dimanche 31 mai 2015

L’Aquitaine va se doter de 700 bornes * de recharge pour les voitures électriques.

Pour assurer le développement du parc de voitures électriques et hybrides, les cinq syndicats départementaux d’énergie (SDE) d’Aquitaine vont lancer en juin un appel d’offres destiné à équiper la région de 700 bornes de recharge électrique. Les premières devraient être implantées avant la fin de cette année et les dernières d’ici à 2017.
« Ces bornes de rechargement seront gratuites pour les usagers pendant deux ans et installées sur le domaine public, dans des stations disposant de deux places de parking », a annoncé Philippe Ducène, président du SDE 24 et maire de Saint-Alvère.

Organisateur de la distribution d’énergie en Dordogne, le SDE 24 a des moyens d’action conséquents puisqu’il investit 37 millions d’euros par an. Si l’Aquitaine n’est pas la première région à se lancer dans ce type d’équipement, elle fait toutefois partie des précurseurs. Ce programme d’équipement s’inscrit dans le dispositif d’aides ouvert par l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie) depuis janvier 2013, dans le cadre des Investissements d’avenir. L’agence, bras armé de l’Etat pour la transition énergétique, finance en partie le programme et précise qu’une quinzaine de projets ont déjà été financés, permettant l’installation de plus de 5 000 points de charge.
En Aquitaine, plus de 10 millions d’euros vont être investis dans les travaux, sans compter l’acquisition des bornes, d’un coût d’environ 12 000 euros l’unité, soit un budget prévisionnel à plus de 8 millions d’euros. « On devrait déployer 120 bornes à minima par département. Ce programme s’inscrit dans un pacte de mutualisation régional », de de son côté souligné Daniel Lunardi, vice-président du SDEE 47.

Dans le détail, le programme annoncé prévoit l’installation en Dordogne de 59 bornes de recharge à cadences normales, 82 en cadences accélérées et 19 rapides (80 % de l’autonomie d’une voiture recouvrée en moins de 30 minutes). Il est à noter que 41 bornes de recharge seront opérationnelles en Dordogne dès la fin de cette année. En Gironde, le SDEEG vise d’ici à 2017 l’installation de 157 bornes de recharge semi-accélérée (4 heures de temps de recharge environ), accélérée et rapide. En Lot-et-Garonne, le SDEE 47 devrait déployer 115 bornes accélérées et 2 bornes rapides, avec en perspective 145 bornes supplémentaires après 2017. Le SDEPA prévoit de son côté le déploiement de 125 bornes de charge accélérée et 2 rapides réparties sur 106 communes des Pyrénées-Atlantiques. Dans les Landes, le programme du SYDEC (Syndicat d’équipement des communes des Landes) n’est pas encore connu.
(Paru dans LATRIBUNE.FR 12/5/15 )

* Non compris les bornes installées par les oéprateurs privés (NDLR)

samedi 30 mai 2015

Schneider Electric complète EVlink Wallbox, sa gamme de bornes de recharge pour le marché résidentiel individuel ou collectif.

Des nouveaux modèles qui offrent un temps de charge réduit, dix fois plus court que les modèles classiques 

Rueil-Malmaison (France), le 20 mai 2015 – Schneider Electric, spécialiste mondial de la gestion de l’énergie et des automatismes, annonce la disponibilité de nouvelles bornes de recharge murales pour véhicules électriques et véhicules hybrides dans sa gamme EVLink Wallbox. Particulièrement adaptées aux maisons individuelles ainsi qu'aux résidentiels collectifs (hôtels, copropriétés, parkings privés d'entreprise,…), ces nouvelles bornes de recharge ergonomiques, s’installent à l'extérieur. Conçues pour faciliter la vie de l'utilisateur, elles présentent plusieurs avantages : charge accélérée, utilisation facilitée et conception robuste. La gamme se compose de 4 modèles de bornes, monophasées et triphasées allant de 3,7 à 22 kW. 

Un temps de charge réduit, plus d'ergonomie et de sécurité pour l'utilisateur 

En fonction du véhicule électrique et de la puissance de la borne, les vitesses de charge obtenues avec la WallBox Evlink de Schneider Electric sont dix fois supérieures aux prises domestiques classiques, réduisant la durée de charge moyenne pour une batterie de voiture de 24 kWh, à moins d'une heure et demi (borne de 22 kWh). « Plug and play » et sans contrainte pour l'utilisateur, la borne se met en marche tout simplement une fois le véhicule électrique raccordé, un voyant lumineux indiquant le début de la charge. Du côté de la sécurité, l'utilisation de la borne Evlink est restreinte par une clé empêchant quiconque de stopper la charge durant son fonctionnement. La borne est branchée au réseau par un circuit dédié certifié par un réseau d'installateurs formé, assurant la fiabilité de l’installation électrique. Ce mode de charge lui permet également de fonctionner en période tarifaire « heures creuses » garantissant ainsi une parfaite maitrise de la consommation énergétique du foyer.  
Contrairement aux prises de courant, la borne a été conçue pour fournir des courants de charge élevés quotidiens et durant de longues périodes d'utilisation. Elle est dotée d'un dispositif permettant d'ajuster la puissance de la charge en fonction des contraintes du réseau électrique. 

