mardi 8 juillet 2025
L'Europe lance une consultation publique afin de garantir un choix éclairé des acheteurs, par une modification de l'étiquetage sur la consommation et les émissions de CO², de voitures "propres" . (Extraits de la publication)
UN CONSTAT :
Problème que l’initiative vise à résoudre
La directive sur l’étiquetage des voitures (*de 1999*) a pour objet de garantir que les informations relatives à la consommation de carburant et aux émissions de CO2 des voitures particulières neuves proposées à la vente ou en crédit-bail dans l’UE sont mises à la disposition des consommateurs afin de permettre à ceux-ci d'opérer un choix éclairé.
Ces dispositions encouragent les consommateurs à faire des choix durables en sélectionnant des véhicules à émissions de CO2 faibles ou nulles, contribuant ainsi à l’action pour le climat. Elles aident aussi les constructeurs automobiles à atteindre leurs objectifs en matière de CO2.
L’évaluation de la directive a révélé que plusieurs groupes d’acheteurs de véhicules, en particulier les acheteurs de voitures à émissions nulles, de véhicules utilitaires légers neufs et de véhicules d’occasion, ne sont pas ou pas correctement pris en compte par la directive. L’évaluation a également révélé qu’un manque d’harmonisation occasionnait de grandes variations dans la mise en œuvre d’un État membre à l’autre. De plus, pour trouver des informations sur les voitures particulières neuves, les consommateurs se fient de plus en plus à des plateformes numériques, lesquelles ne sont pas suffisamment prises en considération par la directive.
Ces problèmes limitent la capacité de la directive à stimuler la demande de véhicules à émissions nulles et, partant, à compléter les règles de l’UE axées sur l’offre qui établissent des normes applicables aux émissions de CO2 pour les voitures particulières et véhicules utilitaires légers neufs.
Nécessité pratique d’une action de l’Union :
Le changement climatique relève d’une compétence partagée entre l’UE et ses États membres qui a été largement exercée par l’Union, ce qui en fait une compétence exclusive en vertu de l’article 2, paragraphe 2, du TFUE.
Par conséquent, une coordination au niveau de l’UE est nécessaire et une action se justifie, comme le prévoit l’article 191 du TFUE, qui vise les objectifs suivants:
- la préservation, la protection et l’amélioration de la qualité de l’environnement;
- la protection de la santé des personnes;
- l’utilisation prudente et rationnelle des ressources naturelles;
- la promotion, sur le plan international, de mesures destinées à faire face aux problèmes régionaux ou planétaires de l’environnement, et en particulier la lutte contre le changement climatique.
Une action au niveau de l’UE se justifie par l’existence d’un marché unique pour les voitures particulières et pour les véhicules utilitaires légers. Il est donc à la fois plus efficace et plus économique de garantir une action coordonnée visant à informer les acheteurs de véhicules au sujet de la consommation de carburant et des émissions de CO2 des véhicules proposés à la vente ou en crédit-bail. Il est peu probable que les États membres agissant individuellement imposeraient que ces informations soient fournies de manière systématique.
Une action au niveau de l’UE est donc justifiée, étant donné l’incidence transfrontière du changement climatique et la nécessité de préserver le marché unique des véhicules.
Objectifs et options
Les objectifs principaux de la directive en vigueur consistent à garantir que les informations relatives à la consommation de carburant et aux émissions de CO2 des voitures particulières neuves proposées à la vente ou en crédit-bail dans l’UE sont mises à la disposition des consommateurs afin de permettre à ceux-ci d'opérer un choix éclairé.
La présente initiative vise à mettre à jour les règles et objectifs actuels afin de rendre compte de l’évolution du marché des véhicules et de l’environnement technologique. Il s’agit notamment de réviser le contenu de l’étiquette, en particulier pour y faire figurer des informations pertinentes sur les véhicules à émission nulle et pour encourager l’utilisation d’outils numériques.
L’analyse d’impact aura pour finalité d’examiner un certain nombre d’options et de les comparer avec le scénario de référence (c’est-à-dire la poursuite de l’application de la directive en vigueur). L’analyse d’impact sera axée sur:
- le champ d’application de la directive (types de véhicules visés);
- l’harmonisation de l’étiquette;
- les caractéristiques de conception de l’étiquette et les éléments d’information devant y figurer;
- l’utilisation de canaux d’information et d’outils numériques.
