vendredi 28 juin 2019

Albi Eco Race 2019 vu de l'intérieur par l'équipe VINCI Eco Drive


Du 23 au 26 mai 2019, l’équipe de VINCI ECO DRIVE s’est rendue à Albi pour sa première participation à l’Albi Eco Race. Cette course se démarque des autres puisque l’accent n’est pas forcément mis sur la consommation du véhicule, mais sur sa résistance ainsi que sur le pilotage. Retour sur notre parcours.  
JEUDI 23/05/2019 

Un trajet d’environ 7h attend nos membres. Le matériel ayant été chargé la veille, c’est au petit matin que l’association prend la route en direction d’Albi. Après un long périple, le cortège arrive enfin sur la place centrale d’Albi. 
Nous aurons alors l’opportunité inouïe d’exposer notre véhicule sur cette place, en centre-ville. 
Seul prototype de notre catégorie à avoir cet honneur, nous avons pu répondre aux questions des passants qui, attisés par la curiosité, s’approchaient du véhicule tandis que plusieurs enfants demandaient à s’asseoir au volant. L’exposition fut un succès, nous avons pu présenter nos projets à de nombreuses personnes.  

Les habitants d'Albi ont pu nous poser directement leurs questions à notre équipe, certains enfants ont également pu s'imaginer au volant de l'E-PULV 2.1
Nous installons ensuite notre campement et débriefons le weekend à venir avant de rejoindre nos tentes en vue du début des épreuves le lendemain. 
VENDREDI 24/05/2019 


Premier jour de la compétition. Comme pour nos autres courses, il est nécessaire de passer le contrôle technique avant d’accéder à la piste. Celui-ci aurait pu être validé du premier coup, si ce n’est pour l’anneau de remorquage manquant. Après installation rapide de ce dernier, l’E-PULV 2.1 est enfin aux normes de l’Albi Eco Race, et nous prenons la piste pour quelques tests assez concluants avant les épreuves.   

Le circuit, d’une longueur d’environ 3,5km, comporte virages et lignes droite. A la différence de nos courses habituelles, nous devons participer ici à 3 épreuves distinctes.
La première d’entre elles, le short run, se dispute cet après-midi. Cette épreuve évalue la capacité du pilote à rester régulier : il dispose de 2 heures pour effectuer au moins 5 tours de piste à une vitesse constante donnée, dans notre cas 26km/h (les tours ne nécessitant pas d’être d’affilé). Le pilote ne pouvant pas conduire plus de 45 minutes d’affilé, un changement de pilote est donc nécessaire.  
Notre pilote secondaire, Brunelle Martin



Notre premier pilote, Quentin KAUFMAN (ESILV A1), s’élance sur la piste pour environ 40 minutes. Malgré une météo peu coopérative, ce premier run est assez réussi si ce n’est pour une petite sortie de piste due à la piste mouillée. Un arrêt rapide au stand, où les membres de l’équipe préparent la prochaine pilote, et c’est Brunelle MARTIN (ESILV A3) qui s’installe au volant et débute le second run. Cependant, le temps pluvieux devra interrompre celui-ci prématurément : de la buée s’étant formée au niveau du pare-brise, la visibilité était très réduite. Pour des raisons évidentes de sécurité, nous sommes rentrés au stand.  Cette épreuve aura été réussie malgré les conditions atmosphériques puisqu’au moins 5 tours ont été validés à une vitesse de 26km/h. Satisfaits, nous rentrons nous reposer avant les épreuves du lendemain.
SAMEDI 25/05/2019 
  
Dernier jour de l’Albi Eco Race. C’est sous un temps menaçant que nous arrivons sur le circuit. Notre première épreuve du jour est le long run. Il s’agit ici d’effectuer le plus de tours possible pendant une durée de 2h, mettant à l’épreuve la résistance du véhicule.  
Notre premier pilote prend la route, mais après quelques tours, la pluie reprend de plus belle. Nous sommes contraints d’abandonner l’épreuve afin de ne pas endommager l’électronique du véhicule. L’équipe quitte le circuit déçue mais se remet vite au travail pour préparer la dernière étape : le slalom. 
Ici, une épreuve assez classique : aller d’un point A à un point B en slalomant entre plusieurs plots. Après quelques tentatives, l’épreuve sera validée. L’équipe, consolée de la matinée, sera encore récompensée lors de la remise des prix avec le Prix de la Communication pour le travail effectué tout au long de l’année.  
Aucune description alternative pour cette image
Nous repartons donc de cette course avec beaucoup de nouvelles connaissances. Nous avons pu tester notre prototype en conditions difficiles et identifier les défauts de fiabilité, ainsi qu’entraîner nos pilotes sur un circuit automobile et nous préparer au fonctionnement d’une équipe de course. Nous avons également rencontré l’équipe championne du Shell Eco Marathon et avons pu échanger avec eux. Cette course était très instructive en termes de pilotage et de fiabilité, et l’équipe travaille déjà sur l’optimisation et la préparation du véhicule pour notre prochaine course. Malgré des épreuves très différentes de ce que nous connaissions et une météo très peu clémente, nous repartons cependant avec un bilan positif de cette course, qui continue à nous donner confiance pour notre dernier rendez-vous : Le SHELL ECO MARATHON dans quelques jours. 
Pour finir, voici la vidéo récapitulative de notre séjour à Albi :


P.S : Nous partons la semaine prochaine à Londres pour le Shell Eco Marathon, un challenge international. Comparé à l'Albi Eco Race, il s'agit principalement d'une course d'efficience plus adéquate pour notre prototype. Nous avons terminé 2ème au Shell Eco Marathon France 2018. 
De plus, nous venons de battre notre record avec une consommation convertie en essence de 2517 km/L (289 km/kWh) lors du Challenge Educ Eco 2019. Notre précédent record était de 1477 km/L en 2018. Cela nous met en confiance pour la course à venir quant à la conformité et au potentiel du véhicule.
Je vous invite à nous suivre sur nos différents réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, LinkedIn, Instagram. Nous allons partager notre expérience tout au long de la semaine.

jeudi 27 juin 2019

Alliance Ventures, le fonds de capital-risque de Renault-Nissan-Mitsubishi investit dans The Mobility House pour soutenir la mobilité électrique.

