures bornes, vous trouverez ci-dessous une carte qui résume les prévisions d'installation en Lozère (mise à jour du 23/01/2017).

Vous souhaitez commander votre badge Révéo ? 

Connectez-vous sur http://www.reveocharge.com !

jeudi 16 février 2017

2017 va marquer une nouvelle étape pour le Groupe Univers VE : le déploiement à grande échelle du COLIBUS.

Pour accompagner cet essor et répondre ainsi aux demandes de nos clients, nous avons choisi de recentrer notre communication autour de la marque de notre produit phare, COLIBUS, et d’adopter une nouvelle identité visuelle. 
Le logo COLIBUS conserve les couleurs originelles de la société tout en affirmant son appartenance au Groupe Univers VE avec l’apparition de nos « virgules » communes aux logos du groupe Univers VE et de la société E4V (Pôle batterie du Groupe).  
Le nom de domaine, utilisé pour le site Internet (www.colibus-ve.eu)

Avec son châssis ultraléger, le Colibus est un véhicule électrique innovant, sur les segments du 8m³ et du transport frigorifique 5,5m³, qui permet des performances d’exploitation exceptionnelles. Le Colibus a été conçu en collaboration avec les professionnels de la logistique et est particulièrement adapté aux livraisons du dernier kilomètre en milieu urbain. 
Dès la conception de sa gamme de véhicule, Colibus a intégré une logique très poussée de développement durable autour de 3 axes :

  • La légèreté
Issue d’un passé reconnu dans le sport automobile, la marque Helem a toujours été synonyme de performance et de légèreté.
Colibus illustre parfaitement ce savoir faire, matérialisé par le brevet L-EM Tech®, qui, associé aux solutions Powertrain by E4V®, accède à des performances inégalées.
Ainsi il n’est plus nécessaire de choisir entre capacité d’emport, vitesse et autonomie.

  • Des matériaux nobles, durables et recyclables
L’aluminium est le matériau principal de la technologie L-EM Tech®.
Conçus pour une durée de vie de plus de 20 ans, nos véhicules démontrent que performance et durabilité sont synonymes.

  • Une gestion intelligente de la consommation d’énergie
Le poids et la consommation d’énergie sont intimement liés.
Toutes ces technologies vous permettent de vous brancher sur une prise domestique standard, chez vous, dans votre entreprise… et de recharger 20% par heure connectée. 

mercredi 15 février 2017

Ordan(32) - Camboulit (46) 200 km en Leaf avec une batterie 30 kWh et une borne de recharge rapide, le confort !

A l'invitation d'Albert Marty, le leafer lotois venu participer à la découverte du Savès inaugurant le slow-tourisme gersois, j'ai animé un atelier débat à Cajarc (46) sur le thème de l'utilisation de la voiture électrique en milieu rural. Nouvelle occasion de comparer, sur le même trajet effectué il y a un an, la Leaf 24kWh et la version 30 kWh. 

Les 6 kWh supplémentaires qui changent tout:

Pour cette nouvelle virée en terre lotoise je bénéficiais du prêt d'une Leaf 30kWh mise à ma disposition pour le week-end par la sympathique dream team de Nissan à Auch, Olivier et Julien. 
L'autonomie de 200 km que j'avais eu le plaisir de découvrir lors du 1er France Electric Tour me permet d'envisager sereinement les 204 km à parcourir, dont une bonne partie à travers le causse, pour rejoindre Camboulit dans la banlieue de Figeac. Pas besoin, comme avec la Leaf 24 kWh, de passer par Cahors où Christian Le Gaillard (Nissan Cahors) m'avait permis de changer de monture pour terminer l'étape. 


Ces 6 kWh supplémentaires apportent une confortable autonomie qui permet de rayonner très facilement au niveau de la région dès lors que de plus en plus de bornes de recharge rapide sont accessibles; dans ce cas c'est celle d'AUCHAN à Montauban qui me permettra de compléter ma batterie à 80 % par une charge d'un quart d'heure. 

Un nécessaire maillage de bornes de recharge rapide tous les 50 km. 