L’analyse d’impact permettra également d’examiner les possibilités de simplification, en tenant compte des conclusions de l’évaluation.
Incidences probables
La présente initiative peut aider les consommateurs à faire des choix plus durables et contribuer à l’objectif d’accroissement de la demande de véhicules à émissions nulles. Ce faisant, elle agit comme une mesure axée sur la demande qui: - soutient la transition vers une mobilité à émissions nulles; - aide les constructeurs automobiles à atteindre leurs objectifs en matière d’émission de CO2.
Analyse d'impact
Une analyse d’impact sera réalisée à l’appui de la préparation de cette initiative.
Les conclusions de l’évaluation publiée le 4 juin 2025 ( dont vous trouverez la traduction ci-après ) serviront de base à l’analyse d’impact en ce qui concerne les options stratégiques possibles et les solutions de remplacement envisagées pour résoudre les problèmes qui pourraient être recensés à l’avenir. L’analyse d’impact examinera les incidences économiques, sociales et environnementales des différentes options stratégiques. L’évaluation soutiendra l’élaboration d’une proposition législative.
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Bruxelles, 4 juin 2025 SWD(2025) 156 final
DOCUMENT DE TRAVAIL DU PERSONNEL DE LA COMMISSION
RÉSUMÉ EXÉCUTIF DE L'ÉVALUATION
Évaluation de la Directive 1999/94/CE du Parlement Européen et du Conseil relative à la disponibilité des informations pour les consommateurs sur l'économie de carburant et les émissions de CO2 concernant la commercialisation de nouvelles voitures particulières
{SWD(2025) 155 final}
1. INTRODUCTION
La directive 1999/94/CE (1) ci-après la « directive sur l’étiquetage des voitures ») exige que des informations sur la consommation de carburant et les émissions de dioxyde de carbone (CO2) des voitures particulières neuves vendues ou louées dans l’UE soient mises à la disposition des consommateurs au point de vente afin de leur permettre de faire des choix éclairés en ce qui concerne les voitures qu’ils achètent ou louent.
Indirectement, ces informations peuvent contribuer à orienter la demande vers des voitures plus économes en carburant et moins émettrices de CO2, et aider les constructeurs à se conformer à leurs objectifs d’émissions de CO2 fixés par le règlement (UE) 2019/631 (2).
La dernière évaluation de la directive sur l’étiquetage des voitures remonte à 2016. Depuis lors, la technologie, les marchés automobiles, la société et le cadre politique de l’UE, en particulier dans les domaines des transports et de l’action pour le climat, ont considérablement évolué.
Objectif et évaluation
L’objectif de cette évaluation est d’examiner dans quelle mesure la directive sur l’étiquetage des voitures est encore adaptée à l’objectif politique actuel, à la société, au marché et au contexte technologique. La présente évaluation porte sur la période de 2016 à 2024.
Méthodologie
Dans le cadre de ce travail, la Commission a recueilli des données probantes au moyen de recherches documentaires et d’un dialogue avec les États membres et les parties prenantes, notamment une enquête en ligne auprès des autorités des États membres et une consultation ciblée des parties prenantes, y compris des entretiens avec les autorités nationales compétentes et les représentants des parties prenantes. Dans la mesure du possible, une évaluation quantitative a été effectuée. Dans un certain nombre de domaines, cependant, l’évaluation a dû s’appuyer sur une approche qualitative.
Les dispositions de la directive permettent généralement aux consommateurs de faire un choix plus éclairé en faveur de véhicules ayant des émissions de CO2 plus faibles et un meilleur rendement énergétique. La question de savoir si c’est le cas dépend fortement de facteurs personnels, mais aussi de facteurs liés à l’étiquette, tels que la mise en œuvre nationale, la conception de l’étiquette (3) , l’application appropriée, les synergies avec d’autres mesures et la compréhension, la familiarité et la confiance des consommateurs dans les informations fournies. Toutefois, la quantification des incidences est difficile car il est difficile d’établir un lien de causalité clair entre la mise en œuvre de la directive et la réalisation de ses objectifs.