Une conception robuste et esthétique 

Afin de répondre aux critères esthétiques du plus grand nombre, les designers Schneider Electric ont favorisé des lignes épurées, s'intégrant parfaitement aux aménagements privés. Pensée pour durer, la borne offre une grande résistance aux chocs (IK10) et aux forts ensoleillements ainsi qu'une protection contre les projections d'eau (IP54), garantissant la longévité nécessaire à une utilisation intensive quotidienne.

Caractéristiques

EVlink Wallbox :
  • 16 ou 32 A, mono ou tri soit 4 - 7 - 11 ou 22 kW
  • IP 54, IK 10
  • température de fonctionnement : de -30 à +50 °C
  • 480 x 331,5 x 170 mm
  • 4,8 kg
  • verrouillage à clé du clapet
  • protection électrique à commander séparément


mercredi 27 mai 2015

L'Alliance Renault-Nissan, partenaire officiel de la COP21 avec une flotte zéro émission à l’usage*


L'Alliance fournira 200 voitures 100% électriques à la conférence Paris Climat 2015
  • Il s’agit du premier service de navettes entièrement électriques pour la conférence sur le climat des Nations Unies
  • La flotte sera composée de Renault ZOE et Kangoo ZE et de Nissan LEAF et e-NV200
  • Un réseau de plus de 50 bornes de recharge alimenté en énergies renouvelables sera déployé dans Paris et en périphérie.
 PARIS (27 mai 2015) — L'Alliance Renault-Nissan, leader mondial de la mobilité zéro émission à l’usage*, mettra à disposition une flotte de 200 véhicules électriques en tant que partenaire officiel  de la conférence des Nations Unies COP21 du 30 Novembre au 11 Décembre.
 L'accord de partenariat a été signé aujourd'hui entre l'Alliance Renault-Nissan et  le  Secrétariat Général chargé de la préparation et de l’organisation de  la 21ème Conférence Annuelle des Parties (dite COP21). Cette flotte de véhicules entièrement électriques assurera le transport des délégués accrédités pour cet événement.
 Plus de 20 000 participants  provenant de 195 pays sont attendus lors de ce sommet annuel sur le climat. Les Nations Unies utiliseront  pour la première fois une flotte zéro émission pour assurer le service de navettes, en complément des transports en commun.
 L'objectif du sommet de Paris est double : obtenir un nouvel accord universel sur le changement climatique  pour accompagner la transition vers des économies bas carbone et que le Fond Vert, mis en place pour aider les pays en voie de développement à réduire leurs émissions de CO2 et à s’adapter aux changements climatiques, commence à répartir les fonds.
« Nous sommes heureux d’annoncer que l’Alliance Renault-Nissan fait partie des partenaires officiels de l’organisation de la COP21 à Paris. La flotte de véhicules 100% électriques de l’Alliance Renault-Nissan contribuera à faire de la conférence de Paris sur le climat - COP21 un événement neutre en carbone. La technologie des véhicules électriques permet de réduire efficacement les émissions de gaz à effet de serre dans le secteur des transports » déclare Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères et du Développement international, Président de COP21.
«   La technologie des véhicules 100% électriques est une solution efficace pour un mode de transport pratique et abordable. Cette solution a un impact positif sur le climat et améliore la qualité de l’air de nos villes. Il s’agit maintenant de passer à grande échelle grâce à un travail en commun avec les parties concernées » déclareCarlos Ghosn, Président-Directeur Général de l'Alliance Renault-Nissan.

La flotte de véhicules de la COP21 sera composée de la citadine Renault ZOE, de Renault Kangoo Z.E, de la berline Renault Fluence Z.E, de la berline compacte Nissan LEAF et du Nissan e-NV200 en version 7 places. Les véhicules seront à disposition des délégués pour les transporter 24h/24, 7j/7 sur les différents sites de la conférence en complément des transports publics.

 L'Alliance Renault-Nissan travaillera auprès d'entreprises en France et prévoit un réseau de plus de 50 bornes de recharge rapide et standard sur des lieux stratégiques et alimentées à 100% en énergies renouvelables. Les bornes de recharge rapide sont en mesure de recharger les véhicules électriques de 0 à 80% de leur capacité en moins de 30 minutes.
L’Alliance Renault-Nissan : Leader mondial des ventes de véhicules 100% électriques 
L'Alliance Renault-Nissan est le leader mondial du véhicule zéro émission à l’usage* et le seul constructeur automobile disposant d'une gamme complète. L'Alliance a vendu près de 250 000 véhicules électriques dans le monde depuis décembre 2010, date de commercialisation de son premier véhicule électrique la Nissan LEAF. L'Alliance vend environ un véhicule électrique sur deux dans le monde, incluant Twizy, le quadricycle urbain de Renault et le van Nissan e-NV200, commercialisé en Europe et au Japon depuis 2014.
L'Alliance Renault-Nissan participera aussi à Solutions COP21, une exposition internationale qui se tiendra au Grand Palais à Paris et présentant des solutions pour lutter contre le changement climatique. Cette exposition, qui aura lieu du 4 au 10 décembre, mettra en lumière des solutions de réduction des émissions de CO2 proposées par des villes, des entreprises et d'autres organisations des quatre coins du monde. l'Alliance exposera des véhicules électriques et en mettra plus d’une dizaine à disposition du public pour réaliser des essais.
À PROPOS DE L'ALLIANCE RENAULT-NISSAN
L'Alliance Renault-Nissan est un partenariat stratégique entre Renault, basé à Paris, et Nissan, constructeur japonais basé à Yokohama, qui co-commercialisent 10 voitures dans le monde. Les entreprises, partenaires stratégiques depuis 1999, ont vendu près de 8,5 millions de véhicules dans près de 200 pays en 2014. L'Alliance a aussi noué d'autres collaborations stratégiques avec des constructeurs comme l'allemand Daimler, le japonais Mitsubishi, le chinois Dongfeng et l'indien Ashok Leyland. L'Alliance est par ailleurs actionnaire majoritaire de la co-entreprise qui contrôle le russe AVTOVAZ, fabriquant de la marque Lada.