Alliance Ventures, le fonds de capital-risque de Renault-Nissan-Mitsubishi, vient d’annoncer un investissement dans The Mobility House, une entreprise technologique qui propose une plateforme pour l’intégration des batteries des véhicules au réseau électrique grâce à des solutions intelligentes de chargement, d’énergie et de stockage. 
The Mobility House est le dernier ajout au portefeuille d’Alliance Ventures. Cet investissement s’inscrit dans sa stratégie en faveur des start-up à la pointe des technologies automobiles de nouvelle génération. L’entreprise The Mobility House est basée en Allemagne, en Suisse et en Californie, dans la Silicon Valley. « Alliance Ventures met à disposition des membres de l’Alliance l’écosystème d’open innovation devant leur permettre de construire la mobilité du futur », souligne François Dossa, directeur Alliance Ventures et Open innovation ; et Président d'Alliance Ventures. « Le savoir-faire de The Mobility House dans les domaines de la mobilité électrique et de la transition énergétique contribuera à concrétiser l’engagement de l’Alliance en faveur des véhicules zéro émission et participera à la réalisation de notre ambition : façonner la mobilité de demain. » 

Les membres de l’Alliance et The Mobility House ont déjà développé plusieurs projets ensemble. 

En partenariat avec The Mobility House, la Nissan LEAF a, par exemple, été le premier véhicule électrique à bénéficier de la technologie dite « Vehicle-to-Grid » (V2G) en Allemagne, dans le cadre d’un projet mené au sein de la ville de Hagen. 
De même, en collaboration avec le Groupe Renault, The Mobility House a développé un projet de mise sur le marché du plus grand système européen de stockage stationnaire d’énergie, à partir de batteries de véhicules électriques. Cet écosystème énergétique intelligent va contribuer à faire de l’île portugaise de Porto Santo, près de Madère, la première « île intelligente » au monde. 
« Alliance Ventures est un investisseur idéal pour The Mobility House », se réjouit Thomas Raffeiner, fondateur et président-directeur général de The Mobility House. « Nos collaborations antérieures ont démontré l’adéquation de nos visions et de nos compétences. Nous sommes ravis de pouvoir développer de nouveaux projets ensemble, au service de notre ambition commune en faveur d’un avenir énergétique durable. » 
Avant d’investir dans The Mobility House, Alliance Ventures avait déjà réalisé 11 autres investissements, notamment dans des start-up basées en Amérique du Nord, en Europe et en Chine. Les informations financières concernant l’investissement dans The Mobility House ne seront pas divulguées. 

L’objectif de The Mobility House : façonner l’avenir de l’énergie et de la mobilité, sans émissions. 
Pour y parvenir, nous créons des ponts entre les secteurs de l’énergie et de l’automobile. Nos solutions intelligentes de chargement, d’énergie et de stockage permettent d’intégrer les batteries des véhicules au réseau électrique. Grâce à elles, nous favorisons le développement des énergies renouvelables, stabilisons le réseau électrique et réduisons les coûts de l’électromobilité. 
The Mobility House, entreprise technologique présente dans plus de 10 pays à travers le monde, a été créée en 2009 et emploie une centaine de personnes à Munich, Zurich et Sunnyvale (CA). Elle compte parmi ses client(e)s de nombreux constructeurs automobiles de premier plan, mais aussi des gestionnaires de flotte automobiles, des entreprises d’installation, des fournisseurs d’électricité et des conducteurs et conductrices de voitures électriques. Pour plus d’informations, rendez-vous sur mobilityhouse.com

À PROPOS DE RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI 
Le Groupe Renault, Nissan Motor et Mitsubishi Motors forment la plus grande alliance automobile du monde. C’est le partenariat interculturel le plus ancien et le plus productif de l’industrie de l’automobile. Les ventes cumulées des trois partenaires ont dépassé les 10,7 millions de véhicules dans près de 200 pays en 2018. Les partenaires sont centrés sur la collaboration et l’optimisation des synergies afin d’accroître au maximum la compétitivité. Ils ont par ailleurs conclu des accords de collaboration stratégique avec d’autres constructeurs, dont Daimler (Allemagne) et Dongfeng (Chine). L’Alliance est en tête dans la fabrication de véhicules zéro émissions, et développe les services de mobilité et les technologies innovantes du véhicule autonome, connecté et abordable de demain. 

À PROPOS D'ALLIANCE VENTURES Alliance Ventures est le fonds de capital-risque de Renault-Nissan-Mitsubishi, la plus grande alliance automobile du monde. Lancé en 2018 et implanté à Amsterdam, dans la Silicon Valley, à Paris, Yokohama, Pékin et Tel-Aviv, le fonds prévoit d'investir jusqu'à 1 milliard de dollars durant ses cinq premières années d'existence pour développer l'open innovation. Alliance Ventures cible l'innovation tant technologique qu’en matière de business model dans les domaines : des nouvelles mobilités, de la conduite autonome, des services connectés, des véhicules électriques & de l’énergie ainsi que de l'entreprise 2.0. Bénéficiant de l'expertise et des opportunités offertes par la plus grande alliance automobile du monde, le fonds réalise des investissements stratégiques, à toutes étapes du développement d’une start-up et sert d'incubateur à de nouveaux entrepreneurs à la pointe des technologies automobiles de nouvelle génération.

Comparaison du coût de détention des berlines en première main ( Que Choisir )


Préconisations de l'UFC Que Choisir ?

Afin de donner de véritables alternatives aux automobilistes captifs des carburants et d’atteindre les objectifs que s’est fixé la France en termes d’émissions de gaz à effet de serre, l'UFC-Que Choisir appelle donc le gouvernement à : 

•    Renforcer l’information des consommateurs sur le coût d’utilisation kilométrique d’un véhicule afin que les consommateurs puissent correctement estimer et comparer le coût global de la voiture avant l’achat.
•    Mettre en place un protocole de mesures des émissions de CO2 et de consommation des voitures en condition de conduite réelle afin que les consommateurs disposent d’une information fiable qui se rapproche de leurs usages.
•    Fortement inciter les constructeurs à développer leur gamme de voitures à faibles émissions, en soutenant au niveau européen un objectif de réduction de 40 % des émissions de gaz à effet de serre dans l’automobile d’ici à 2030.

mercredi 26 juin 2019

CONCEPT NISSAN e-NV200 NICE CREAM

Vous êtes plutôt vanille, fraise melba ou caramel-aux-éclats-de-noisettes-torréfiées-avec-de-la-chantilly ? La plupart des fourgons de marchands de glaces sont équipés de moteurs Diesel qui tournent en permanence pour faire fonctionner le matériel de réfrigération. A l’occasion du Clean Air Day, le 20 juin, Nissan a débarrassé le marchand de glaces de son moteur à combustion interne, créant ainsi un concept 100% électrique et zéro émission à l’échappement. 