La mobilité électrique, compte tenu de l'augmentation de capacité des batteries et du nombre de voitures en circulation,  suppose que les conducteurs aient à leur disposition, sur les grands axes qui quadrillent notre pays, des bornes de recharge rapide tous les 50 km afin de "biberonner" durant un quart d'heure les compléments de recharges nécessaires au trajet à effectuer. Un tel maillage permet en effet d'éviter les files d'attente puisque chacun pourra choisir entre plusieurs bornes disponibles sur son parcours; il autorise une tarification adéquate incitant à des recharges courtes dès lors que l'électromobiliste à la certitude d'avoir d'autres possibilités de compléments de recharge devant lui. 
Sans un tel maillage tout les 50 km la facturation serait vite prohibitive puisqu'elle découlerait d'une nécessité de "remplir" le plus possible la batterie par insuffisance de points de charge, et y provoquera immanquablement ces files d'attente que voudraient éviter les opérateurs. 
Le Directeur de la Fédération Départementale d'Energies du Lot, Jean-Clair Fayolle a perçu tout l'intérêt pour un département touristique d'offrir un bon maillage du département en bornes rapides en en implantant 39 sur son territoire.   

La recharge sur borne rapide ralentit à partir de 80 % de la batterie

Arrivée à Auchan Montauban avec 50 % de batterie pour 106 km soit une consommation de 14,6kWh au 100 km qui me permettraient de terminer mon parcours de 202 km d'une traite .
Par précaution et confort, en 15 mn sur la borne DBT je récupère 30 % de charge, 10% par 5 mn sous 391 Volts et 106 Ampères. 
Par contre une fois atteint les 80% de la batterie, comme le montrent les photos ci-dessous, l'intensité du courant diminue fortement, passant de 106 A à 70 % à 44 A pour 90 %, ralentissant progressivement la vitesse de charge.

































La LEAF se faufile délicieusement  à travers les 100 km de causse lotois 

Le trajet Ordan-Camboulit : 202 km

Les dénivellés du parcours.
Fiche technique prévisionnelle du voyage sur Green Race, conso 14 kWh/100km

Les magnifiques routes du causse lotois se prêtent parfaitement au VE.

Arrivée chez Marie et Albert nos charmants hôtes du WE.

Jean-Claude LE MAIRE

L'automobile expérimente le stockage électrique (Le Monde 14/02/2017)

A lire, l'article d'Eric Béziat paru dans Le Monde du14 02 2017 

McPhy Energy accélère son développement et devient McPhy

Alors que la transition énergétique mondiale est devenue une réalité irréversible  McPhy Energy a confirmé le potentiel commercial de son offre sur les marchés en plein décollage de la mobilité zéro-émission et du stockage d’énergie renouvelable. Pour accompagner son entrée dans une phase de croissance accélérée durable, McPhy Energy devient McPhy et adopte une nouvelle identité visuelle.
La Motte-Fanjas, le 14 février 2017 - McPhy, le concepteur, fabricant et intégrateur d’équipements hydrogène pour les secteurs de l’énergie, du transport et de l’industrie, a capitalisé sur la pertinence de ses solutions de valorisation des surplus d’électricité renouvelable et de recharge de véhicules électriques à hydrogène pour répondre aux nouveaux enjeux de la transition énergétique. Le nouveau nom et la nouvelle identité visuelle du Groupe renforcent son positionnement d’acteur industriel incontournable de la filière hydrogène.
« Nous avons la conviction que le vecteur hydrogène est clé pour déployer les énergies propres et relever les défis du monde moderne : réussir la transition énergétique en répondant aux enjeux environnementaux et de santé publique, ainsi qu’aux exigences de performance économique en créant de la valeur localement. C’est cette conviction que nous affirmons et partageons aujourd’hui à travers nos outils de communication », explique Pascal Mauberger, Président Directeur Général.

Une nouvelle identité fidèle aux valeurs fondatrices de McPhy et résolument tournée vers le futur

Simplifié pour plus de dynamisme, le nom devient une marque à part entière.
L’inclinaison du logo, symbole d’une entreprise résolument engagée dans l’énergie, a été conservée. La typographie a quant à elle été modernisée. Equilibre d’angles aigus et de courbes, elle incarne à la fois l’expertise technologique et l’innovation, mais aussi la proximité de McPhy avec ses clients et partenaires
Le bleu historique McPhy est revisité dans une teinte plus profonde exprimant la stabilité du projet d’entreprise porté par le Groupe. Un marqueur graphique « M » aux teintes colorées vient compléter l’identité. Ludique et modulaire, ce marqueur est construit par superpositions et combinaisons de couleurs. Il reflète la diversité des stratégies de transition énergétique déployées par les acteurs de l’énergie et la flexibilité des solutions sur-mesure que leur apporte McPhy pour répondre à leurs enjeux.