mardi 26 mai 2015

Rallye des Particuliers AVEM : un rendez-vous des passionnés du véhicule électrique à dupliquer dans nos régions.

Organisé par l’AVEM, la troisième édition du « Rallye des Particuliers » s’est déroulée pour Pentecôte enh Provence dans l’arrière-pays niçois. Cette manifestation sans prétention visait à réunir des propriétaires de véhicules électriques qui aiment se rassembler pour partager leur passion, mais aussi à démontrer que l’on peut utiliser sans souci sa voiture électrique, pas uniquement pour des trajets en ville mais également pour découvrir les charmes de l’arrière-pays, même si l’on doit pour cela franchir des cols. 
Cliquer sur l'image pour découvrir le reportage.

Ci dessous la vidéo d'un passage des "concurrents" du rallye réalisée par Zoé Fred

Ci dessous la vidéo d'un passage des "concurrents" du rallye réalisée par Zoé Fred



Rallye de L'AVEM 2015
Posted by Zoe Fred on lundi 25 mai 2015

lundi 25 mai 2015

Voiture électrique : quels défis ? ( ARTE Future )



Tout le monde en parle, mais personne ne s’en sert : les voitures électriques ne sont-elles qu’une mode passagère, ou bien vont-elles vraiment révolutionner la circulation routière ? L’Allemagne, n° 1 de l’automobile, est considérée comme la lanterne rouge de l’électromobilité en Europe. A l’Université technique de Munich, des chercheurs se promettent de changer cette image, en développant la voiture à deux places « Visio.M », que Carolin Matzko et Gunnar Mergner ont pu conduire. Ce véhicule n’est pas seulement un modèle à vocation scientifique : il se pourrait même qu’il soit bientôt produit en série ! En attendant, la française ZOE est l’une des voitures électriques les plus populaires, y compris en Allemagne. Carolin et Gunnar ont rencontré un convaincu de la voiture électrique mais qui nous montre aussi quelles sont les limites de ce moyen de locomotion.

Voir également le Dossier réalisé par ARTE

ERDF lance un concours à l'innovation dont un consacré à l'intégration du véhicule électrique.


Faire appel à l'innovation des start-up et des petites entreprises pour développer la filière des réseaux électriques intelligents, c'est le pari que fait ERDF en organisant un grand concours avec l'Interpole Smart Grids France. Ouvert jusqu'au 1er juillet, il identifie huit thèmes majeurs pour le futur des réseaux, dont un consacré à l'intégration du véhicule électrique.


Thème 7 : Solutions d’intégration du VE sur le réseau de distribution électrique et au sein de la flotte d’ERDF 
1 Introduction:  
ERDF Direction Interrégionale Méditerranée ( Provence-Alpes - Côte d'Azur et Languedoc-Roussillon  ) est à la recherche de solutions innovantes pour promouvoir le déploiement des infrastructures de recharge des véhicules électriques (IRVE) et améliorer leur observabilité et leur exploitation au service de l’exploitation et de la conduite de ses réseaux. 

Extrait de l'appel à projets : Des transports plus « propres » 
Avec le Grenelle de l’environnement puis la loi sur la Transition Energétique, le Gouvernement français a fait du développement des véhicules « décarbonés » (véhicules rechargeables, 100% électriques - VE - ou hybrides rechargeables - VHR -) une priorité importante de sa politique environnementale et énergétique. 

Le secteur du Transport est le premier émetteur de gaz à effet de serre (27 %)
Pour y remédier, les flottes de l'Etat et des établissements publics devront intégrer, lors de leur renouvellement, au moins 50 % de véhicules électriques ou hybrides rechargeables, ou à faible niveau d'émission de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques. Les loueurs d'automobiles, ainsi que les sociétés de taxis et de voitures avec chauffeurs devront eux aussi acquérir au moins 10 % de véhicules « propres » avant 2020. Pour les particuliers, une prime au remplacement d'un véhicule diesel par un véhicule bénéficiant du bonus écologique est introduite. 
Parallèlement, et afin d’accompagner le développement du véhicule électrique, 7 millions de bornes de recharge pour véhicules électriques ou hybrides seront déployées d'ici à 2030, sur voierie publique ou sur « des places de stationnement accessibles au public ». En ces lieux publics, la recharge des véhicules électriques peut être difficilement prévisible par les gestionnaires de réseau et son usage par intermittence pourrait générer des contraintes sur le réseau. 
En ce sens, le gestionnaire de réseau de distribution, va être confronté à deux enjeux principaux : 
  • - L’accueil directement ou indirectement de l’ensemble de la recharge des véhicules électriques sur son réseau. Pour cela, ERDF aura alors besoin de solutions intelligentes répondant au développement massif des IRVE, et améliorant leur observabilité, leur gestion et leur exploitation. 
  • - Un déploiement important de véhicules électriques au sein de sa flotte d’entreprise (un premier objectif de 2000 d’ici fin 2016). Pour cela, ERDF est à la recherche d’outils performants de gestion de la recharge sur un même site et d’outils assistant l’agent ERDF conducteur d’un véhicule électrique dans ses déplacements professionnels. 