Les preuves que j’ai pu trouver suggèrent que les coûts sont très faibles. Par conséquent, on peut faire valoir que, malgré la difficulté de quantifier, les avantages de la directive l’emportent sur les coûts limités, sur la base des consultations des parties prenantes. L’efficacité de la directive pourrait être accrue si l’on passait d’outils d’information imprimés à des outils d’information numériques, ce qui réduirait les coûts d’impression. L’efficacité pourrait également être accrue par l’harmonisation de l’étiquetage à l’échelle de l’UE, ce qui permettrait de réduire les coûts pour l'industrie car elle n'aurait pas à s'adapter à un étiquetage différent dans chaque État membre.
La Directive est jugée cohérente en interne et est généralement cohérente et compatible avec les stratégies et politiques de l'UE et nationales ainsi que leurs objectifs dans des domaines clés tels que le climat, l'environnement, la mobilité, l'énergie, le marché intérieur et la protection des consommateurs, ainsi qu'avec les obligations internationales de l'UE dans ces domaines politiques. Cependant, il existe des domaines où l'alignement de la Directive avec le cadre politique pourrait être amélioré. En particulier, la Directive pourrait être mieux alignée avec l'objectif de l'UE d'augmenter l'adoption de véhicules à zéro émission. L'accent mis par la Directive sur la consommation de carburant et les émissions de CO2 des échappements est orienté vers les acheteurs de voitures à moteur à combustion interne et sert moins bien les consommateurs cherchant à acheter une voiture électrique à batterie ou à hydrogène.
La Directive a conduit à une adoption beaucoup plus large des systèmes d'étiquetage des voitures à travers toute l'UE, et l'action au niveau de l'UE a assuré un niveau minimum de normalisation entre les États membres et continue de le faire aujourd'hui. La valeur ajoutée de l'UE pourrait toutefois être renforcée par un approfondissement de l'harmonisation des exigences d'étiquetage entre les États membres.
Les besoins et objectifs spécifiques de la Directive sont encore jugés pertinents. Toutefois, la pertinence des outils d'information par lesquels la Directive est censée atteindre ces objectifs a été réduite par des développements récents, comme décrit ci-dessous.
3. CONCLUSIONS ET LEÇONS APPRISES
Bien que la Directive ait atteint ses objectifs initiaux, du moins dans une certaine mesure, plusieurs facteurs ont limité son impact potentiel, notamment :
- Plusieurs groupes ne sont pas ou pas bien servis par la Directive :
- les acheteurs de voitures à zéro émission
- les acheteurs de voitures d'occasion
- les acheteurs de véhicules utilitaires légers (fourgonnettes).
- L'efficacité des outils d'information dépend en grande partie de la mise en œuvre nationale, par exemple en termes de conception des étiquettes (par exemple, exiger des étiquettes basées sur des catégories codées par couleur similaires à l'Étiquette Énergétique de l'UE). La Directive pourrait donc ne pas être aussi efficace qu'elle pourrait l'être dans chaque État Membre.
- Le fait que la mise en œuvre varie considérablement d'un État Membre à l'autre diminue l'efficacité, car ce manque d'harmonisation peut potentiellement entraîner des coûts plus élevés pour l'industrie, réduisant l'efficacité de la Directive.
- Les consommateurs s'appuient de plus en plus sur des plateformes numériques pour obtenir des informations sur les nouvelles voitures. Cela diminue l'impact des dispositions de la Directive, qui sont axées sur les points de vente physiques.
mercredi 2 juillet 2025
Tesla invente l'auto-livraison !
lundi 30 juin 2025
Les batteries de voiture électrique: c'est du costaud ! (L'Automobile Magazine)
Découvrir l'article de L'Automobile Magazine qui confirme la fiabilité des batteries déjà relevée dans d'autres enquêtes et qui permet à certaines marques de porter la garantie à 10 ans ou 200.000 km !
mardi 17 juin 2025
Hommage à Richard
Dès notre arrivée, nous avons été chaleureusement accueillis par la famille de Richard : sa sœur, son beau-frère et sa mère. Une émotion profonde était visible, touchés par notre présence et notre soutien. Nous avons partagé des moments de silence, des souvenirs et des sourires, chacun d'eux exprimant à sa manière combien Richard leur manquait. Nous avons pris un moment pour nous recueillir au cimetière de Saint Aigulin (17), où le caveau de Richard est visible. Ce fut un moment de paix et de réflexion, un dernier hommage à celui qui a tant donné et inspiré.
