- Le
Groupe Renault intègre le cercle fermé de la « A LIST » des entreprises
considérées par CDP comme les leaders mondiaux en matière de lutte contre
le changement climatique.
- Le
Groupe Renault a réduit l’empreinte carbone de l’ensemble de ses activités
de plus de 17% entre 2010 et 2016.
- Le
véhicule électrique Renault représente une réponse immédiatement
disponible et efficace aux enjeux climatiques actuels.
Le Groupe Renault intègre le cercle fermé de la « A LIST »
des entreprises considérées par CDP comme les leaders mondiaux en matière de
lutte contre le changement climatique. CDP établit cette liste chaque année
pour le compte de 827 investisseurs représentant environ 100 milliards de
dollars d’actifs, après avoir analysé la stratégie bas-carbone et l’action de
plus de 2 000 entreprises dans le monde dans tous les secteurs d’activité.
« Nous sommes honorés de recevoir
cette note maximale de A, véritable reconnaissance de notre engagement en
faveur de la lutte contre le réchauffement climatique. Renault est le premier
constructeur au monde à s’être engagé publiquement sur la réduction de son
empreinte carbone et un des premiers à avoir investi massivement dans le
développement et la commercialisation à grande échelle de véhicules électriques
accessibles au plus grand nombre en réponse à ce défi. Aujourd’hui, en
continuant d’innover sur le véhicule électrique via notamment l’amélioration de
son autonomie, nous poursuivons notre objectif de réduire durablement et
significativement notre empreinte carbone », a déclaré Jean-Philippe Hermine, Directeur de la
Stratégie et du Plan Environnement du Groupe Renault.
Pionnier et volontariste, le Groupe
Renault a réduit l’empreinte carbone de l’ensemble de ses activités de plus de
17% entre 2010 et 2016.
Pour Renault, la réduction de son empreinte carbone est un
objectif de tête, intégré à son plan stratégique. À ce titre elle représente un
indicateur de performance du Groupe, mais aussi un outil de management de tous
les métiers de l’entreprise en faveur d’un meilleur respect de l’environnement
et de la réduction des consommations énergétiques.
En 2011, Renault était le premier constructeur automobile au
monde à se fixer un objectif chiffré et public de réduction de son empreinte
carbone. La première étape de cet objectif consistait à atteindre une réduction
de 10 % à fin 2013 de son empreinte carbone globale par véhicule vendu
dans le monde. Ce résultat ayant été atteint, Renault s’est ensuite engagé à
consolider et prolonger ses efforts par une réduction annuelle moyenne de 3%
sur l’ensemble de la période du plan 2016 : Drive the change, soit une
réduction globale de près de 17% entre 2010 et 2016.
Dès fin 2015, Renault affichait une empreinte carbone1
en baisse de 17,2 % par rapport à 2010, atteignant ainsi avec un an d’avance
l’objectif de réduction qu’il s’était fixé pour 2016. Sur la seule année 2015,
Renault a ainsi évité le rejet dans l’atmosphère de l’équivalent des émissions
annuelles de CO2 d’une ville comme Barcelone2.
L’empreinte carbone du Groupe Renault correspond aux
émissions de gaz à effet de serre – essentiellement le CO2 – générées par le
cycle de vie de ses véhicules (leur usage, y compris la production de l’énergie
nécessaire à leur roulage, et la mise à disposition des matières qui entrent
dans leur fabrication) et par l’ensemble de ses activités (la conception, la
fabrication, le transport, la vente des pièces et véhicules, et toutes les
fonctions support de l’entreprise). C’est donc en agissant sur tous ces leviers
que Renault parvient à réduire son empreinte carbone.
Le véhicule électrique représente
une réponse immédiatement disponible et efficace aux enjeux climatiques actuels
: il n’émet
pas de C02 à l’usage3 et son empreinte carbone, déjà plus faible
aujourd’hui que celle d’un véhicule thermique équivalent en moyenne en Europe,
se réduira encore avec le développement des énergies renouvelables, qui
permettent de produire une électricité décarbonée. Renault est pionnier et
leader européen du véhicule électrique en Europe avec notamment ZOE, voiture
électrique la plus vendue en Europe et qui offre désormais une autonomie record
de 400 km4. En tout, ce sont plus de 100 000 véhicules électriques
Renault qui ont été mis en circulation depuis 2011, et qui ont déjà permis
d’éviter l’émission de 125 000 tonnes de CO2 dans l’atmosphère.
Renault réduit également l’empreinte
carbone de l’ensemble de ses activités qu’elles soient industrielles,
d’ingénierie, de transport ou commerciales. Sur le périmètre industriel,
Renault améliore continuellement l’efficacité énergétique de ses usines et se
tourne de plus en plus vers l’utilisation d’énergies renouvelables. Ainsi
l’usine de Tanger au Maroc, conçue « Zéro émission de CO2 » et équipée d’une
chaudière biomasse alimentée par des résidus agricoles locaux, est sans
équivalent dans l’industrie automobile. Sur l’année 2015, 91 % de ses besoins
en énergie ont été couverts par des sources renouvelables, permettant d’éviter
l’émission de plus de 90 000 tonnes de CO2 par an.
Pour consulter le rapport de CDP, cliquer ici
1par véhicule vendu dans le monde.
2L’équivalent des émissions CO2 d’une ville européenne d’environ 1 600 000 habitants ont été évitées en 2015 comparativement à 2010.
3ni émissions CO2 ni polluants atmosphériques réglementés lors de la conduite, hors pièces d’usure.
4En cycle d’homologation normalisé NEDC.
2L’équivalent des émissions CO2 d’une ville européenne d’environ 1 600 000 habitants ont été évitées en 2015 comparativement à 2010.
3ni émissions CO2 ni polluants atmosphériques réglementés lors de la conduite, hors pièces d’usure.
4En cycle d’homologation normalisé NEDC.
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