Nissan s’est associé à un fabricant de crème glacée écossais qui alimente sa ferme laitière familiale à l'aide d'énergies éolienne et solaire renouvelables.
Dénommé NICE CREAM - No Internal Combustion Engine / Sans moteur à explosion- , ce prototype de fourgon a été créé à partir du e-NV200, le fourgon compact 100% électrique de Nissan déjà commandé à plus de 10 000 exemplaires en Europe. Le prototype associe une motorisation 100% électrique, une batterie de stockage reconditionnée et un système de génération d'énergie solaire.
Si le moteur de ce fourgon est alimenté par une batterie de 40 kWh, le matériel réfrigéré incluant la machine à glace à l’italienne, le compartiment de congélation et le réfrigérateur à boissons est alimenté par la technologie Nissan Energy ROAM.
Conçu pour des applications professionnelles ou de loisirs, le bloc d'alimentation portable ROAM s'appuie sur des batteries au lithium-ion récupérées sur des véhicules électriques Nissan de première génération. Il s'agit d'une solution de seconde vie pour les batteries des véhicules 100% électriques Nissan.
Kalyana Sivagnanam, Managing Director, Nissan Motor Great Britain Ltd. explique : « La crème glacée est appréciée dans le monde entier, mais les consommateurs font de plus en plus attention à l’impact environnemental de la production à leur acheminement.
Ce projet illustre parfaitement la vision Nissan Intelligent Mobility, stratégie de la marque qui anticipe la manière dont les véhicules sont conduits, motorisés, et intégrés à la société. Ce concept s'appuie sur plus d'une décennie d’expérience en matière de véhicules 100% électriques et d'évolution des batteries, dans le but de créer des solutions de transport et d’énergie plus propres.»
Karin Hayhow, Marketing Director, Mackie’s of Scotland, a ajouté : « Nous sommes ravis de cette collaboration avec Nissan car elle complète notre ambition de devenir autonomes grâce aux énergies renouvelables.
Nous avons déjà initié une transition des énergies fossiles vers les énergies renouvelables. Nous exportons aujourd'hui 4,5 fois plus d'énergie vers le réseau national que nous n’en consommons. Cette année, nous comptons aller plus loin en installant un nouveau système de réfrigération innovant à faible intensité de carbone. Nous sommes fiers d’être un fabricant de crèmes glacées engagé pour le climat. »

Fourgon Nissan e-NV200 NICE CREAM en détail

Le fourgon compact 100% électrique de Nissan combine les qualités du best-seller mondial des utilitaires Nissan, le Nissan NV200, avec les technologies de la Nissan LEAF, la voiture 100% électrique la plus vendue au monde.
Les deux unités ROAM cumulent une capacité de stockage de 1,4 kWh et offrent chacune une puissance de sortie atteignant 1 kW. Elles peuvent être rechargées à l'aide d’une alimentation de 230 V -une charge complète dure environ 1 h-, ou de l’ensemble de panneaux solaires installés sur le toit du fourgon -une charge complète dure entre 2 et 4 heures*.
Ce concept repense le fourgon du marchand de glaces selon plusieurs nouvelles approches. Les crèmes glacées sont servies à partir d’une trappe qui s’ouvre sur le côté du véhicule. Le marchand se trouve donc à côté de son fourgon et au plus près de ses clients, au lieu de se tenir derrière un comptoir surélevé.
Les clients peuvent payer en espèces, mais aussi à l'aide d’une carte bancaire sans contact ou d’un smartphone, grâce à un écran tactile installé sur le côté du véhicule.
Le concept NICE CREAM est équipé d’un bouton intelligent qui génère un tweet indiquant son emplacement grâce au service de localisation mondial What3Words. What3Words divise le monde entier en zones de 3 m par 3 m, auxquelles une adresse unique composée de trois mots est associée. Cette fonction permet aux clients de trouver facilement l’emplacement exact du marchand de glaces dans un parc ou au bord de la mer, là où une adresse normale ne suffirait pas.
Grâce à la capacité de recharge bidirectionnelle du fourgon Nissan e-NV200, les propriétaires du fourgon peuvent même l’utiliser pour gagner de l’argent en hiver, pendant les périodes creuses, en revendant l’électricité des batteries au réseau lors des pics de demandes.
En effet, avec son chargeur V2G (Vehicle-to-Grid), la batterie du e-NV200 peut être utilisée pour stocker de l’énergie en excès sur le réseau, avant de la restituer en cas de forte demande. Cette technologie aide ainsi à réguler les pics de demande en énergie, tout en fournissant aux propriétaires de véhicules électriques une source de revenus supplémentaires lorsqu'ils ne sont pas au volant.

À propos du Nissan e-NV200 et de la technologie Nissan Energy ROAM

Lancé début 2018, le fourgon compact 100% électrique version 40 kWh de la marque vient d’atteindre la barre symbolique des 10 000 véhicules commandés en Europe. La forte demande dans les secteurs de la livraison, du transport et de la location a contribué à son succès sur le continent.
La batterie de 40 kWh du nouveau Nissan e-NV200 développe une autonomie WLTP allant jusqu’à 301 km en cycle urbain et jusqu’à 200 km en cycle combiné. Cela représente une amélioration de 60% en une seule recharge par rapport à la génération précédente.
Le Nissan e-NV200 est conçu pour un usage professionnel urbain, avec ses 4,2 m3 de volume de chargement et assez d’espace pour charger deux Euro-palettes. Offrant une capacité de stockage de 700 Wh et une puissance de sortie maximale de 1 kW, le bloc d'alimentation portable Nissan Energy ROAM est une solution propre et durable pour les clients ayant besoin d’électricité portative lors de leurs déplacements.
Composée de batteries reconditionnées provenant de véhicules électriques Nissan LEAF de première génération en fin de vie, la solution Nissan Energy ROAM est l’exemple le plus récent de l’avancée Nissan en termes de technologie énergétique durable.
Déjà disponible en deux versions, le fourgon compact e-NV200 ou le ludospace e-NV200 EVALIA 5 ou 7 places, la version NICE CREAM sera commercialisée en Europe courant 2019

*STC: les conditions de test standard (STC) sont définies comme un rayonnement solaire d’un kilowatt (kW) par mètre carré, une température de module de 25 degrés Celsius et un angle de rayonnement solaire de 45 degrés. Le temps de charge à l'aide de panneaux solaires dépend de la solution utilisée ainsi que du rayonnement du soleil.