Dans ce cadre la Direction Interrégionale ERDF Méditerranée lance un appel à projets sur le thème : Solutions d’intégration du VE sur le réseau de distribution électrique et au sein de la flotte d’ERDF 

4 Besoin Pour rappel, l’écosystème du véhicule électrique peut se résumer au schéma ci-dessous en termes de relations entre les acteurs. 


(Les projets proposés devront contribuer à améliorer un des domaines fondamentaux présentés ci-dessous, liés au développement du véhicule électrique, aux infrastructures de recharge associées, aux relations entre acteurs et à la gestion de flotte de VE. 
Voici ci-dessous les différents thèmes proposés 

4.1 Déploiement des Infrastructures de Recharge des VE (IRVE) 

- Les projets seront force de proposition pour améliorer l’efficience et la bonne utilisation des IRVE publiques : 
  • Recherche d'initiatives permettant la promotion de la Mobilité Electrique 
  • Outils et méthodes d'orchestration des initiatives privées, à des mailles nationales ou régionales 
  • Proposition de démarche permettant au gestionnaire de réseau de distribution de se positionner le plus tôt possible dans la chaîne de valeur Identification des territoires « en retard» en matière de projet de déploiement d'IRVE 
- Les projets proposeront des solutions techniques permettant l’échange d’informations entre le gestionnaire de réseau et le système de gestion des bornes de recharge à des fins de pilotage intelligent de la charge par l’opérateur des bornes. 
Ces échanges seront possibles dans les deux sens :
  • par exemple dans un sens gestionnaire de réseau –> opérateur de recharge, pour adresser les alertes sur contraintes réseau (soit directement avec le système de gestion de l’énergie du site, soit directement auprès de l’opérateur de recharge, soit à travers le mécanisme d’ajustement et des offres d’agrégateur), 
  • dans le sens Opérateur de recharge –> gestionnaire de réseau de distribution pour faire remonter les prévisions de recharge suite à réservation et ainsi prévenir des éventuelles contraintes réseau. 
Les propositions se limiteront uniquement aux aspects techniques, pour avancer sur les faisabilités techniques de ces communications, sans aborder les business cases associés qui pourraient plus s’adresser à des opérateurs d’effacement qu’à un gestionnaire de réseau public. 

- Les projets étudieront la pertinence de la flexibilité sur le champ de la mobilité électrique (valeur usage de l’effacement pour utilisateur, maillage élémentaire retenu) et proposeront des solutions permettant la mise en œuvre de cette flexibilité (via un opérateur de flexibilité) utile au gestionnaire de réseau et intégrant les paramètres de l’utilisateur du VE (effacement de la recharge, injection de l’énergie sur le réseau en fonction des faisabilités techniques, des coûts d’investissement ou d’aménagement, du vieillissement des batteries et de l’économie des marchés (offres sur le mécanisme d’ajustement…). 

4.2 Services aux conducteurs de VE 

- Les projets proposeront des systèmes de communication aux opérateurs de mobilité de l’état de contrainte sur le réseau de distribution pour les accompagner dans leur recharge (choix de bornes, choix du moment,…). 
Ce processus d’accompagnement peut être corrélé avec des systèmes faisant le lien avec la source d’énergie du point de charge (énergie renouvelable ou pas) afin d’amener l’utilisateur à effectuer ses recharges dans une logique éco-responsable. 

4.3 Services aux gestionnaires de flotte 

- Les projets proposeront des systèmes de pilotage intelligent de la recharge d’une flotte de VE d’un même site, afin de maîtriser le point de raccordement du site au réseau de distribution (niveau de puissance, dimensionnement des installations et redevance de souscription). Ces systèmes pourront se coupler éventuellement avec des systèmes de prévision du besoin en roulage du lendemain de chaque véhicule pour anticiper le besoin en recharge et donc sa gestion dans le temps. 
- Les projets proposeront des systèmes de localisation de l’ensemble des points de charge d’une entreprise (par exemple du type ERDF, avec une centaine de sites sur les régions administratives PACA et LARO) accessibles aux conducteurs de VE de l’entreprise et connectés avec les bases de données publiques afin que les conducteurs puissent connaître en temps réel leur possibilité d’accès à des points de charge publics ou de leur société. 

5 Contraintes 
ERDF est un service public industriel qui n’a pas vocation à promouvoir un produit, une marque, un fournisseur par rapport à un autre. Les solutions proposées devront donc respecter les codes de non discrimination.



dimanche 24 mai 2015

L'album photo du e Tour d'Europe.


Cinq premiers véhicules électriques équipés d’un prolongateur d’autonomie fonctionnant à l’hydrogène ont rejoint la flotte de voitures du Département de La Manche.