Richard était un homme réservé, mais son action parlait pour lui. Il était l'un des précurseurs de l'électromobilité en France, un visionnaire qui a contribué à façonner un avenir plus durable. Avec Sébastien et quelques autres passionnés, il avait co-fondé l'association LEAF FRANCE CAFÉ, qui est devenue par la suite e-France Café. Grâce à leur engagement, ils ont créé une communauté soudée autour de la mobilité électrique, inspirant de nombreuses personnes à adopter des modes de transport plus respectueux de l'environnement.
En quittant la famille de Richard, Jean-Claude et moi avions le cœur rempli de gratitude pour avoir connu un homme aussi exceptionnel. Nous savions que son esprit continuerait à vivre à travers chaque initiative en faveur de l'électromobilité, à travers chaque sourire et chaque souvenir partagé en son honneur.
Richard, tu resteras à jamais dans nos cœurs, tout en silence, comme nos véhicules électriques, mais ton impact résonnera pour les générations à venir.
Texte de Nicolas MAZIERE, Directeur de eFrance Café Nouvelle Aquitaine.
dimanche 1 juin 2025
L'astucieux et économique concept de recharge partagée de TEMLab.
FFAUVE appelle à des contreparties ambitieuses pour poursuivre la transition vers une mobilité plus respectueuse de la santé et de l’environnement.
La Fédération Française des Associations d’Utilisateurs de Véhicules Électriques (FFAUVE) prend acte du vote de l’Assemblée nationale visant à supprimer les Zones à Faibles Émissions (ZFE), jusqu’ici pilier des politiques locales de réduction de la pollution de l’air.
Si cette décision traduit une volonté de mieux prendre en compte les difficultés rencontrées par certains usagers face aux restrictions de circulation, elle ne doit pas pour autant marquer un recul dans la lutte contre la pollution atmosphérique, responsable de près de 40 000 décès prématurés chaque année en France selon Santé publique France.
Dans ce contexte, la FFAUVE appelle à des contreparties ambitieuses pour poursuivre la transition vers une mobilité plus respectueuse de la santé et de l’environnement. Cette transition ne peut reposer uniquement sur des contraintes : elle doit être rendue désirable et accessible pour le plus grand nombre.
Les conditions sont aujourd’hui de plus en plus favorables à l’adoption de la mobilité électrique :
- Les prix des véhicules électriques, notamment via un marché de l’occasion fleurissant, baissent et rendent leur acquisition plus abordable pour les ménages et les professionnels ;
- Le maillage de bornes de recharge s’intensifie, y compris en zones périurbaines et rurales, facilitant les déplacements au quotidien comme sur longues distances ;
- Les aides à l’achat et les dispositifs de leasing social permettent déjà à de nombreux foyers modestes de franchir le pas.
La transition écologique ne doit laisser personne de côté. C’est en combinant accompagnement, incitation et vision à long terme que nous réussirons collectivement à améliorer durablement la qualité de l’air et à bâtir une mobilité plus propre, plus silencieuse et plus équitable.
Contact : Pascal HUREAU
Président de FFAUVE
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NDLR : Le VE je le veux s'associe à cet appel à la mobilisation collective pour " à améliorer durablement la qualité de l’air et à bâtir une mobilité plus propre, plus silencieuse et plus équitable" tout en soulignant dans le même souci de recherche d'économies en faveur du VE, la vertueuse convergence entre électromobilité et autoconsommation photovoltaïque et le recours à des solutions de recharge mutualisées comme celles proposées par TEMLab.
vendredi 30 mai 2025
mercredi 28 mai 2025
L'histoire du moteur électrique à flux axial YASA.
lundi 19 mai 2025
DS AUTOMOBILES présente l'inédite N°8 PRÉSIDENTIELLE
N°8 PRÉSIDENTIELLE CONJUGUE SAVOIR-FAIRE ET TECHNOLOGIES FRANÇAISES
Création unique axée sur le savoir-faire et la technologie pour incarner l’Art du voyage, DS N°8 PRÉSIDENTIELLE a été réalisée avec le concours de plusieurs artisans et partenaires français.
Une livrée inédite
Les visiteurs du Salon Révélations découvriront N°8 PRÉSIDENTIELLE en première mondiale dans l’écrin réservé à DS Automobiles situé au centre du Grand Palais. Une teinte Bleu Saphir, spécifiquement développée pour les véhicules de l’Elysée, habille N°8 PRÉSIDENTIELLE, tandis que la calandre DS LUMINASCREEN identitaire de la face avant de N°8 s’illumine en Bleu Blanc Rouge. Des porte-fanions sont situés sur les ailes avant et des badges exclusifs tricolores signent le capot et le volet de coffre.