A propos de Nissan France
Filiale à 100% de Nissan Europe, Nissan France gère la distribution des véhicules Nissan en France depuis 1972. La large gamme de véhicules proposée par Nissan en France va des crossovers – dont la marque est pionnière – aux citadines, en passant par les véhicules utilitaires ou la supercar GT-R. Les crossovers QASHQAI et JUKE sont les best-sellers de la marque. Nissan est également leader mondial et européen du marché des véhicules 100% électriques avec la berline LEAF et le fourgon compact e-NV200. Nissan participe enfin au développement de la mobilité 100% électrique via l’installation du premier réseau de bornes de recharge rapide en France et en Europe. Avec sa Nouvelle Promesse Client, Nissan souhaite faire évoluer l'expérience client. Le client est ainsi placé au centre des initiatives de la marque, côté vente mais également après-vente. En France, Nissan a commercialisé en 2018 plus de 69 456 véhicules soit une part de marché de 2,64%.

lundi 24 juin 2019

Electromobilité: Que de progrès accomplis en 6 ans !

En octobre 2013, j'avais voulu tester les limites de ma 1ère LEAF 24 kWh en me risquant à "escalader" le Tourmalet, avec pour seul point de ravitaillement électrique, sur les 260 km du trajet, la borne à 7 kwh de la concession Nissan de Tarbes. L'aventure, car "à l'époque" c'était une aventure, que j'avais relatée ici, s'était terminée par une panne sèche à 200 m de mon garage.
En ce dimanche de juin annoncé comme caniculaire, nous prenons la direction du Tourmalet avec l'espoir d'y trouver un peu plus de fraîcheur, avec l'intention de gravir sa majesté par son versant Ouest, inaccessible il y a 6 ans compte tenu des inondations catastrophiques subies par la vallée
Méprisant la trentaine de bornes accélérées déployées sur mon parcours ( la seule borne rapide à ce jour étant à la concession Nissan de Tarbes mais non accessible le dimanche) nous en atteignons une d'Argelès Gazost avec 56 % de la batterie restants. J'aurais été seul, j'aurais tenté le tour sans recharge, mais dans le soucis d'épargner nos nerfs j'ai préféré reprendre les 11 kWh qu'elle m'a délivré le temps d'un excellent repas à La Forge, que je vous recommande.
Le sommet du Tourmalet est atteint à 15h56 au milieu d'une cohue de cyclistes, motards et touristes, sans doute venus chercher eux aussi un peu de fraîcheur, il fait tout de même 22° à 2115 m d'altitude. 
Après le trajet depuis Gaugens, une recharge de 11 kw en 2 h il me reste en haut du col 47% de la batterie et une autonomie affichée de 99 km qui, compte tenu des 40 km de descente, devrait largement suffire. En 2013 avec la 24 kWh et une recharge de 13 kWh en 3h il ne me restait  que 3 km d'autonomie et au retour il avait fallu que je
recharge au passage à Tarbes.  
Sur le chemin du retour nous faisons une escale à la chapelle de Roumé histoire de contempler une fois de plus un des plus beaux panoramas sur le Pic du Midi , le Montaigu et les sommets alentours. A Mauvezin passage par le moulin de la Ribère pour m'approvisionner en farine de Blé de Bordeaux, une ancienne variété beaucoup moins surgonflée en gluten. 
Descendus de 2115 m à 515 m en 40 km, ma batterie a récupéré 8 % soit environ 3kWh mais surtout mon autonomie est passé de 99 à 162 km ! 
Retour à Gaugens à 19h20 au bout de 284 km et avec une autonomie de 54 km et 20% de la batterie ce qui me confirme que j'aurais pu tenter le circuit sans recharge, compte tenu de la consommation de la climatisation et que du haut du col jusqu'à La Mongie j'ai du rouler derrière un bus à 20 km/h et donc très peu de recharge?  A tenter une prochaine fois !

Quel confort maintenant ! Pourvu que quelques bornes rapides viennent, maillées à 50 km, enrichir les solutions de recharge et l'itinérance, y compris en montagne ne sera vraiment plus un problème.
Jean-Claude LE MAIRE


  
PS : J'avais préfiguré mon parcours  sur Route Planer, et il se confirme encore une fois que ces outils d'aide à la navigation sont de plus en plus précis.


Vivement la mise en service de EV Move de Be Nomad 

jeudi 20 juin 2019

Réduire « enfin » les émissions de CO2 des voitures nécessite de réorienter le marché vers des voitures plus légères, fabriquées avec de l’électricité décarbonée, et de mettre en place un plan industriel assurant à l’Europe son autonomie dans la fabrication des voitures électriques et de leurs batteries. ( France Stratégie )

Urgence. Alors qu’il représente un quart des émissions de GES de l’Union européenne, le secteur des transports est le seul dont les émissions ont augmenté depuis 1990. Parce que les voitures particulières sont responsables de la moitié de ces émissions, l’Union Européenne a fixé un seuil maximum pour les émissions de CO2 moyennes des voitures neuves à 95 grammes par kilomètre en 2021, puis à 60 grammes par kilomètre en 2030. Or ces émissions dépassent 120 grammes en 2018, et ne baissent plus depuis 2016. Si l’objectif de 2021 semble donc hors de portée, celui de 2030 est encore accessible, à condition, explique Nicolas Meilhan, de passer à l’électrique et de réduire le poids des voitures.

Pourquoi les émissions de CO2 des voitures ne baissent pas ?