Cinq premiers véhicules électriques équipés d’un prolongateur d’autonomie fonctionnant à l’hydrogène ont rejoint la flotte de voitures du Département de La Manche. Une station service "hydrogène" de 350 bars permet de remplir les réservoirs en moins de 5 minutes et est prévue à terme pour alimenter des véhicules 100 % hydrogène et/ou électriques avec prolongateur d’autonomie à hydrogène. 
La station utilise la technologie de compression hydraulique, alliant fiabilité, performance et empreinte au sol réduite.
Cette expérimentation constitue pour ce département une première étape pour démontrer la fiabilité de cette technologie, faire progresser l’acceptabilité sociétale des nouvelles technologies auprès du consommateur et faire progresser la demande de mobilité "Zéro émission".

Les véhicules électriques deviennent des véhicules à très faible émission selon la loi sur la transition énergétique qui sera votée mardi 26 mai à partir de 16 h.

Efficacité énergétique et énergies renouvelables
dans les transports (extraits)

Article 9

Article 9 B 
I. – Le développement et le déploiement des transports en commun à faibles émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques constituent une priorité tant au regard des exigences de la transition énergétique que de la nécessité d’améliorer le maillage et l’accessibilité des territoires. 

En zone périurbaine et insulaire notamment, la politique nationale des transports encourage le développement d’offres de transport sobres et peu polluantes, encourage le report modal, lutte contre l’étalement urbain et favorise le développement du télétravail. 

Le développement de véhicules sur leur cycle de vie à très faibles émissions est un enjeu prioritaire de la politique industrielle nationale et est encouragé notamment par des facilités de circulation et de stationnement, par l’évolution du bonus-malus et en faisant de l’objectif national de 2 litres aux 100 kilomètres la norme de référence. 

Pour le transport des personnes, l’État encourage le report modal du transport routier par véhicule individuel vers le transport ferroviaire, les transports collectifs routiers et les transports non motorisés. Pour le transport des marchandises, l’État accorde, en matière d’infrastructures, une priorité aux investissements de développement du ferroviaire, des voies d’eau et des infrastructures portuaires. Il soutient le développement des trafics de fret fluvial et ferroviaire, encourageant ainsi le report modal nécessaire pour réduire le trafic routier. 
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Explications de Mme Ségolène Royalministre. et réponses aux demandes de précisions de M Denis Baupin 

Mme Ségolène Royal: " Cet amendement, très important, vise à remplacer le concept de « véhicules sobres ou propres » par celui de « véhicules à faibles ou à très faibles émissions. »
Vidéos Assemblée Nationale cliquer et aller à l'Article 9. 
Dans le cadre du dispositif tendant à réaliser la transition énergétique dans le domaine des transports et afin d’encourager le développement de ceux dont les émissions sont faibles, un certain nombre d’avantages seront attribués aux véhicules à faibles ou très faibles émissions, qu’il importe donc de bien définir.
Lors de la concertation avec les constructeurs, ces derniers ont très mal pris que, si certains véhicules sont qualifiés de « propres », d’autres le seront de « sales ».
Il me semble donc que l’on peut accéder à leur demande car une définition plus précise permet finalement de se montrer beaucoup plus constructifs et efficaces puisque la question de la pollution, c’est aussi celle des émissions.
De surcroît, cela permet d’englober l’ensemble des émissions et des pollutions atmosphériques liées aux transports – je pense en particulier aux émanations qui se produisent lors des freinages.
Cet amendement vise donc à uniformiser la rédaction de la loi en remplaçant les dénominations de véhicules sobres, écologiques ou propres – autant de concepts différents qui auraient pu soulever des problèmes lors de l’application d’un certain nombre de mesures positives liées à leur efficacité – par celles de véhicules à faibles et très faibles émissions."
.../...
M. Denis Baupinrapporteur du groupe Ecolo. ..." Nous souhaiterions simplement comprendre ce que recouvrent exactement les notions de « faibles et très faibles émissions . J’ai donc deux questions à vous poser.
D’une part, recouvrent-elles bien dans les deux cas, de faibles et très faibles émissions, les émissions de polluants atmosphériques, soit, ceux qui sont à l’origine des pics de pollution, dangereux pour la santé, ainsi que les émissions de gaz à effet de serre ?
D’autre part, que devient la notion de cycle de vie des véhicules, supprimée par cet amendement ? Celle de « très faibles émissions » l’inclut-elle, « du puits à la roue », en intégrant y compris la façon dont le véhicule a été conçu, ses matériaux, la manière dont il sera utilisé, etc. ?
Si nous pouvons être à peu près au clair s’agissant de la notion d’émissions – j’imagine que vous avez dû prendre en compte les deux types – j’ai l’impression que l’on risque de perdre de vue la notion de cycle de vie, qui constitue pourtant un élément important pour les véhicules thermiques, électriques, au gaz ou autres. Il s’agit d’une question assez cruciale. " 

Mme Ségolène Royal : "Je vais vous présenter l’état de notre réflexion, qui fera encore l’objet d’une concertation, puisque le décret est en cours de rédaction. L’idée, c’est que l’expression « véhicules à très faibles émissions » désigne les véhicules électriques. Les véhicules à faibles émissions, quant à eux, émettent 95 grammes de dioxyde de carbone par kilomètre – c’est l’anticipation des objectifs européens –, 60 milligrammes d’oxyde d’azote par kilomètre et 1 milligramme de particules par kilomètre. Tel est l’état actuel du texte réglementaire, qui entrera très rapidement en application, puisque nous avons déjà calibré les choses avec les opérateurs et les constructeurs.
Une pastille sur le pare-brise permettra d’identifier ces véhicules et, lors des pics de pollution, par exemple, on pourra cibler les véhicules à faibles émissions ou à très faibles émissions." ..../...
_________________________________________________________________________