Un habitacle témoin du savoir-faire des Maisons d’artisanat d’art
mardi 6 mai 2025
Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc 2025: OffRoad Electric encore sur le podium dans la catégorie E-Gazelles avec un buggy E-Cross
Tous les 5 véhicules électriques équipés et préparés par la société du Français Fabien Lagier, spécialiste des véhicules électriques pour rallyes-raid depuis de nombreuses années, ont franchi la ligne d'arrivée.
602 M.Blaise et J.Delorme (Toyota bZ4X) |
mercredi 30 avril 2025
Les batteries des véhicules électriques pourraient durer 40 % plus longtemps qu’on ne le pensait auparavant, selon une nouvelle étude (The Driven)
Une nouvelle étude de l’Université de Stanford, aux États-Unis, montre que les craintes de dégradation des batteries des véhicules électriques et de leur durée de vie – une préoccupation courante chez les consommateurs dubitatifs – sont exagérées. Il s’avère que, dans des conditions de conduite réelles, les batteries des VE peuvent durer près de 40 % plus longtemps qu’on ne le pensait auparavant, ce qui représente 300 000 kilomètres supplémentaires.
L’étude, publiée dans Nature Energy en décembre, a obtenu ces résultats en chargeant et en déchargeant les batteries des véhicules électriques d’une manière qui imite les conditions du monde réel – accélérer, freiner, faire la queue dans la circulation et se garer pendant de longues périodes. Cela diffère des tests de laboratoire typiques, qui consistent à charger les cellules à un rythme constant, à les décharger complètement et à les charger à nouveau. En fait, plus les tests étaient réalistes pour simuler la conduite dans le monde réel, plus les batteries duraient longtemps, selon l’article.
Les chercheurs, du SLAC-Stanford Battery Center, ont testé 92 cellules sur une période de 24 mois sur quatre profils de décharge de VE différents, allant d’une décharge constante à une décharge dynamique basée sur des données de conduite réelles. Toutes les batteries ont été cyclées dans une chambre à température contrôlée à 35 °C. L’étude a donné d’autres résultats surprenants, notamment que des accélérations brusques et courtes étaient associées à une dégradation plus lente de la batterie, contrairement aux hypothèses. De plus, pour les VE personnels, la dégradation associée au temps a eu plus d’impact que la dégradation qui s’est produite lors de l’utilisation – charge et décharge. C’est contraire à ce qui a généralement été observé pour les véhicules électriques commerciaux comme les bus et les camionnettes de livraison, qui sont utilisés la plupart du temps et pour lesquels l’utilisation est un facteur critique de dégradation de la batterie.
mardi 15 avril 2025
lundi 14 avril 2025
jeudi 10 avril 2025
Sans AIMANT, ni TERRE RARE : Valeo améliore son moteur électrique (Exclusif L'argus).
Hyundai dévoile Insteroid, une « voiture de rêve » (AVEM - Association pour l'Avenir du Véhicule Electro-Mobile)
jeudi 3 avril 2025
Vers un cadre réglementaire solide pour le déploiement du V2G - ( Qovoltis )
Voici quelques exemples pour compléter les "trous de mémoire" d'un des intervenants :
👉Analyse du potentiel d'économies de la technologie V2G : Les auteurs du livre blanc voient également d'énormes économies financières pour les exploitants de réseaux électriques et les flottes de véhicules, et sur le plan environnemental en réduisant les émissions de CO2. (Angleterre)
👉Nouvelle étude d'ENEDIS sur le pilotage de la recharge des véhicules électriques : En outre, les principes de Vehicule-to-Home (V2H), Vehiculeto-Building (V2B), et Vehicule-to-Grid (V2G) consistent à réinjecter l’électricité contenue dans la batterie dans, respectivement, le réseau électrique du foyer, de l’immeuble ou sur le réseau public de distribution d’électricité.
👉Electromobilistes , circulez vous n'avez rien à y voir ! Le nouveau lexique de l'électromobilité édicté par décret :Pourquoi la technologie du V2H n'est toujours pas agréé en France alors qu'elle fonctionne dans d'autres pays et présente des intérêts évidents en faveur de l'autoconsommation électrique et la sobriété énergétique ?