« Depuis 20 ans, les émissions de CO2 des voitures neuves en conditions de conduite réelle n’ont quasiment pas baissé », constate l’auteur. Pourquoi ?
D’abord parce que l’Europe a pris du retard, en misant dans un premier temps sur un accord volontaire avec les constructeurs automobiles, et en refusant toute forme d’harmonisation de la fiscalité automobile… jusqu’en 2009 et le passage à une logique d’obligation.
Ensuite (et surtout) parce que le poids moyen des voitures neuves a considérablement augmenté – de 10 kg par an en 50 ans en France –, au point de surcompenser la baisse des émissions gagnée via l’optimisation des rendements des moteurs ou l’amélioration de l’aérodynamisme. C’est ce qu’on appelle l’effet rebond. Premier responsable de cette tendance sur la dernière décennie : l’engouement pour les SUVs (abréviation de l'anglais sport utility vehicle, typiquement les « cross-over » en Europe). Des véhicules (dits bicorps) qui peuvent peser jusqu’à 2,5 tonnes – comptez une tonne pour une Twingo à titre de comparaison – et qui s’arrogent aujourd'hui un tiers du marché européen des voitures neuves. Or, si le recours au diesel – dont le rendement des moteurs est supérieur à celui des moteurs à essence – avait permis dans les années 2000 de contrebalancer la hausse des émissions liées à l’augmentation du poids des voitures, le recul de la diésélisation fait aujourd'hui de « la mode du SUV » un handicap environnemental majeur. Et ce, d’autant plus que les ventes de voitures électriques plafonnent, elles, à un niveau inférieur à 3 % en 2018.
Téléchargez la note complète en cliquant sur l'image
Bilan : les émissions de CO2 mesurées en laboratoire ont augmenté en 2017 et 2018, pour la première fois depuis 25 ans. « L’objectif européen des 95 grammes de CO2 en 2021 semble [donc] désormais difficile à atteindre », conclut Nicolas Meilhan. Si la tendance (aux SUVs et aux essences) devait se poursuivre, l’auteur estime en effet que les constructeurs automobiles auront à réduire de 10 g/km les émissions moyennes de CO2 de leurs voitures neuves, chaque année, pendant trois ans, pour espérer atteindre l’objectif européen… ce qui ne s’est jamais produit (même en laboratoire) au cours des vingt dernières années. 


La clé du succès : des voitures électriques et plus légères

Passage obligé. Si la nécessité d’électrifier le parc automobile ne fait plus de doute aujourd'hui, ce qu’on sait moins en revanche, c’est que le gain environnemental d’une telle conversion dépend de la taille (du poids) des voitures. D’abord, parce qu’il va sans dire qu’électrique ou thermique, une voiture consomme d’autant plus d’énergie qu’elle est lourde. Ensuite, parce qu’il faut tenir compte de l’impact environnemental d’une voiture sur l’ensemble de son cycle de vie. Or la fabrication des batteries électriques consomme autant d’énergie que la fabrication d’une voiture elle-même. Résultat : aujourd'hui un gros SUV électrique peut émettre plus de CO2 sur son cycle de vie qu’une petite essence !
Aller vers des voitures plus légères est donc un préalable nécessaire. Mais comment y parvenir ? En indexant le bonus/malus – créé pour encourager l’achat de véhicules propres – sur le poids des voitures, suggère l’auteur. Un dispositif déjà appliqué par la Norvège qui peut se targuer d’avoir atteint dès 2016 l’objectif européen des 95 g/km. Un dispositif qui permettrait surtout d’inciter les constructeurs à fabriquer des voitures plus légères et qui rétablirait de l’équité sociale dans la fiscalité : davantage de bonus pour « les petites voitures » sobres en énergie mais un malus sur les « tanks », y compris électriques, achetés par les ménages les plus aisés (pour une utilisation le plus souvent en solo). La Norvège a tenté d’aller un cran plus loin en proposant un projet de loi (finalement rejeté) en faveur de la suppression du rabais aux véhicules électriques de plus de 2 tonnes. À titre d’illustration, si la France adoptait une telle mesure, l’actuel bonus de 6 000 euros dont bénéficie l’acheteur d’une Audi e-Tron – 80 000 euros, 2,5 tonnes dont 700 kg de batteries – se transformerait en un malus de 10 000 euros.
Autre condition nécessaire pour que le passage à l’électrique entraîne vraiment le gain environnemental attendu : produire nos voitures à faibles émissions avec de l’électricité décarbonée. Idéalement, même, encourager la production locale de voitures « propres », au moyen d’une taxe carbone ajustée aux frontières ou, à défaut, de dispositions permettant de conditionner l’octroi des aides au respect d’une norme sur l’empreinte carbone associée à la production et au recyclage des voitures et de leurs batteries. Ce sont du reste des mesures de ce type qui ont permis à la Chine de faire émerger des champions nationaux, avec la rapidité qu’on sait : les premières voitures électriques fabriquées en Chine arriveront sur le marché européen… cette année.  
En clair, maintenant que l’Europe dispose d’un vrai plan environnemental, « elle doit impérativement mettre en place un plan industriel lui assurant à moyen terme son autonomie dans la fabrication des voitures à faibles émissions et de leurs batteries », préconise l’auteur. Un plan qui passe aussi par des efforts de recherche pour développer des batteries « sans cobalt », ressource limitée dont le raffinage est contrôlé à 80 % par la Chine et la fin programmée en 2025, et par la mise en place d’une filière de recyclage.
On l’aura compris, pour que la voiture électrique soit réellement une solution d’avenir pour la mobilité individuelle, il est urgent de réorienter le marché vers des voitures plus légères et de penser dès aujourd’hui à limiter les externalités environnementales liées à leur production.
Auteur pour France Stratégie : Nicolas Meilhan Développement durable et numérique

mercredi 19 juin 2019

NISSAN LEAF : GAMME 2019

  • Gamme Nissan LEAF 2019, deux versions au choix : LEAF 40 kWh/150ch et LEAF e+ 62 kWh/217ch
  • Tout nouveau système NissanConnect de série, nouveaux services connectés
  • Ecran du NissanConnect désormais plus grand
  • Nouvelles couleurs de carrosserie bi-ton disponibles
  • Toujours plus technologique, la berline 100% électrique de Nissan est leader en Europe

Avec 40 000 ventes en 2018, et plus de 130 000 unités en circulation sur le Vieux Continent, la Nissan LEAF est la voiture 100% électrique la plus vendue d’Europe. 
Pour 2019, Nissan enrichit la gamme LEAF. Désormais proposée en deux versions – LEAF 40 kWh et LEAF e+ 62 kWh, la Nissan LEAF voit sa gamme 2019 évoluer avec davantage de technologie et de connectivité.

Une gamme élargie: nouvelle finition et capacité de batterie améliorée 

La gamme Nissan LEAF bénéficie de l’introduction d’une nouvelle génération de batterie encore plus performante. Désormais, la gamme est proposée en deux versions, la LEAF 40 kWh qui demeure le cœur de gamme, et la LEAF e+ 62 kWh pour les clients à la recherche de plus de performances, ou de plus d’autonomie.
  • La Nissan LEAF 40 kWh offre une puissance de 150 ch. pour 320 Nm de couple. Son autonomie atteint 270 km en cycle mixte WLTP et 389 km en cycle urbain WLTP.  La Nissan LEAF est disponible en six finitions: First, Acenta, Business, N-Connecta, Business + et Tekna. 
  • La Nissan LEAF e+ 62 kWh offre une puissance de 217 ch. pour 340 Nm de couple. Son autonomie atteint 385 km en cycle mixte WLTP et 528 km en cycle urbain WLTP*. La Nissan LEAF e+ accélère de 0 à 100 km/h en 6,9 s.La Nissan LEAF e+ est disponible en trois finitions: N-Connecta, Business + et Tekna. 