CHAPITRE I ER 
Efficacité énergétique et énergies renouvelables dans les transports 
Article 9 
(Concernant le renouvellement du par de véhicules NDLR)
I et I bis. – (Non modifiés) 
II. – La section 2 du chapitre IV du titre II du livre II du code de l’environnement est complétée par des articles L. 224-6 à L. 224-8 ainsi rédigés : 
« Art. L. 224-6. – L’État, ses établissements publics, les collectivités territoriales et leurs groupements ainsi que les entreprises nationales pour leurs activités n’appartenant pas au secteur concurrentiel, lorsqu’ils gèrent directement ou indirectement, pour des activités n’appartenant pas au secteur concurrentiel, un parc de plus de vingt véhicules automobiles dont le poids total autorisé en charge est inférieur à 3,5 tonnes, acquièrent ou utilisent lors du renouvellement du parc : 
« 1° Pour l’État et ses établissements publics, dans la proportion minimale de 50 %, des véhicules à faibles émissions définis comme les véhicules électriques, ainsi que les véhicules utilisant des carburants alternatifs au sens de la directive 2014/94/UE du Parlement européen et du Conseil, du 22 octobre 2014, sur le déploiement d’une infrastructure pour carburants alternatifs ou de toutes motorisations et de toutes sources d’énergie produisant de faibles niveaux d’émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques, en référence à des critères définis par décret ; 
« 2° Pour les collectivités territoriales et leurs groupements ainsi que pour les entreprises nationales, dans la proportion minimale de 20 %, des véhicules propres définis au 1°. 
« Sans être inclus dans le champ des obligations définies aux 1° et 2°, les véhicules utilisés pour les missions opérationnelles, notamment ceux de la défense nationale, de la police, de la gendarmerie et de la sécurité civile ainsi que ceux nécessaires à l’exploitation des réseaux d’infrastructures et à la sécurité des transports terrestres et maritimes, peuvent contribuer à atteindre les objectifs définis aux mêmes 1° et 2° avec des solutions existantes adaptées aux spécificités de ces missions. 

« Art. L. 224-7. – Sous réserve du troisième alinéa, l’État et ses établissements publics, lorsqu’ils gèrent directement ou indirectement, pour des activités n’appartenant pas au secteur concurrentiel, un parc de plus de vingt véhicules automobiles dont le poids total autorisé en charge excède 3,5 tonnes, acquièrent ou utilisent lors du renouvellement du parc, dans la proportion minimale de 50 %, des véhicules à faibles émissions définis comme les véhicules électriques ainsi que les véhicules de toutes motorisations et de toutes sources d’énergie produisant de faibles niveaux d’émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques, fixés en référence à des critères définis par décret. 

« Sans être inclus dans le champ de l’obligation prévue au premier alinéa, les véhicules utilisés pour les missions opérationnelles, notamment ceux de la défense nationale, de la police, de la gendarmerie et de la sécurité civile ainsi que ceux nécessaires à l’exploitation des réseaux d’infrastructures et à la sécurité des transports terrestres et maritimes, peuvent contribuer à atteindre les objectifs définis aux 1° et 2° de l’article L. 224-6 avec des solutions existantes adaptées aux spécificités de ces missions. 

« L’État, ses établissements publics, les collectivités territoriales et leurs groupements, le Syndicat des transports d’Île-de-France et la métropole de Lyon, lorsqu’ils gèrent directement ou indirectement un parc de plus de vingt autobus et autocars pour assurer des services de transport public de personnes réguliers ou à la demande, acquièrent ou utilisent lors du renouvellement du parc, dans la proportion minimale de 50 % à partir du 1er janvier 2020 puis en totalité à partir du 1er janvier 2025, des autobus et autocars à faibles émissions définis en référence à des critères fixés par décret selon les usages desdits véhicules, les territoires dans lesquels ils circulent et les capacités locales d’approvisionnement en sources d’énergie. La proportion minimale de 50 % s’applique toutefois à la Régie autonome des transports parisiens dès le 1er janvier 2018. 

« Sans préjudice du troisième alinéa, les collectivités territoriales et leurs groupements qui gèrent directement ou indirectement un parc de plus de vingt véhicules automobiles dont le poids total autorisé en charge excède 3,5 tonnes, réalisent une étude technico-économique sur l’opportunité d’acquérir ou d’utiliser, lors du renouvellement du parc, des véhicules définis au premier alinéa. 

« Art. L. 224-8. – Un décret en Conseil d’État précise les conditions d’application des articles L. 224-6 et L. 224-7. » II bis A. – (Non modifié) 
II bis B. – L’obligation mentionnée au premier alinéa de l’article L. 224-7 du code de l’environnement, dans sa rédaction résultant du II du présent article, s’applique à compter du 1er janvier 2017. 
II bis C. – Avant 2020, les loueurs de véhicules automobiles acquièrent, lors du renouvellement de leur parc, dans la proportion minimale de 10 %, des véhicules propres définis au 1° de l’article L. 224-6 du même code, dans des conditions définies par décret en Conseil d’État. 