McPhy affiche ses ambitions

McPhy voit son "energy" historique intégrée dans une signature qui exprime son projet d’entreprise : "Driving clean energy forward". Stabilisant le logo et lui apportant un complément de sens, cette signature est un engagement fort envers les équipes, clients et partenaires de McPhy :
« Depuis sa création en 2008, McPhy concentre son expertise dans le déploiement de l’hydrogène renouvelable afin de faire avancer partout dans le monde avec ses clients les énergies propres. Notre nouvelle identité visuelle et notre signature "Driving clean energy forward" s’inscrivent dans la continuité de nos valeurs fondatrices et ancrent McPhy dans une nouvelle phase de son histoire. », conclut Pascal Mauberger, PDG de McPhy.

À propos de McPhy

Spécialiste des équipements de production, stockage et distribution d’hydrogène, McPhy contribue au déploiement mondial de l’hydrogène propre comme solution pour la transition énergétique.
Fort de sa gamme complète dédiée à la mobilité zéro émission, à la valorisation des excédents d’électricité renouvelable et à la production d’hydrogène propre sur site pour des applications industrielles, McPhy offre à ses clients des solutions clé en main adaptées.
Concepteur, fabricant et intégrateur d’équipements hydrogène depuis 2008, McPhy dispose de trois centres de développement, ingénierie et production en Europe (France, Italie, Allemagne). Ses filiales à l’international assurent une large couverture commerciale à ses solutions innovantes.

McPhy est coté sur Euronext Paris (compartiment C, code ISIN : FR0011742329, code mnémonique : MCPHY, éligible PEA-PME).

mardi 14 février 2017

Déploiement de bornes en Occitanie : le LOT choisit la recharge rapide pour 39 bornes.


































La Fédération Départementale d'Energies du Lot a lancé le déploiement des bornes de recharge en s'inscrivant d'ores et déjà dans un futur proche : "Les prochaines générations de véhicules électriques sur lesquels travaillent les constructeurs possèderont des batteries d’une capacité de 45 à 60 kWh à l’horizon 2020. Des trajets de 300 à 500km seront possibles, le temps de recharge complet de ces véhicules sur la voirie publique ne sera «acceptable» qu’avec des bornes de recharge rapide en nombre suffisant."
Pour consulter la notice de présentation de la FDEL cliquez sur le lien : Irve Lot 46

lundi 13 février 2017

Rouler en électrique pourrait être moins cher qu’en essence à l’horizon 2024 (CCFA)

Grâce aux progrès de la technologie et à la baisse des prix, rouler en électrique pourrait être moins cher qu’avec une voiture à essence à l’horizon 2024, révélait fin 2016 une étude commandée par le Beuc, l’association européenne de défense des consommateurs, qui voit dans la décennie 2020-2030 une « convergence », en moyenne, des coûts associés à l’achat et à l’utilisation des voitures équipées de moteurs thermiques et de celles roulant à l’électricité.
Ces dernières sont actuellement plus chères à l’achat, et souvent subventionnées. Leur autonomie reste en outre encore bien inférieure à celle des voitures à moteur thermique, et recharger une batterie demeure bien plus long que faire le plein de carburant. « D’ici à 2024, le coût total de possession [achat et fonctionnement] moyen d’une voiture électrique pourrait égaler celui d’une voiture à essence » sur le Vieux continent, assure le Beuc dans son rapport. Dans le cas des voitures diesel, les courbes se croiseraient en 2030. « En outre, d’ici à 2030, toutes les motorisations, sauf celles fonctionnant avec des piles à combustible à hydrogène, coûteront moins cher à acquérir et à faire rouler sur quatre ans qu’une voiture à essence de 2015 », selon la même source. De telles économies, « malgré une hausse des prix du pétrole et de l’électricité », seront obtenues « avant tout par la réduction des coûts des motorisations de pointe », est-il ajouté.
C’est tout le pari de nombreux constructeurs, à commencer par l’Américain Tesla, qui construit une usine géante de batteries dans le Nevada pour abaisser le prix unitaire des accumulateurs par effet d’échelle. Confrontés à des normes d’émissions de plus en plus strictes, en particulier en Europe, les constructeurs multiplient les annonces sur l’électrique. Volkswagen vient ainsi d’afficher ses ambitions de devenir le numéro un mondial de l’électrique d’ici à 2025. Toyota, pionnier de l’hybride, a décidé de lancer un programme électrique en parallèle de ses efforts dans l’hydrogène. Sans parler de Renault et Nissan, leaders mondiaux actuels des ventes de voitures fonctionnant sur batterie, souligne l’AFP.
Plusieurs constructeurs (Tesla, Volkswagen, Ford) ont annoncé d’ici à la fin de la décennie actuelle des voitures de moyenne gamme capables de couvrir 500 km entre deux recharges, soit environ le double des performances actuelles. En attendant, les ventes restent confidentielles : moins de 1 % des véhicules neufs immatriculés dans le monde. Et ce alors que de nombreux pays les subventionnent, dont la France, qui propose un « superbonus » de 10 000 euros pour la mise au rebut d’un vieux véhicule diesel.