Depuis mai, la Nissan LEAF voit sa gamme élargie avec l’arrivée d’une nouvelle finition encore plus accessible, dénommée First. Cette dernière est notamment dédiée aux foyers non imposables, rendant accessible la LEAF First à partir de 16 990 € (Les détails de cette finition se trouvent ici), batterie incluse et sans compromis sur les équipements, grâce au doublement par Nissan de la Prime à la Conversion de l’Etat.

Ecran plus grand, nouveaux services connectés

La Nissan LEAF 2019 est équipée du système d’info divertissement NissanConnect. Celui-ci a été totalement renouvelé. Le nouveau NissanConnect est livré de série et ce, dès la finition First. Il intègre un nouvel écran agrandi à 8’’ dont la réactivité tactile est améliorée. Il dispose de nouvelles fonctionnalités TomTom telles que l’info trafic en temps réel, la météo, la navigation porte-à-porte et de nouvelles fonctionnalités telles que les Vue Satellite et Street View Google. S’y ajoutent AndroidAuto et Apple Carplay.

La technologie e-Pedal, disponible de série sur toute la gamme Nissan LEAF, permet d’accélérer, de ralentir, de freiner et de s’arrêter uniquement avec la pédale d’accélérateur. La pédale de frein reste fonctionnelle en cas de besoin. La réactivité améliorée de la e-Pedal crée une expérience de conduite encore plus fluide et offre un maximum de contrôle au conducteur.

Déjà choisie par plus d’un client sur deux sur la Nissan LEAF, la technologie de conduite assistée ProPILOT fonctionne sur voie rapide. Elle permet de contrôler la direction, maintenir le véhicule sur sa file, maintenir la distance avec le véhicule qui précède, y compris dans les bouchons. Si le véhicule qui précède s’arrête, la Nissan LEAF s’arrêtera également. Si l’arrêt dure moins de trois secondes, la Nissan LEAF redémarrera également automatiquement. Ce système permet de faciliter la conduite et de réduire le stress et la fatigue du conducteur. La technologie Nissan ProPILOT fonctionne sur voie rapide. 

Nouveaux services connectés

Accessible depuis un smartphone, l’application NissanConnect Services remplace la précédente application NissanConnect EV. Elle permet la localisation du véhicule, le contrôle à distance de la climatisation, la gestion de la recharge et l’autonomie restante, l’historique d’éco-conduite, les phares ou le klaxon.

La multiplication de l’offre bi-ton et l’intégration d’une nouvelle couleur

Une nouvelle couleur de carrosserie apparait dans la gamme LEAF: le Bleu Topaze, déjà proposé sur le crossover Nissan QASHQAI, le best-seller de Nissan. 

A partir de la version N-Connecta, la gamme Nissan LEAF 2019 est proposée avec de nouvelles couleurs de carrosserie bi-ton. La couleur secondaire recouvre le toit et les rétroviseurs, mais aussi désormais les montants latéraux. 

Les nouvelles combinaisons de bi-ton avec toit Noir Métallisé, en complément du Blanc Lunaire existant, sont le Gris Foudre, le Gris Squale, le Bleu Topaze et le Rouge Magnétique.

La Nissan LEAF est également désormais proposée avec deux nouvelles combinaisons bi-ton: Noir Métallisé avec toit Gris Squale, ainsi que Blanc Lunaire associé au toit bleu Indigo.

Une version Business encore mieux équipée

Réservée aux professionnels, la finition BUSINESS se dote de nouveaux équipements comme les jantes alliage de 16’’, la pompe à chaleur, la sellerie tissu noir, le régulateur de vitesse intelligent, le volant cuir, les feux antibrouillards avant, le nouveau NissanConnect 8’’, un système audio à 6 haut-parleurs ainsi que les vitres arrière et de hayon surteintées.

La Nissan LEAF est accessible à partir de 35.400 €, hors aides gouvernementales. 

*Sous réserve d’homologation définitive.




mardi 18 juin 2019

Le WWF France et le Groupe Renault annoncent un partenariat visant à mettre en œuvre une mobilité plus électrique et plus partagée, associée au développement des énergies renouvelables


1er cas pratique : l’Ile de Porto Santo

Le Groupe Renault, pionnier et leader européen du véhicule électrique, est activement engagé en faveur d’une mobilité plus durable à travers le développement d’écosystèmes électriques intelligents et de services de mobilité plus partagés et accessibles pour tous. Dans cette perspective, le constructeur s’est également fixé l’objectif de réduire de 25% son empreinte carbone entre 2010-2022, et de proposer 8 modèles de véhicules électriques dans le cadre de son plan stratégique « Drive the future », à l’horizon 2022.
Le WWF France est engagé depuis trois ans pour accélérer la transition des mobilités à travers sa vision du « moins, mieux et autrement » poussée par ses actions de plaidoyer auprès des décideurs politiques, par ses partenariats transformationnels avec les acteurs économiques et par l’accompagnement des collectivités locales.

Face à cette volonté conjointe de transformation et au poids des émissions des transports, le WWF France et le Groupe Renault ont noué un partenariat autour d’une vision commune : la mobilité de demain passera par la transition du modèle historique de la voiture individuelle et fossile vers une mobilité plus durable, à savoir plus partagéeà travers notamment le déploiement de services de mobilités tels que l’autopartage et le covoiturage – et plus électrique, basée sur des sources d’énergies renouvelables – dont l’intégration est facilitée par les services rendus par les batteries des véhicules électriques.

  • Etudes sur l’apport des nouvelles solutions de mobilité dans la transition écologique : premier cas pratique sur Porto Santo
Dans le cadre de ce partenariat, le WWF France et le Groupe Renault ont ainsi mené une première étude sur l’île de Porto Santo au Portugal, dont les 1ers résultats sont publiés ci-après, afin de tester en grandeur nature les synergies entre le développement du véhicule électrique et ses services rendus au réseau, avec le développement des énergies renouvelables. Dans les prochains mois, ils procéderont à l’analyse de différentes expérimentations liées au véhicule électrique (recharge intelligente/réversible, stockage stationnaire dans des batteries de seconde vie, synergies multisectorielles, etc…), afin d’étudier sa meilleure intégration possible dans les réseaux de production et de distribution d’électricité. L’objectif : assurer un bénéfice optimal en termes d’exploitation des énergies renouvelables et de réduction des émissions de gaz à effet de serre à l’échelle du territoire.