👉Au sujet de la norme ISO 15118: La bidirectionnalité de la recharge qui permet de négocier et d’optimiser, via la borne, la réinjection d’électricité stockée dans le véhicule à la maison V2H (vehicle-to-home), au bâtiment V2B (vehicle-to-building) ou au réseau V2G (vehicle-to-grid) ;
👉Le V2G vu par Renault : Mobilize Power est un service, proposé par Renault SAS, basé sur la technologie bidirectionnelle qui permet aux véhicules électriques de restituer l’électricité stockée dans leurs batteries pour alimenter le domicile et le réseau, et de la revendre sur les marchés de l’énergie.
mardi 1 avril 2025
jeudi 20 mars 2025
BrèVE ☝️: Changer de batterie en 5 min ou bien la recharger
👉Article à lire sur notre page Facebook |
jeudi 13 mars 2025
mardi 11 mars 2025
FFAUVE, vous invite ce samedi, à échanger autour de l'avenir du VE...
mercredi 5 mars 2025
La part des VE en progression dans un marché de février en baisse.
mardi 4 mars 2025
La RENAULT 4 E-TECH ELECTRIC disponible à la commande avec 2 niveaux d'autonomie pour s'adapter à tous les usages.
La compacte électrique la plus polyvalente
Priorité aux détenteurs du R4 R Pass
Deux choix de motorisation et de batterie à partir de 25 990 euros
À l’heure de la maintenance connectée
Un modèle à personnaliser
Origine France Garantie
mercredi 19 février 2025
Le 100% VE accroît sa part de marché malgré le fléchissement des immatriculations VL.
Malgré le fléchissement des immatriculations VL, la diminution des aides à l'achat, les mesures protectionnistes, en atteignant 1.358.263 à fin janvier, celles du parc roulant de 100% VE poursuivent leur progression de part de marché.
vendredi 14 février 2025
Février 2025 : AVERE devient E-Mobility Europe !
E-Mobility Europe vise à être un acteur clé dans les discussions politiques concernant la transition vers les véhicules électriques en Europe.
L'association, fondée en 1978, a évolué pour inclure près de 80 membres de l'écosystème de la mobilité électrique, tels que les fabricants de véhicules, les fournisseurs d'infrastructures, les opérateurs de flotte et la chaîne d'approvisionnement.
En 2025, il est crucial pour tous les acteurs de collaborer pour augmenter les ventes de véhicules électriques en Europe et renforcer la chaîne de valeur locale, en assurant une certitude réglementaire pour 2035.
La transition réussie vers les véhicules électriques en Europe pourrait générer 300 milliards d'euros de valeur ajoutée et 580 000 nouveaux emplois, tandis qu'un échec pourrait entraîner une contraction de 35 % de la chaîne de valeur automobile de l'UE.
mercredi 5 février 2025
jeudi 16 janvier 2025
Pour accélérer la transition vers la mobilité électrique voici les conseils de l'intelligence artificielle après analyse de la "Note de France Stratégie"
Nous avons soumis la note de France Stratégie à l'Intelligence Artificielle pour analyse.
Télécharger la note de France Stratégie |
Voici ses conclusions :
En fonction des informations fournies, voici quelques suggestions :
-
Renforcer le leasing social: Étant donné le succès du leasing social auprès des ménages modestes, il serait pertinent de continuer à développer ce dispositif. Cela permettrait de faciliter l'accès aux véhicules électriques sans nécessiter un apport initial important.
-
Augmenter l'offre de véhicules électriques d'occasion : Pour répondre à la demande croissante des ménages modestes qui se tournent majoritairement vers le marché de l'occasion, il est crucial d'augmenter l'offre de véhicules électriques d'occasion. Cela pourrait être encouragé par des incitations pour les entreprises à renouveler leurs flottes avec des véhicules électriques.
mercredi 8 janvier 2025
BrèVE ☝️: Combien d’hectares agricoles couverts de panneaux solaires pour alimenter toutes nos voitures si toutes étaient électriques ?
Cf article de Yves HEUILLARD repris dans La CoopéractiVE |
👉 Selon l’analyse de T&E, il faut 40 fois plus de surface pour alimenter une voiture utilisant des biocarburants qu’une voiture électrique alimentée par l’énergie solaire. Pour produire la même quantité d’énergie, l’énergie solaire ne nécessiterait que 2,5 % des terres actuellement consacrées aux biocarburants, le reste étant disponible pour rester à l’état naturel