PS : Sur le sujet voir également notre article reprenant l'étude réalisée au Québec

jeudi 9 février 2017

En janvier, le VE je le veux ! 🙌, le VE je le veux !🙌, le VE je le veux ! ..🙌

Suivant les statistiques publiées par l'AVEM la mobilité électrique fait une forte percée en ce début d'année 2017.
Cliquer sur l'image pour accéder à l'article complet sur le site de l'AVE de M.

Les voitures électriques, sous l'impulsion de la nouvelle ZOé de Renault, explosent les statistiques avec une progression de + 63% ! 

Par contre pour les utilitaires la progression est plus faible ( +12,6 % )mais gageons que le coup de pouce fiscal accordé par la loi de finances 2017 produira ses effets quand les services comptables des entreprises auront intégré les nouvelles dispositions portant le plafond des amortissements à 30.000 € pour les VE

Cliquer sur l'image pour accéder à l'article complet sur le site de l'AVEM.




mercredi 8 février 2017

Table ronde sur le réseau de recharge pour véhicules électriques (Assemblée Nationale 08/02/2016)

Cliquer sur l'image pour accéder à la vidéo

Le développement du marché des véhicules électriques dépend largement de la mise en place d’un réseau d’infrastructures de recharge. Depuis la loi Grenelle II, plusieurs textes législatifs et réglementaires ont cherché à favorisé le déploiement d’un tel réseau. Ce fut le cas, en particulier de la loi n° 2014-877 du 4 août 2014, issue d’une proposition de loi examinée par la commission des affaires économiques sur le rapport de Mme Frédérique Massat.
La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte fixe un objectif de 7 millions de bornes privées à horizon 2030. Le groupe Bolloré est devenu, en février 2015, le premier opérateur de bornes de recharge « de dimension nationale », reconnu par décret. Deux autres opérateurs ont obtenu cette reconnaissance : la Compagnie nationale du Rhône et Sodetrel (filiale d’EDF).
Le 12 janvier 2017, le Premier ministre a pris un décret assurant la standardisation des points de recharge sur l’espace public. Ce texte a vocation à devenir le texte de référence et intègre différentes mesures issues de la règlementation européenne relative au déploiement d’une infrastructure pour carburant alternatif.
La table ronde a été l’occasion de faire le point sur le bilan du déploiement du réseau, sur les engagements des opérateurs et sur les enjeux futurs de ces infrastructures pour les réseaux de transport et de distribution d’électricité.

L’Alliance Renault-Nissan affiche une croissance importante en 2016 et étend son record des ventes de véhicules électriques