Un laboratoire insulaire inédit

L’étude de Porto Santo s’inscrit dans le cadre d’un programme innovant, appelé « Smart Fossil Free Island » mis en œuvre par le gouvernement régional de Madère pour favoriser la transition énergétique de l’île.
Bien que le mix électrique de Porto Santo repose aujourd’hui très largement sur les énergies fossiles, l’étude montre qu’un véhicule électrique à Porto Santo a une empreinte carbone inférieure à celle de ses équivalents diesel et essence, respectivement de 11% à 34%, sur l’ensemble de leur cycle de vie. Les modélisations montrent que plus on développe le couple énergie renouvelable et véhicule électrique, plus cet écart se creuse. Grâce à un développement maximal d’une combinaison de 99,5% d’énergies renouvelables et 100% de mobilité électrique, l’île entière pourrait se rapprocher fortement de la neutralité en carbone d’ici 2030. Son empreinte carbone serait ainsi réduite de 88% par rapport à 2018.

Du laboratoire au changement systémique

Le Groupe Renault et le WWF France ont prévu de poursuivre l’analyse des bénéfices d’un écosystème de véhicules électriques couplé aux énergies renouvelables, d’une part à Porto Santo en abordant des aspects supplémentaires tels que l’angle économique ou les comportements d’usage, et au-delà dans d’autres territoires ou îles, comme par exemple Belle-Ile-Mer, en y intégrant les bénéfices de l’autopartage.
 Le partenariat vise également un passage à grande échelle en capitalisant sur ces analyses avec les facteurs clés de réussite, dans l’objectif de reproduire ou d’adapter cette démarche dans d’autres territoires.  

Le Groupe Renault rejoint l’initiative « Réinventer les Villes » du WWF France

Pour les 10 plus grandes métropoles françaises, le secteur des transports représente entre 20 et 60% des émissions de gaz à effet de serre. Il est donc urgent de mettre en œuvre des modèles d’organisation urbaine et de mobilité plus durables et plus désirables : des modèles où nous nous déplacerons autrement et plus efficacement. Le Groupe Renault rejoint ainsi l’initiative « Réinventer les villes » afin de travailler à la promotion de modèles de villes et de mobilités durables aux côtés d'acteurs publics et privés. 

" Le Groupe Renault est le premier constructeur du monde à avoir présenté un objectif climatique aligné avec l’Accord de Paris (Science Based Target). Cet engagement confirme le constat fait par le constructeur d’une évolution nécessaire, et d’ores et déjà engagée, des produits et des services de mobilité. Il devient donc un acteur incontournable des changements de mobilité. Nous croyons ensemble à travers ce partenariat que cette transition doit passer par des formes de mobilités plus électriques, partagées et basées sur les énergies renouvelables. C’est un impératif écologique et social. Ce partenariat s’inscrit pleinement dans la vision du WWF France : se déplacer moins, mieux et autrement, dans un écosystème de solutions de mobilités qui doit être développé à grande échelle (transports en commun, vélo, mobilités douces ainsi que le véhicule électrique). "
Pierre Cannet, Co-directeur des programmes du WWF France ad interim

"A travers ce partenariat, l’ambition du Groupe Renault est de déployer plus largement sa stratégie environnementale. Avec le WWF France, nous entendons développer des actions conjointes pour démontrer la pertinence scientifique de l’électromobilité comme levier d’accélération de la transition écologique et opportunité de rendre la mobilité durable accessible pour tous." 
Jean-Philippe Hermine, Directeur Stratégie et Plan Environnement du Groupe Renault

"Avec l’expertise du WWF France, notre intention est de mesurer concrètement les bénéfices environnementaux du véhicule électrique et de son écosystème, afin d’élaborer une méthodologie permettant de dupliquer ou adapter efficacement ces solutions auprès des territoires, redéfinir la mobilité du futur et accompagner les usagers vers de nouveaux modes de déplacement." 
Gilles Normand, Directeur du Véhicule Electrique du Groupe Renault

A propos du Groupe Renault
Constructeur automobile depuis 1898, le Groupe Renault est un groupe international présent dans 134 pays qui a vendu près de 3,9 millions de véhicules en 2018. Il réunit aujourd’hui plus de 180 000 collaborateurs, dispose de 36 sites de fabrication et 12 700 points de vente dans le monde. Pour répondre aux grands défis technologiques du futur et poursuivre sa stratégie de croissance rentable, le groupe s’appuie sur son développement à l’international. Il mise sur la complémentarité de ses cinq marques (Renault, Dacia, Renault Samsung Motors, Alpine et LADA), le véhicule électrique et son alliance unique avec Nissan et Mitsubishi Motors. Avec une équipe 100% Renault engagée depuis 2016 dans le championnat du monde de Formule 1, la marque s’implique dans le sport automobile, véritable vecteur d’innovation et de notoriété. 

A propos du WWF France
Le WWF est l’une des toutes premières organisations indépendantes de protection de l’environnement dans le monde. Avec un réseau actif dans plus de 100 pays et fort du soutien de 6 millions de membres, le WWF œuvre pour mettre un frein à la dégradation de l’environnement naturel de la planète et construire un avenir où les humains vivent en harmonie avec la nature, en conservant la diversité biologique mondiale, en assurant une utilisation soutenable des ressources naturelles renouvelables et en faisant la promotion de la réduction de la pollution et du gaspillage.
Depuis 1973, le WWF France agit au quotidien afin d’offrir aux générations futures une planète vivante. Avec ses bénévoles et le soutien de ses 220 000 donateurs, le WWF France mène des actions concrètes pour sauvegarder les milieux naturels et leurs espèces, assurer la promotion de modes de vie durables, former les décideurs, accompagner les entreprises dans la réduction de leur empreinte écologique et éduquer les jeunes publics. Mais pour que le changement soit acceptable il ne peut passer que par le respect de chacune et chacun. C’est la raison pour laquelle la philosophie du WWF est fondée sur le dialogue et l’action.
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Nouvelle Renault ZOE : Le plaisir de rouler 100 % électrique prend une nouvelle dimension

Nouvelle ZOE est plus performante que jamais, notamment grâce à un rayon d’action et une puissance accrus. Son design affirmé lui fait gagner en caractère. Et elle met une palette d’équipements high-tech au service du confort de conduite et de vie à bord. Le plaisir de rouler 100 % électrique prend une nouvelle dimension !
Design : un caractère affirmé

