Objectifs et cadre de
l’étude
Les progrès technologiques offrent des solutions pertinentes,
notamment à travers le développement de l’électromobilité, pour
limiter les émissions de CO2, la pollution atmosphérique ou les
nuisances sonores dans les transports. L’étude permet de comparer
les technologies électrique, hybride ou GNV à la technologie de
référence thermique, pour l’autobus et l’autocar, dans différents
milieux de circulation, aux horizons 2020 et 2025.
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Analyse coûts
bénéfices des
véhicules
électriques autobus et
autocars
Pour réduire les externalités environnementales (CO2,
pollution atmosphérique, bruit) produites par les motorisations
diesel conventionnelles, les motorisations alternatives pour les
autobus ou autocars constituent-t-elles une piste pertinente,
pour les entreprises de transports collectifs et pour la
collectivité ? Dans quelles conditions et à quels horizons ?
Si le véhicule électrique et le GNV sont déjà rentables du point
de vue collectif en zone urbaine très dense en 2020, les
autres technologies (hybride et hybride rechargeable) ne le
deviennent qu’en 2025.
Dans le cadre d’un usage mixte avec une grande part de
trajets interurbains, le véhicule thermique reste en 2020 plus
performant que les technologies alternatives mais à partir de
2025 la solution électrique devient plus rentable.
L’hybride apparaît comme une technologie de transition et son
intérêt dépendra de l’évolution des coûts d’achat et d’entretien.
Dans les différents cas d’usage, le GNV est la technologie
alternative la plus rentable à court terme mais la baisse du
coût des batteries conjuguée à la baisse des prix des
véhicules rend la solution électrique plus performante à
l’horizon 2025.
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