  • L’Alliance a vendu 9 961 347 véhicules en 2016, soit un véhicule sur neuf dans le monde.
  • L’Alliance confirme sa position de leader du véhicule zéro émission* à l’usage ; les ventes mondiales cumulées de véhicules électriques s’élèvent à 424 797 unités.
  • 18 ans de partenariat : un accélérateur d’innovation pour le véhicule du futur.
PARIS (8 fév. 2017) — L’Alliance Renault-Nissan affiche une croissance importante en 2016, avec 9,96 millions de véhicules vendus à travers le monde Le groupe automobile a également renforcé son leadership sur le marché du véhicule zéro émission avec des ventes cumulées de près de 425 000  voitures électriques depuis le lancement de la Nissan LEAF en 2010, suivie par la Renault ZOE.
Les chiffres de l’Alliance incluent les ventes de Mitsubishi Motors, soit 934 013 véhicules dans le monde. Mitsubishi Motors a rejoint l’Alliance à l’automne dernier quand Nissan a acquis une participation de 34 pourcent dans cette entreprise.
« La convergence de Groupe Renault, Nissan Motor et Mitsubishi Motors crée une force nouvelle dans le secteur automobile. » a déclaré Carlos Ghosn, Président-Directeur général de l’Alliance. « La puissance de ce partenariat innovant, entamé il y a 18 ans, nous a permis d’améliorer notre compétitivité, d’accélérer notre croissance et de s’engager dans la course pour concevoir le véhicule du futur. »
Les marques de l’Alliance ont vendu près d’un véhicule sur neuf dans le monde l’an dernier.
Le Groupe Renault a affiché des ventes en hausse de 13,3 pourcent avec 3 182 625 unités vendues en 2016 pour la dernière année du plan Drive the Change, ce qui représente une quatrième année consécutive de croissance avec une augmentation record de 374 000 véhicules par rapport à 2015.
Les marques Renault et Dacia ont toutes deux enregistré des volumes de ventes record. Les ventes de Renault Samsung Motors ont quant à elles bondi de 38,8 pourcent. La part de marché comme les volumes de ventes sont en hausse dans toutes les régions du monde, et la marque Renault devient N° 2 en Europe.
Nissan Motor Co. Ltd. a également franchi un record avec 5 559 902 voitures et utilitaires commercialisés à travers le monde, soit une hausse de 2,5 pourcent. Aux Etats-Unis et en Chine, l’entreprise a vu ses ventes augmenter de 5,4 pourcent et 8,4 pourcent respectivement, établissant ainsi de nouveaux records sur ces deux marchés. Infiniti a vendu plus de 230.000 unités en 2016, en hausse de 7 pourcent comparé à l’année précédente. En décembre, Infiniti a vendu 27 200 véhicules, en hausse de 18 pourcent par rapport à l’année précédente.
Mitsubishi Motors a commercialisé 934 013 véhicules dans le monde, en baisse de 13 pourcent. Les ventes ont augmenté aux Etats-Unis et en Australie, mais cette hausse a été contrebalancée par un recul des immatriculations au Brésil, en Russie et au Moyen-Orient. Les ventes au Japon ont également été affectées par une moindre confiance des consommateurs suite aux interrogations sur la consommation de carburant.
A travers son partenariat avec Mitsubishi Motors, Nissan s’attend à des gains de synergie à hauteur de 24 milliards de yens sur l’exercice 2017, pour atteindre 60 milliards de yens sur l’exercice 2018 et au-delà. Ces gains permettront d’augmenter la valeur du bénéfice par action d’environ 4 yens par titre sur l’exercice 2017 et de 10 yens par titre sur l’exercice 2018 – en sus de tout accroissement de bénéfices en lien avec l’entrée de Nissan au capital de Mitsubishi Motors.
Les ventes d’AVTOVAZ, qui commercialise ses véhicules sous la marque Lada, se montent à 284 807 unités. L’Alliance Renault-Nissan et AVTOVAZ réunis vendent environ une voiture sur trois en Russie.


Maintien de la position de leader du véhicule électrique


L’Alliance Renault-Nissan avec Mitsubishi Motors affichait fin 2016 des ventes cumulées de 424 797 véhicules électriques, ce qui en fait le leader incontesté de la mobilité zéro émission.

La Nissan LEAF, première voiture électrique de série destinée au grand public, continue de dominer le marché mondial du véhicule électrique avec plus de 250 000* unités écoulées depuis son lancement en décembre 2010.
A côté de la LEAF, Nissan commercialise aussi le e-NV200, un véhicule utilitaire léger commercialisé en 2014, distribué essentiellement en Europe et au Japon.