De l’impertinence de la jeunesse au dynamisme de l’âge adulte, Nouvelle ZOE franchit également un cap en matière de design. Les formes douces de la génération précédente s’associent désormais à des lignes au caractère nettement plus affirmé, qui campent la voiture sur la route et lui confèrent davantage d’assise. À l’intérieur, les designers du Groupe Renault se sont particulièrement attachés à la qualité des finitions, au confort et à l’ergonomie. Une mention spéciale pour l’écran conducteur 10 pouces disponible dès le premier niveau de finition – caractéristique unique sur ce segment.
Autonomie et recharge : ZOE va toujours plus loin
Nouvelle ZOE bénéficie d’une batterie Z.E. 50 qui porte son autonomie jusqu’à 390 kilomètres WLTP*. Elle s’ouvre dans le même temps à la charge rapide en courant continu, qui complète l’ensemble des possibilités de recharge déjà offertes au domicile ou sur la voie publique en courant alternatif.
Cliquer sur l'image pour accéder à la présentation complète

Plaisir de conduite : des sensations électrisantes
Nouvelle ZOE ajoute aux charmes intrinsèques de la conduite électrique une motorisation 100 kW plus puissante, digne d’une routière, mais aussi un nouveau mode de roulage particulièrement adapté à la ville, et de nombreuses aides à la conduite dédiées au confort et à la sécurité.
Renault EASY CONNECT : une expérience simplifiée de bout en bout
Nouvelle ZOE se met au diapason de nos vies toujours plus connectées avec l’offre Renault EASY CONNECT. Elle associe le nouveau système multimédia Renault EASY LINK et l’application MY Renault pour proposer au conducteur un ensemble d’applications et de services pensés pour l’accompagner tout au long de ses activités quotidiennes.
* Autonomie WLTP (Worldwide Harmonized Light vehicles Test Procedure, cycle normalisé : 57 % de trajets urbains, 25 % de trajets péri-urbains, 18 % de trajets sur autoroute), pour la version ZOE Life. En cours d’homologation.

Véhicule électrique : En France un remède bien moins pire que le mal !


Actu-Environnement organise un excellent débat sur les questions autour de l'intérêt écologique et des inconvénients du véhicule électrique. Selon le périmètre étudié son bilan environnemental varie. Même s'il est déjà nettement positif en France, il peut encore être amélioré.
Florence Roussel, rédactrice en chef d'Actu-Environnement, en débat avec ses invités : Cécile Goubet, Secrétaire générale de l'Avere et Aurélien Schuller, Manager du Pôle mobilité au cabinet Carbone 4

vendredi 14 juin 2019

Nouveau record pour le NISSAN e-NV200 : Barre des 10.000 commandes atteinte en Europe.

  • Leader sur 10 marchés européens, notamment au Royaume-Uni, en Italie, en Norvège et aux Pays-Bas.
  • La version 40 kWh du Nissan e-NV200 a atteint les 10 000 commandes en Europe.
  • Livraisons de fourgons Nissan e-NV200 prévues chez DHL et Chronopost.
Lancé début 2018, le fourgon compact 100% électrique version 40 kWh de la marque vient d’atteindre la barre symbolique des 10.000 véhicules commandés en Europe. La forte demande dans les secteurs de la livraison, du transport et de la location a contribué à son succès sur le continent. Ainsi, ils ont récemment séduit DHL et Chronopost. 
En effet, le fourgon Nissan e-NV200 est le véhicule 100% électrique le plus vendu sur 10 marchés européens, dont le Royaume-Uni, l’Italie, la Norvège et les Pays-Bas. 

Le fourgon compact 100% électrique de Nissan combine les qualités du best-seller mondial des utilitaires Nissan, le Nissan NV200, avec les technologies de la Nissan LEAF, la voiture 100% électrique la plus vendue au monde. 

La batterie de 40 kWh du nouveau Nissan e-NV200 développe une autonomie jusqu’à 301 km en cycle urbain et jusqu’à 200 km en cycle combiné. Cela représente une amélioration de 60% en une seule recharge par rapport à la génération précédente.* 

Le Nissan e-NV200 est disponible en deux versions : le fourgon compact e-NV200 ou le ludospace e-NV200 EVALIA 5 ou 7 places. L’un comme l’autre offrent un intérieur polyvalent et modulable en fonction des besoins. Grâce à ses 4,2 m³ d’espace de chargement, la version fourgon compact peut contenir deux europalettes et jusqu’à 742 kg.

Le Nissan e-NV200 se distingue également par sa capacité de recharge bidirectionnelle unique. Cette technologie appelée Vehicle-to-Grid (V2G) permet aux propriétaires de ce véhicule d’utiliser leur batterie pour stocker de l’électricité, la connecter à leur entreprise pour l’alimenter, ou même revendre l’énergie excédentaire sur le réseau local.

Paolo D'Ettore, Director LCV Business Unit Nissan Europe, a indiqué: « Le succès du e-NV200 démontre que ce dernier correspond aux attentes et besoins des clients. L'accélération de l'électrification des parcs automobiles, en particulier en centre-ville, représente un défi pour nos clients. 
Grâce à sa polyvalence et à sa motorisation zéro émission, le fourgon 100% électrique; le Nissan e-NV200 est le véhicule idéal pour aider les entreprises à optimiser leurs activités, tout en contribuant à un futur plus durable. »

Depuis son lancement en 2014, le Nissan e-NV200 -toutes versions confondues- a rencontré un vrai succès en Europe, avec plus de 25 000 véhicules vendus. Aux côtés de la Nissan LEAF, le fourgon 100% électrique Nissan e-NV200 incarne la vision Nissan Intelligent Mobility, stratégie de la marque visant à anticiper la manière dont les véhicules sont conduits, motorisés et intégrés à la société.

Dans l’Hexagone, ce sont pas moins de 3 000 fourgons e-NV200 qui ont été vendus dont plus de 1.100 exemplaires de sa version 40 kWh lancée en mars 2018.

Pour plus d’informations sur la gamme Nissan e-NV200, rendez-vous sur: Brochure eNV200 Evalia
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*Les chiffres sont indiqués à titre de comparaison ; comparez-les uniquement avec les chiffres de véhicules testés selon les mêmes procédures techniques. L'autonomie électrique mentionnée a été obtenue selon la nouvelle procédure d’essai WLTP. Chiffres obtenus après charge complète de la batterie. Les résultats réels peuvent varier en fonction de divers facteurs, comme la charge de départ de la batterie, les accessoires ajoutés après l’achat, les conditions météorologiques, le style de conduite et la charge du véhicule.