I bis D. – Avant 2020, les exploitants de taxis définis au chapitre Ier du titre II du livre Ier de la troisième partie du code des transports et les exploitants de voitures de transport avec chauffeur définis au chapitre II du même titre II acquièrent, lors du renouvellement de leur parc et lorsque ce parc comprend plus de dix véhicules, dans la proportion minimale de 10 %, des véhicules propres définis au 1° de l’article L. 224-6 du code de l’environnement, dans des conditions définies par décret en Conseil d’État. 

(Concernant les facilités de  circulation et de stationnement. NDLR)

II bis. – Le code de la route est ainsi modifié : 
1° L’article L. 318-1 est ainsi modifié : 
a) Le troisième alinéa est ainsi modifié : la première phrase est complétée par les mots : « et sur leur sobriété énergétique » ; – la seconde phrase est ainsi rédigée : 
« Dans des conditions fixées par l’autorité chargée de la police de la circulation et du stationnement, les véhicules à très faibles émissions, en référence à des critères déterminés par décret, peuvent notamment bénéficier de conditions de circulation et de stationnement privilégiées. » ; 
b) Après le troisième alinéa, il est inséré un alinéa ainsi rédigé : 
« Cette identification est renouvelée lors du contrôle technique mentionné à l’article L. 323-1 du présent code. » ; 
.../...
« La différenciation dans les abonnements proposée par les concessionnaires d’autoroutes afin de favoriser les véhicules à très faibles émissions dont le poids total autorisé en charge est inférieur à 3,5 tonnes ainsi que les véhicules utilisés en covoiturage est mise en œuvre sous la responsabilité des concessionnaires sans modification du rythme d’évolution des tarifs de péage et sans augmentation de la durée des concessions autoroutières. » 

jeudi 21 mai 2015

Quand la mobilité électrique devient contagieuse !

Dans le transport de marchandise :


Nous vous avons, dans ces colonnes, fait partager la Saga du COLIBUS , " l'utilitaire électrique qui décarbone la livraison de colis" capable de se faufiler silencieusement dans le trafic de la ville pour y assurer la livraison du dernier kilomètre
Pendant que cet innovant et ingénieux petit véhicule poursuit son développement, de l'autre côté de l'Atlantique, des véhicules beaucoup plus imposants de la société TRANS POWER spécialisée dans les batteries de grande capacité propose des camions électriques allant jusqu'à 40 tonnes. ( Pour info voir le rapport en ligne ) .


Une flotte de 11 ElecTruck ™ camions de démonstration est en cours d'expérimentation et sont soumis à des tests routiers étendus dans des conditions réelles d'exploitation.
Les 11 camions comprennent sept camions électriques à batterie pures, un camion électrique à batterie configuré pour utiliser aussi la puissance des lignes électriques caténaires, un camion électrique à batterie utilisant un moteur à gaz naturel entrainant un générateur défini comme un prolongateur d'autonomie, et deux camions électriques à batterie alimentés par des piles à combustible d'hydrogène comme prolongateurs d'autonomie. Ces camions électriques à batterie purs peuvent fonctionner jusqu'à environ 160 km sur une seule charge de batterie, tandis que les camions avec des prolongateurs d'autonomie sont attendus pour fonctionner pendant 300 km ou plus avant de devoir recharger ou de ravitailler.
Frank Falcone, directeur de Transpower et de l'ingénierie du groupe motopropulseur, a confirmé la fiabilité importante, les avantages environnementaux et les avantages économiques offerts par les camions lourds et tracteurs utilisant véhicule électrique de Transpower (EV) technologies."
"Pour un camion avec une demi-vie d'exploitation ( un million de mile ), les économies de coûts d'énergie prédites par les tests CE-CERT reviendrait à $ 630,000 au cours de la vie du camion», a déclaré Falcone"Nous estimons que des économies de maintenance, les économies totales de cycle de vie pourraient dépasser les $ 700,000 et pourraient atteindre le 1 million $ ou plus avec des prix du carburant plus élevés ."

Dans le transport aérien :

Alors que l'avion solaire Solar Impulse s'apprête a quitter la Chine pour Hawaï qu'il atteindra au terme d'un historique vol ininterrompu durant 5 jours et 5 nuits au dessus du Pacifique, la société AIRBUS annonce le lancement de la construction à Pau (64) de l'usine Volt Air en charge de la production des avions-écoles e Fan à propulsion électrique.

Rappelons que la conception, le développement et la certification de l'E-Fan 2.0 ont été confiés à Daher-Socata sous maîtrise d'oeuvre de Voltair, filiale d'Airbus Group en charge du programme.


Le constructeur teste également la motorisation électrique du train d'atterrissage des A 320 EGTS (Electric green taxiing system) de Safran et Honeywell ; le roulage au sol en mode électrique permettra d'économiser 4 % de la consommation de kérosène soit une centaine de millier d' euros par avion chaque année d'exploitation .


Espace : l'ère de la propulsion électrique

Les voitures ne sont pas les seules à miser sur la fée électricité au cours du XXIe siècle. Les satellites de télécommunication et d'exploration spatiale connaissent, eux aussi, une véritable révolution dossier à découvrir dans Futura Sciences



samedi 16 mai 2015

Une idée de Hollande: La chaussée solaire produit plus d'énergie que prévu .