Depuis 2011 Renault a vendu plus de 112 000 VE à travers le monde, dont la Renault ZOE, le Kangoo Z.E., la Fluence Z.E., la SM3 Z.E. et la Twizy.
Renault s’est imposé comme numéro 1 sur le marché européen du véhicule électrique l’an dernier, avec des ventes en hausse de 11 pourcent à 25 648 unités (hors Twizy). La ZOE se classe en tête du palmarès avec 21 735 exemplaires vendus. Et Renault Pro+ vient d’annoncer que deux nouveaux véhicules  utilitaires allaient bientôt étoffer sa gamme : le Nouveau Kangoo Z.E. et le Master Z.E.
Si l’on inclut la série i-Miev de Mitsubishi Motors, l’Alliance Renault-Nissan a vendu 94 265 véhicules électriques en 2016, soit une hausse de plus de 8 pourcent par rapport à 2015.
* Y compris les ventes de Venucia E30 en Chine. Pas d’émissions de CO2 et pas de rejets de polluants règlementés en condition de conduite, conformément au cycle d’homologation NEDC.


Accélérer l’innovation pour concevoir le véhicule du futur


En 2016, l’Alliance Renault-Nissan a pris plusieurs initiatives pour accélérer le développement de la voiture de demain, qui sera électrique, autonome et connectée.
L’Alliance prévoit de lancer au moins 10 modèles équipés de fonctions de conduite autonome d’ici 2020. Le développement et les tests de connectivité et de technologie de conduite autonome sont en cours avec plusieurs partenaires, dont Microsoft,  et la NASA.
« Nous étions les premiers à annoncer le lancement d’une voiture électrique abordable en 2010. D’autres constructeurs automobiles majeurs reconnaissent aujourd’hui que les véhicules électriques sont la solution zéro émission la plus performante » constate M. Ghosn. « Avec la conduite autonome et les véhicules et services connectés, nous sommes fermement engagés dans la course pour concevoir le véhicule du futur ».

Les 10 premiers marchés de l’Alliance

Pays
Total des ventes
Part de marché
Etats-Unis
1.660.690
9,47%
Chine
1.472.588
5,48%
France
738.344
30,52%
Japon
625.409
12,58%
Russie*
494.073
34,64%
Mexique
449.406
28,02%
R.-U.
336.533
10,96%
Allemagne
319.739
8,89%
Italie
262.167
12,99%
Espagne
247.661
18,71%
* Y compris AvtoVAZ


Les 10 premiers marchés de Groupe Renault

Pays
Total des ventes
Part de marché
France
651.778
26,90%
Allemagne
198.609
5,50%
Italie
190.610
9,40%
Espagne
170.272
12,90%
Turquie
169.236
17,20%
Brésil
149.977
7,50%
R.-U.
138.642
4,50%
Inde
132.235
4,00%
Russie*
117.227
8,20%
Corée du Sud
111.087
6,20%
 * Ventes AvtoVAZ en Russie : 284.807 unités


Les 10 premiers marchés de Nissan

Pays
Total des ventes
Part de marché
Etats-Unis
1.564.423
8,90%
Chine*
1.354.552
5,00%
Japon
534.392
10,80%
Mexique
403.286
25,10%
R.-U.
170.999
5,60%
Canada
134.153
6,90%
Russie
93.781
6,60%
France
81.454
3,40%
Allemagne
80.332
2,30%
Australie
67.638
5,70%
 * Dont la marque Venucia


Les 10 premiers marchés de Mitsubishi Motors

Pays
Total des ventes
Part de marché 
Etats-Unis
96.267
0,50%
Japon
85.716
1,70%
Chine
82.758
0,30%
Australie
73.360
6,20%
Indonésie
67.397
6,30%
Philippines
59.480
15,10%
Thaïlande
55.409
7,20%
Allemagne
39.089
1,10%
E.A.U.
29.958
9,20%
Royaume-Uni
26.892
0,90%

A propos de l’Alliance Renault-Nissan 
L’Alliance Renault-Nissan est un partenariat stratégique entre le Groupe Renault, basé en France, et les entreprises Nissan Motor et Mitsubishi Motors, basées au Japon. En 2016 ces constructeurs ont à eux trois commercialisé 9,96 millions de véhicules dans près de 200 pays – soit plus d’un véhicule sur 9 vendus dans le monde. L’Alliance a noué des collaborations stratégiques avec d’autres fabricants, dont l’Allemand Daimler et le Chinois Dongfeng. Elle détient également une participation majoritaire dans la coentreprise qui contrôle AVTOVAZ, premier constructeur automobile de Russie. L’Alliance est leader dans le domaine du véhicule zéro émission et développe des technologies de pointe en vue de proposer la conduite autonome et des services de connectivité sur une gamme de véhicules accessibles à tous.