Or il s'avère après 18 mois d'expérimentation que le rendement énergétique de SolaRoad va au-delà des attentes. "Nous ne nous attendions pas un rendement aussi élevé aussi rapidement." Dit Sten de Wit, porte-parole du SolaRoad. " 
La SolaRoad  ouverte il ya un an et demi et a déjà généré plus de 3000 kWh. Cela correspond à la consommation électrique d'une personne pendant un an, ou à la puissance consommée par un scooter électrique pour faire de 2,5 fois le tour du monde. Si nous traduisons cela à un rendement annuel, nous nous espérons plus de 70 kWh par mètre carré et par an, ce qui nous avions prédit comme une limite supérieure dans la phase d'études en laboratoire. Nous pouvons donc conclure que ce fut un succès de la première moitié de l'année ".


Déploiement d'infrastructures de recharge pour les véhicules électriques: Coup de "booster" pour les villes labellisées "Ecocité".

Afin d’accélérer le rythme de déploiement des infrastructures de recharge, le dispositif évolue dans une nouvelle édition entré en vigueur au 17 juillet 2014. 
Le présent document précise notamment les critères d'éligibilité et les conditions de soutien des projets portés par les collectivités.
Le dispositif s’inscrit en parallèle de l’action « Ville de demain », gérée par la Caisse des Dépôts et Consignations en application des mêmes règles et concernant les villes qui ont été labellisées « EcoCités »

  • Bordeaux : EcoCité « Plaine de Garonne »
  • Clermont-Ferrand : EcoCité Clermont Métropole
  • Choisy-le-Roi et Vitry-sur-Seine : EcoCité des Grandes Ardoines
  • Grenoble : EcoCité grenobloise
  • Lille : EcoCité Lille Métropole
  • Lyon : EcoCité du Grand Lyon
  • Marseille : EcoCité Euroméditerranée
  • Metz : EcoCité Metz Métropole
  • Montpellier : EcoCité « De Montpellier à la mer »
  • Nantes / Saint-Nazaire : EcoCité éco.métropole
  • Nice : EcoCité Nice Côte d’Azur - Plaine du Var
  • Champs-sur-Marne et Noisy-le-Grand : EcoCité Noisy - Champs – Cité Descartes
  • Pays Haut Val d’Alzette : EcoCité Alzette-Belval
  • Plaine Commune : EcoCité « Terre de partage et d’innovation urbaine »
  • Rennes : EcoCité « ViaSilva 2040 »
  • Rouen : EcoCité CREA 2030
  • Strasbourg / Kehl : EcoCité « Métropole des Deux-Rives »
  • Territoire de la Côte Ouest – La Réunion : EcoCité « insulaire et tropicale »
  • Toulouse : EcoCité Toulouse – Plaine Campus
La date limite de dépôt des dossiers au dispositif « Déploiement des infrastructures de recharge pour les véhicules électriques et hybrides » est le 31 décembre 2015.
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NDLR: Nous invitons nos lecteurs "électromobilistes" résidents de ces zones favorisées - par rapport à nos territoires ruraux - à interpeller leurs élus locaux pour solliciter ces subventions susceptibles de financer l'installation des bornes de recharge rapide dont nous avons tant besoin. 

vendredi 15 mai 2015

Des Formules E en démonstration samedi 16 et dimanche 17 Mai à l'occasion du 74° Grand Prix de Pau


Formule E  - Grand Prix de Pau:  Le Belge Jérôme d’Ambrosio, le Français Esteban Ocon et, le Palois Mike Parisy prendront le départ aux horaires suivants :
Samedi 16 mai:
15h00: Mike Parisy et Jérôme D'Ambrosio
20h00: Jérôme D'Ambrosio et Esteban Ocon
Dimanche 17 mai:
12h00: Esteban Ocon et Jérôme D'Ambrosio
14h05: Esteban Ocon et Mike Parisy
Mike Parisy, 30 ans participe cette année, au Championnat de France GT FFSA d'habitude au volant d’une Audi R8 aura la chance de piloter une Formule 1 Electrique sur "son" circuit palois où l'attendent ses fans. 

Jérôme d'Ambrosio, 29 ans, totalise 20 Grands Prix de Formule 1 en 2011 et 2012. Il est passé de Virgin Racing chez Lotus F1 Team en 2012 et 2013. 

Esteban Ocon, 18 ans, Champion d’Europe de F3 2014, a brillé à Pau l’an dernier, il évolue cette année en GP3 chez Mercedes Benz qui vient de le choisir comme pilote d'essais pour Force India.



lundi 11 mai 2015

Les ZE Zombies font réssusciter les modèles de légende en version électrique.

Cliquer sur l'image pour voir la vidéo

Une nouvelle tendance venue des USA, redonner vie à des modèles de légende en les dotant d'une motorisation électrique (photo ci-contre).

Le blog de Mobilité Durable nous propose un panorama de ces diverses initiatives dont la fameuse Ford MUSTANG remotorisée par le mécanicien texan Mitch METFORD.


D'après le Monde, Wolkswagen nous préparerait une version électrique du célèbre COMBIBUS qui avait déja donné lieu à "électrification" il y a une dizaine d'années.